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Afrique

Microfinance : Amifa à l'assaut de l'Afrique de l'Ouest

Jeune Afrique / Finance - Thu, 09/06/2016 - 09:58

La filiale du groupe marocain Banque populaire va accélérer les ouvertures d'agence en Côte d'Ivoire et au Mali dès cette année.

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Microfinance : Amifa à l'assaut de l'Afrique de l'Ouest

Jeune Afrique / Economie - Thu, 09/06/2016 - 09:58

La filiale du groupe marocain Banque populaire va accélérer les ouvertures d'agence en Côte d'Ivoire et au Mali dès cette année.

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Institution panafricaine : Felix Adahi Bikpo veut sortir les PME de l'ornière

Jeune Afrique / Finance - Thu, 09/06/2016 - 09:51

Quatre ans après la création du Fonds africain de garantie, un millier d'entreprises ont obtenu des financements. Un résultat satisfaisant pour le patron ivoirien, qui ne compte pas s'arrêter en si bon chemin.

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Institution panafricaine : Felix Adahi Bikpo veut sortir les PME de l'ornière

Jeune Afrique / Economie - Thu, 09/06/2016 - 09:51

Quatre ans après la création du Fonds africain de garantie, un millier d'entreprises ont obtenu des financements. Un résultat satisfaisant pour le patron ivoirien, qui ne compte pas s'arrêter en si bon chemin.

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RD Congo : le Conclave de Bruxelles, une course d'obstacles pour l'opposition congolaise

Jeune Afrique / Politique - Thu, 09/06/2016 - 09:46

À Bruxelles, mercredi, la première journée du conclave de l'opposition a été marquée par le discours d'ouverture d'Étienne Tshisekedi, mais elle n'a pas permis d'aplanir toutes les divergences. Loin s'en faut.

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Analyse : les banques tunisiennes manquent toujours de souffle

Jeune Afrique / Finance - Thu, 09/06/2016 - 09:42

Incapable de soutenir l'économie, durement touchée par la crise, le secteur a plus que jamais besoin d'être réformé.

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Analyse : les banques tunisiennes manquent toujours de souffle

Jeune Afrique / Economie - Thu, 09/06/2016 - 09:42

Incapable de soutenir l'économie, durement touchée par la crise, le secteur a plus que jamais besoin d'être réformé.

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Portrait : le conseiller portugais des entrepreneurs africains

Jeune Afrique / Finance - Thu, 09/06/2016 - 09:32

Depuis quatre ans, Miguel Azevedo pilote la banque d'investissement de l'américain Citigroup. Avec succès.

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Portrait : le conseiller portugais des entrepreneurs africains

Jeune Afrique / Economie - Thu, 09/06/2016 - 09:32

Depuis quatre ans, Miguel Azevedo pilote la banque d'investissement de l'américain Citigroup. Avec succès.

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Mohamed El Kettani : " Il faut permettre aux banques de prêter sur le long terme "

Jeune Afrique / Finance - Thu, 09/06/2016 - 09:20

Alors que le produit net bancaire de son groupe a pour la première fois enregistré un repli en 2015, le PDG d'Attijariwafa Bank défend ses choix stratégiques et dresse un état des lieux de la finance africaine.

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Mohamed El Kettani : " Il faut permettre aux banques de prêter sur le long terme "

Jeune Afrique / Economie - Thu, 09/06/2016 - 09:20

Alors que le produit net bancaire de son groupe a pour la première fois enregistré un repli en 2015, le PDG d'Attijariwafa Bank défend ses choix stratégiques et dresse un état des lieux de la finance africaine.

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Mali : Paix et réconciliation : non aux risques des replis identitaires

Maliactu - Thu, 09/06/2016 - 09:04
Chirfi Moulaye Haidara La propagation du communautarisme culturel et son instrumentalisation devenue, par la force des choses, un effet de mode, constitue des dangers réels pour un pays arc en ciel comme le nôtre.

Nos populations, toutes souches confondues, n’aspirent majoritairement qu’à la coexistence pacifique, à la rencontre de l’autre.

Le phénomène des replis identitaires est tentaculaire, voire contagieux à grande échelle ; il prend de plus en plus de proportions inquiétantes et risquerait d’exposer le pays  a des bouleversements, des soubresauts préjudiciables au maintien, à la consolidation de l’unité nationale, de la cohésion générale.

Cela pourrait conduire à une explosion sociale qui  déboucherait sur un démembrement progressif de l’Etat, voire son effondrement systématique si nos autorités politiques, administratives, civiles, ne prenaient pas à bras le corps la portée des menaces endogènes et exogènes qui se profilent à l’horizon.

Face à la panique, à la peur, la mobilisation générale pour une citoyenneté malienne porteuse de vraie démocratie et de libertés d’expression est un passage incontournable pour le meilleur devenir commun.

Les communautés, tant sédentaires que nomades, souffrent des agissements de ‘‘ mains invisibles’’, des égarements qui ne peuvent qu’accentuer la mésentente entre elles, les déchirures béantes, les blessures de trop  en soumettant les populations à de rudes épreuves qu’elles endurent perplexes, impuissantes.

Toutes sortes de lobbyings, de plans de déstabilisation, sont orchestrés ca et la, à dessein, afin de semer la zizanie, de raviver le feu de la haine, de la violence, de la division.

Il ne revient à l’esprit de personne de douter d’une réalité de nos jours, à savoir qu’au niveau planétaire  l’avènement du troisième millénaire est considéré comme un symbole majeur de changement ; il devient donc  impérieux, face à la mondialisation de l’économie et du libéralisme, de préserver, de renforcer davantage l’unité nationale, la stabilité sociale, l’entente entre des populations appartenant à une société multiethnique, multiraciale, dynamique et ouverte.

Qui aurait imaginé, au lendemain de l’accession du Mali a la souveraineté nationale et internationale le 22 septembre 1960, que les Peulhs et les Bambaras allaient s’affronter par le biais de groupes armés de tous     bords?

Qui aurait pensé que les Arabes, Touareg, les Sonrais etc, allaient accepter en leur sein des multiples et incessants  différends, entretenir des conflits à caractère répétitif, s’affronter, se bagarrer, sans état d’âme malgré des brassages et des métissages multiséculaires ?

C’est dire qu’actuellement l’on assiste un peu partout à «la lutte des semblables » et non à «celle des contraires » comme l’affirmait Marx.

La balkanisation, la multiplication de micro états artificiels, peu viables et fiables, le fonctionnement en ilotage des villes et campagnes, constituent des freins à la relance, sous les meilleurs auspices, d’un développement qui se veut inscrit dans la durée et l’harmonie.

L’union fait la force et ce sont les grands ensembles territoriaux qui peuvent impulser le véritable essor socio-économique que chacun appelle de ses vœux dans l’intérêt général et pour le plus grand bien commun.

Un adage africain ne soutient-il pas que « l’homme est le remède de l’homme ».

L’Islam modéré qui est la religion majoritairement partagée au Mali et qui vaut son pesant d’or dans la résolution des conflits, prône la tolérance, le pardon, la paix.

A ce sujet, la Sourate 41/Verset 34 est édifiante :

« Repousse le mal par ce qui est meilleur, et voilà que celui avec qui tu avais une animosité devient tel un ami chaleureux ».

Aussi, en ce mois béni de Ramadan, mois de solidarité, de partage, d’expression de vraies valeurs humaines, de méditation, de remise en cause de soi pour une cause générale, qu’Il plaise à Dieu de gratifier notre pays de Sa Grâce, de Sa Miséricorde, de guider les pas de nos décideurs dans le sens de la réconciliation des cœurs et des esprits, le changement des mentalités et des modes de pensée en vue de sceller, dans la bonne foi et la bonne attitude, l’érection d’une nation éternelle, paisible et réconciliée avec elle-même.

Amen

Par Chirfi Moulaye HAIDARA, Chercheur.

Source : 22 Septembre

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Literie : le marocain Dolidol s'étend au sud du Sahara

Jeune Afrique / Economie - Thu, 09/06/2016 - 09:03

Le spécialiste marocain du sommeil se réveille en Afrique !

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Mali : Renouvellement des instances onusiennes : L’Afrique clouée au starting-block

Maliactu - Thu, 09/06/2016 - 09:02
Le siège des Nations unies (ONU) à New York, Etats-Unis. © (CC)/Flickr.com/Wikipédia Se faire porter à la tête des structures onusiennes bat son plein en ce moment dans les sphères diplomatiques et étatiques de plusieurs puissances mondiales et même de certains petits Etats. Pendant ce temps notre continent observe l’expectative avec des candidats très peu nombreux et sans soutien significatif.

Déjà, deux structures viennent de changer leur instance dirigeante. A savoir le Haut-Commissariat pour les réfugiés (HCR) le 1er janvier et le Programme des Nations Unies pour l’environnement (Pnue) en mai dont les contrôles ont été pris respectivement par l’Italien Filippo Grandi et le Norvégien Erik Solheim. Il ne reste plus que les désignations à l’Unesco, à l’Organisation mondiale de la santé (OMS) au Programme des Nations Unies pour le développement (Pnud) et à la structure-mère, l’ONU. La faible présence des cadres africains à cette bataille de conquête des hautes fonctions onusiennes saute aux yeux et interroge autant qu’elle inquiète quand on n’est pas sans savoir que notre continent a de tout temps été, sinon le plus en crise, le plus dans le besoin ou encore les deux à la fois.

Les rares Africains dans la course aux sommets

L’on note la candidature de l’Ethiopien Tedros Adhanom pour remplacer la Chinoise Margaret Chan à la tête de l’OMS lors du renouvellement de la direction prévue pour se tenir courant 2017.

Cette semaine-même, notre compatriote Aminata Traoré, ex-ministre de la Culture a annoncé sa candidature au poste de Secrétaire général de l’ONU, l’instance suprême dont la désignation devrait se tenir le 1er janvier 2017.

Il faut aussi noter la présence du ministre libérien de la Santé qui, sans être candidat, s’est vu proposer le poste de numéro deux par le Français Philippe Douste-Blazy, candidat au secrétariat général de l’OMS.

En quoi se justifie cette faible représentativité africaine ?

L’une des explications résiderait dans le mode de désignation des candidats à la candidature qui dépend de règles qui, sans être forcément écrites, ont force de loi et droit de cité. La première serait un système de roulement entre les continents. A cet effet,  le poste au secrétariat général de l’ONU devrait revenir à l’Europe de l’Est cette fois-ci (Par la volonté de la Russie en tant que membre permanent de l’ONU et pays qui présidera le Conseil de sécurité au moment du vote), celui de l’Unesco devra –  sauf surprise – aller au monde arabe avec le Maghreb et le Moyen-Orient, pour la première fois. Les structures onusiennes qui font exception à cette règle sont le Pnud qui a toujours échu à un Occidental, en excluant l’intermède du Turc Kemal Dervis. Il y a aussi l’OMS qui, sans avoir jamais été dirigée par un Africain, a eu à sa tête plusieurs nationalités. La deuxième règle serait la tendance actuelle à voir des femmes à la tête des instances mondiales. Etant des femmes émérites dans plusieurs domaines, il faut toutefois faire remarquer que le leadership des Africaines au niveau diplomatique n’est pas des plus enviables autant en qualité qu’en nombre.

Comme explication, on pourrait aussi signaler le fait que le Conseil de sécurité est le maître du jeu sous l’œil regardant des cinq membres permanents, pouvant user de leur véto à souhait. Leur volonté exprimée en début de renouvellement des structures doit être prise au sérieux. Ainsi, leur volonté ne penche pas vers une candidature africaine actuellement. En fait après les auditions et autre lobbying, ce sont ces puissances qui désignent le seul candidat devant se présenter à l’Assemblée générale pour le vote final. Pour plus de transparence, certaines voix s’élèvent, en ce moment, pour demander au Conseil de sécurité de proposer trois candidats au vote lors de  l’assemblée générale au lieu d’un seul.

Où se trouvent les chances africaines ?

Elles ne sont surtout pas entre nos propres mains. L’annonce de la candidature d’Aminata Traoré pour la direction de l’ONU ressemble plus à un coup de pub qu’à un coup de poker. En effet, la concernée qui, d’ailleurs, dit s’être déclarée candidate parce qu’on rechercherait une femme, ne présente aucun atout réel sur lequel le continent pourrait miser. Celle de l’Ethiopien Tedros Adhanom pour la tête de l’OMS est compromise à plus d’un titre. S’il devait engranger des soutiens africains et  ceux en faveur de l’Afrique, la présence du ministre libérien de la Santé aux côtés Douste-Blazy aux mêmes joutes sonne le glas de la désunion du continent. Ce qui fait du Français Douste-Blazy, qui promet le poste de numéro deux au ministre libérien, notre meilleure chance au niveau de l’OMS. Quand bien même cela ne serait pas loin d’une simple vue de l’esprit.

Pour le Pnud, nous avons toujours été loin des décisions. Et pourtant les questions de notre continent ont de tout temps été au cœur du terrain d’intervention de cette institution. Les nombreux programmes, en majorité ficelés sans consultation des besogneux, se sont plus que souvent soldés par des échecs. Car ici, l’argent a toujours été roi et nous avons toujours été de besogneux demandeurs. C’est ainsi. C’est celui qui donne qui ordonne, dit l’adage. Mais il faudrait consulter ceux dans le besoin avant d’élaborer quelque plan de développement en leur « faveur », pour plus d’efficacité.

Au niveau de l’Unesco, la prise de la direction par le monde arabe devrait jouer en notre défaveur car les potentiels secrétaires sont originaires de pays à la pointe du combat pour l’affirmation d’une civilisation arabe face au reste du monde. Sans doute parce que difficilement comprise car ayant du mal à se défaire des travers des terroristes et autres extrémistes religieux.  Dans ces conditions, les questions arabes, à défaut de ramener celles africaines au second plan, les éclipseront au niveau des interventions de l’organisation onusienne consacrée à l’éducation, la science et la culture.

Pour la course au contrôle de l’instance suprême, l’ONU, les deux favorites que sont la Bulgare Irina Bocova  et la Néo-Zélandaise Elen Clark sont au coude-à-coude quant à qui porterait le mieux les chances du continent. Car chacune des deux aura déjà fait connaissance avec les dossiers africains dans leur structure respective. On se souvient, entre autres,  des interventions de Bocova sur le sol africain au nom de l’Unesco qu’elle dirige.  Notamment au Nord du Mali pour la reconstruction des mausolées détruits lors de l’occupation djihadiste et son succès à faire qualifier ce type d’actes de ‘’crime contre l’humanité’’.  Elen Clark qui est actuellement à la tête du Pnud n’est pas non plus étrangère aux questions africaines, surtout celles ayant trait au développement. Ni l’une ni l’autre n’a de relations particulières  avec notre continent qui nous mèneraient à paraître euphoriques pour l’élection de l’une ou de l’autre. Du 50-50, on pourrait dire.

Comment inverser la tendance ?

Il faudrait, de prime abord, revoir notre système de gestion de notre diplomatie. En fait, ces hauts fonctionnaires que sont les dirigeants des structures onusiennes, sont généralement d’anciens diplomates ou chefs de gouvernement. Le profil de carrière en est un élément essentiel. Pour ce faire, en plus de susciter l’accès aux fonctions internationales de tout type, nos gouvernants devraient éviter de bloquer l’avancement des diplomates de carrière juste pour nommer des proches, en récompense de leur pseudo loyauté. Permettre à des hommes de métier d’évoluer dans la diplomatie, loin des turbulences et autres turpitudes de la gestion partisane ou clanique du pouvoir d’Etat, peut nous fournir de nombreux diplomates et de qualité à ne rien envier à leurs collègues d’ailleurs.

Aussi, faudrait-il que nos chefs de gouvernement ne se limitent plus simplement à vouloir s’éterniser à leur poste ou à devenir le prochain chef de l’Etat. Il leur faudra, une fois la mission nationale accomplie, songer à se présenter à des postes de responsabilité sous-régionale, régionale ou internationale. Cela est d’ailleurs, sinon un bon moyen d’aider son continent et son pays, un bon tremplin pour accéder à la tête de son pays.

Abdoulaye KONATE

Source : Le Prétoire

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Interview - Jad Ariss : " Axa a pris conscience du potentiel du continent "

Jeune Afrique / Finance - Thu, 09/06/2016 - 08:56

Le géant français des assurances, qui s'est récemment implanté au Nigeria et en Égypte, souhaite étendre son dispositif africain. Son patron régional place ses espoirs dans une classe moyenne encore peu couverte.

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Interview - Jad Ariss : " Axa a pris conscience du potentiel du continent "

Jeune Afrique / Economie - Thu, 09/06/2016 - 08:56

Le géant français des assurances, qui s'est récemment implanté au Nigeria et en Égypte, souhaite étendre son dispositif africain. Son patron régional place ses espoirs dans une classe moyenne encore peu couverte.

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Mali : Promotion du développement local : Fakanda Keïta magnifié par les siens à Kamalé

Maliactu - Thu, 09/06/2016 - 08:54
Siby En guise de reconnaissance à son fils Fakanda Keïta, le village de Kamalé a   réservé celui-ci un accueil chaleureux le dimanche 5 juin. Pour la circonstance, il s’est fait accompagner par  son frère cadet, Setigui Keïta, à la tête d’une forte délégation.

Il y a le respect et la reconnaissance du respect au Mandé, nous enseigne l’adage. Le village de Kamalé, situé entre Bamako et Siby, ne déroge pas à cette règle. En effet, apprend-on,   le village avait fortement  recommandé le bitumage de la route qui le traverse. Ce vœu, traduit en acte, a contribué à l’amorce du développement de la localité. Toutefois, expliquent  les habitants, ladite route a eu des conséquences fâcheuses sur la vie des populations, à savoir des accidents avec leurs corolaires de mort d’hommes. Excédés par cette situation, les habitants ont été secourus par un fils du terroir, Fakanda Keïta.  A travers son  engagement appuyé par les autorités,  des ralentisseurs ont été réalisés, réduisant ainsi  le nombre des accidents.

Pour exprimer sa gratitude au sien, le village a organisé une grande cérémonie.  À travers cet événement, le griot Bourama Soumano a revisité l’histoire du Mandé qui, selon lui, s’étendait de Woyowayanko à Krissa en Guinée. Dans son récit, il a parlé des 33 tribus qui ont fondé le Mandé, l’origine des chasseurs, ce que c’est qu’un «Massaré», la Charte de «Kurukanfuga», la guerre entre Soundiata Keïta et Soumangourou Kanté, entre autres.

A cette occasion, le parrain de l’événement, Fakanda Keïta, a remercié le Président de la République, Ibrahim Boubacar Keïta, et son gouvernement,  grâce à qui la réalisation des ralentisseurs a été rendue possible.

Pour sa part, après avoir salué la mobilisation des populations,  Setigui Keïta a exprimé sa fierté pour l’engagement de son frère aîné en faveur du développement socioéconomique et culturel de Kamalé. Notamment la réalisation des ralentisseurs  ainsi que la promotion de la cohésion des jeunes du Mandé. À cette occasion, dit-il, «j’associe ma voix à celle de Fakanda  Keïta pour saluer le chef de l’Etat et le gouvernement pour leur soutien à la réalisation des présents ralentisseurs.

Oumar KONATE

Source : Le Prétoire

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Mali : Monde des affaires : Sale temps pour Apollinaire Compaoré

Maliactu - Thu, 09/06/2016 - 08:49
Connu pour son manque de sérieux dans les affaires, personne  n’accorde de crédit au richissime homme d’affaires Burkinabè, Apollinaire Compaoré. Le Mali, une de ses victimes, et le Burkina Faso ne diront pas le contraire.

Communément appelé «le boulanger» dans le monde des affaires,  Apollinaire Compaoré,  roule tout le monde ou presque dans la farine. L’affaire de la 3ème licence au Mali en est une parfaite illustration. En effet, l’homme d’affaires a profité   de  la boulimie financière des autorités transitoires au Mali pour décrocher la troisième licence de la téléphonie globale sur fond de violation des textes.

Comment roule-t-il les gens dans la farine ?

Réuni en session ordinaire le 12 septembre 2012, le Conseil des ministres a adopté un projet de décret portant « approbation du cahier de charges de la licence d’établissement et d’exploitation de réseaux et services de télécommunication d’un troisième opérateur dénommé Alpha Télécom au Mali.  C’est le groupement Planor/Komé Cessé/Monaco Télécom qui s’était vu attribuer le marché, car  classé premier avec une offre de 84 millions d’euros, soit 55,1 milliards de FCFA. Habitué à rouler ses partenaires dans la farine, le boulanger a manœuvré. Curieusement, dans un communiqué  à l’issue du Conseil des ministres extraordinaire du 21 janvier 2013, le gouvernement malien  déclare : «le Gouvernement a décidé, à la suite d’un dossier présenté par celui-ci, d’accorder au Groupement Planor-Monaco Telecom International la troisième licence de la téléphonie globale par entente directe».                                 A la suite de ce festival de brigands,  la victime de Compaoré a engagé une procédure au tribunal de Commerce, l’Etat malien a été condamné à payer 7 milliards FCFA à l’opérateur économique malien Cessé Komé pour exclusion discrétionnaire qui, à son tour, rejettera la responsabilité sur Apollinaire Compaoré, adjudicataire contesté. Une affaire qui lui a jeté le discrédit dessus.

Une autre affaire qui éclabousse Apollinaire Compaoré  

Aujourd’hui discrédité dans l’affaire de la troisième licence de la téléphonie globale au Mali, adjugé  en violation des textes, tous les hommes d’affaires sérieux fuiraient Apollinaire Compaoré. Son incapacité à exploiter la 3ème licence au Mali confirmant le doute sur son poids financier, ses partenaires se méfient de lui. Après s’être défendu bec et ongle pour décrocher le quitus d’implantation au Burkina Faso de sa banque commerciale, baptisée Wari Bank International (WBI), l’homme d’affaires burkinabé, Apollinaire Compaoré, a encore du chemin à faire. Selon des informations de nos confrères de «Jeune Afrique», la Commission bancaire, de l’Uemoa à Abidjan, a rendu fin mars un avis défavorable à sa demande d’agrément pour l’ouverture de Wari Bank International au Burkina. Ce nouveau coup dur pour  Compaoré est tombé comme du ciel sur sa tête.  Cette décision de la commission bancaire, serait motivée par les multiples démêlés judiciaires d’Apollinaire. Apollinaire Compaoré, toujours en contentieux avec l’entrepreneur malien Cessé Komé, dans le dossier d’Alpha Telecom au Mali, traîne un endettement excessif auprès de certaines banques de l’espace Uemoa, une ardoise de plus de 60 milliards de FCFA, précisent les confrères de «Les Afriques».

Oumar KONATE

Source : Le Prétoire

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Mali : Un nouveau front sur l’échiquier politique malien

Maliactu - Thu, 09/06/2016 - 08:45
Soumana Sacko Le Front Populaire ou le Pôle de la Gauche Patriotique, Républicaine, Démocratique, Sociale, Progressiste et Panafricaine est né

 Le siège du parti la Convention Nationale pour une Afrique Solidaire (CNAS-Faso Hèrè) a servi de cadre, le lundi  6 juin dernier à Hamdallaye, à la tenue d’un point de presse pour marquer le lancement  officiel  du Front populaire ou le Pôle de la Gauche Patriotique, Républicaine, Démocratique, Sociale, Progressiste et Panafricaine.

La rencontre était animée par des responsables du Front, notamment le Secrétaire général du parti CNAS-FASO-Hèrè, la toute nouvelle présidente des femmes du parti, Mme Traoré Tiedo Ba, Cheick Oumar Koné, membre du BPN CNAS FASO Hèrè, Gaoussou Coulibaly de l’US RDA. D’autres  membres de la vingtaine de partis politiques et d’associations étaient également présents à la rencontre. Il s’agit, entre autres, de l’association pour la promotion des idéaux des pères des indépendances, (Api).

Le principal acte de ce point de presse a été la lecture de la charte qui servira de « loi fondamentale » pour les membres du Front.

Selon les conférenciers, ce Front regroupe une vingtaine de partis politiques, mouvements, regroupements et associations, ayant comme objectif de rassembler toutes les forces politiques et sociales, patriotiques, républicaines, démocratiques, progressistes et panafricaines, et qui partagent la même vision et le même engagement pour le Mali.

En effet, selon les initiateurs de cette rencontre, il s’agit pour les adhérents à ce  nouveau Front de s’engager résolument en faveur de la refondation démocratique globale de l’Etat malien et de notre économie pour l’édification d’une société de progrès, de justice sociale et de solidarité pour tous dans un Mali et une Afrique qui gagnent et réclament leur juste place dans le concert des nations démocratiques, libres et prospères.

Il est fondé sur,  entre autres,  les valeurs et principes suivants : le respect de la souveraineté du Peuple,  de la Constitution et de toutes les lois de la République ; l’affirmation de la souveraineté nationale, y compris en matière de défense, de sécurité, de politique étrangère et d’exploitation de nos ressources naturelles dans un esprit de partenariat gagnant-gagnant avec tous pays étrangers respectueux des intérêts primordiaux du peuple malien ; la sacralité de l’intégrité territoriale et de l’unité nationale au-delà des clivages partisans et des vicissitudes de l’histoire.

L’adhésion au Pôle de la Gauche Patriotique, Républicaine, Démocratique, Sociale, Progressiste et Panafricaine est ouverte à tous partis politiques, mouvements, regroupements et associations qui en acceptent les  valeurs, les principes et les objectifs politiques tels que consignés dans la charte.

L’encadrement et l’animation politique du Front populaire seront sous l’égide d’une direction organisée comme suite : une Assemblée générale, composée de dix délégués de chaque parti politique, mouvement, regroupement et association membres dont au moins trois femmes et deux représentants des mouvements de jeunes ; un Directoire politique composé des deux principaux leaders de chaque parti, mouvement,  regroupement et association membre, la présidence s’exerçant de façon tournante dans l’ordre alphabétique des composantes pour une durée de quatre (4) mois. S’y ajoute un comité exécutif constitué de  deux représentants de chaque entité membre ; et enfin un règlement intérieur fixera les conditions d’organisation et les modalités de fonctionnement de l’Assemblée générale, du Directoire politique et du Comité exécutif ainsi que les règles de financement, d’adhésion de nouveaux membres, de sanctions et les procédures d’amendement et de révision de la charte.

Mohamed Naman Keïta

Source : 22 Septembre

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Mali : Finale de la 1ère édition de la coupe de l’Association Danaya ton de Hèrèmakono (ADH) : FC Sanogo s’adjuge le trophée

Maliactu - Thu, 09/06/2016 - 08:41
La finale de la première édition de la coupe de l’Association Danaya ton de Hèrèmakono (ADH) s’est disputée le dimanche 29 mai sur le  terrain de football de Kalabancoro Hèrèmakono, non loin de l’EDM SA. Elle mettait aux prises FC Diaby au FC Sanogo. Dans un match nul (1-1) âprement disputé jusqu’au bout, les deux équipes n’ont pu se départager. Il a fallu faire recours à l’épreuve fatidique des tirs aux buts pour voir le FC Sanogo acquérir le trophée par le score de deux tirs à un.

Le vainqueur a eu le trophée et une enveloppe symbolique, le vaincu  a également eu une enveloppe symbolique. Tandis que le meilleur joueur figure dans l’équipe FC Diaby, le meilleur butteur est dans l’équipe championne, le FC Sanogo. Durant deux mois, cette compétition organisée par l’Association Danaya ton de Hèrèmakono (ADH) mettait en confrontation huit équipes du quartier de Kalaban coro.

Il s’agit du  FC Diaby, de l’As Roma, FC Pires, FC Sanogo, Toby Foot, FC L, Etoile rouge et le FC Chelsea. La finale s’est disputée en présence du parrain de l’événement, Zoumana Haïdara, président de l’Association Danaya ton de Hèrèmakono (ADH), de la marraine, Mme Diallo Badji Touré, des responsables de l’ADH dont Ousmane Kodio, Amadou Diallo, Oumar Kouyaté, Samba Diallo et plusieurs fans du ballon rond. Selon les organisateurs, cette compétition de football est dédiée à la paix, à l’entente et à la solidarité dans le quartier. Le parrain Zoumana Haïdara a souligné que cette compétition est l’une des activités phare organisée par son association. Il s’est réjoui de la réussite de l’événement et a promis de pérenniser ce tournoi.

Aguibou Sogodogo

Source: Le Républicain

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