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RDC : l’ESU élabore la stratégie nationale pour la mise en œuvre des enseignements ouverts et à distance

Radio Okapi / RD Congo - Thu, 29/02/2024 - 12:59


Le ministère de l’Enseignement supérieur et universitaire (ESU), avec l’appui de l’UNESCO, a lancé mercredi 28 février à Kinshasa, l’élaboration de la stratégie nationale de la mise en œuvre des enseignements ouverts et à distance. Les travaux d’élaboration de la feuille de route budgétisée ont été lancés en présence de 55 acteurs.

Categories: Afrique

Communiqué de presse - Le Parlement vote pour des liens politiques et économiques plus étroits avec le Chili

Parlement européen (Nouvelles) - Thu, 29/02/2024 - 12:57
Jeudi, les députés ont approuvé l’accord-cadre avancé UE-Chili et son accord complémentaire sur la libéralisation du commerce et des investissements.
Commission des affaires étrangères
Commission du commerce international

Source : © Union européenne, 2024 - PE
Categories: Union européenne

Communiqué de presse - Le Parlement adopte un plan visant à protéger le marché de l’énergie de l’UE contre la manipulation

Parlement européen (Nouvelles) - Thu, 29/02/2024 - 12:56
La législation visant à lutter contre la manipulation du marché de l’énergie en renforçant la transparence et la surveillance a été approuvée jeudi par les députés.
Commission de l'industrie, de la recherche et de l'énergie

Source : © Union européenne, 2024 - PE
Categories: Union européenne

Communiqué de presse - De nouvelles règles pour un secteur de la location à court terme responsable et transparent

Parlement européen (Nouvelles) - Thu, 29/02/2024 - 12:47
Les règles visent à mesurer l’impact réel des services de location à court terme et à permettre aux autorités locales d’élaborer des politiques appropriées.
Commission du marché intérieur et de la protection des consommateurs

Source : © Union européenne, 2024 - PE
Categories: Union européenne

Ituri : 68 civils tués lors des violences causées par les groupes armés (OCHA)

Radio Okapi / RD Congo - Thu, 29/02/2024 - 12:46


Au moins 68 civils ont perdu la vie en Ituri pendant les violences attribuées au groupes armés depuis janvier dernier. Ces chiffres ressortent du rapport de Bureau de coordination des affaires humanitaires des Nations unies (OCHA), publié mardi 27 février.

Categories: Afrique

[Carte] Violences faites aux femmes : la ratification de la convention d’Istanbul dans l’Union européenne

Toute l'Europe - Thu, 29/02/2024 - 12:20

La convention du Conseil de l’Europe sur la prévention et la lutte contre la violence à l’égard des femmes et la violence domestique, dite “convention d’Istanbul”, vise à lutter contre les violences à caractère sexiste. Elle fédère aujourd’hui 38 Etats ainsi que l’Union européenne.

En vigueur depuis 2014, elle fournit un cadre général en matière de prévention, de protection, de poursuites et de fourniture de services adaptés pour répondre aux besoins des femmes victimes de violences.

Elle engage notamment les Etats qui l’ont ratifiée à sensibiliser leur population, collecter des données et punir pénalement différentes formes de violence physique, sexuelle ou psychologique fondées sur le genre (viol, harcèlement, mutilations génitales, mariage forcé…). 

À LIRE AUSSIQu’est-ce que le Conseil de l’Europe ?

Au sein de l’Union européenne, 22 des 27 Etats membres sont parties à la convention. Cinq autres l’ont signée mais non ratifiée : la Bulgarie, la Hongrie, la Lituanie, la République tchèque et la Slovaquie. Le 24 janvier 2024, le Sénat tchèque s’est opposé à la ratification de la convention, que la République tchèque avait signée en 2016.

L’Union européenne en tant que telle a ratifié la convention d’Istanbul le 28 juin 2023, après l’approbation du Parlement européen (10 mai) puis du Conseil de l’Union européenne (1er juin). Celle-ci est entrée en vigueur le 1er octobre 2023.

Outre la portée symbolique d’une telle décision, celle-ci lie l’Union européenne à la convention sur une partie de son champ de compétences - une condition pour éviter un vote à l’unanimité, selon la Cour de justice de l’Union européenne. Il s’agit de l’asile, de la coopération judiciaire en matière pénale et des obligations des institutions et de l’administration publique de l’UE. 

L’adhésion de l’UE à la convention d’Istanbul n’oblige pas les Etats réfractaires à la ratifier. Ils sont toutefois obligés de collecter des données, pour la Commission, sur les violences à l’égard des femmes. Ils doivent aussi prendre en compte, par exemple, le statut spécifique d’une femme soumise à une procédure d’expulsion du territoire.

À LIRE AUSSIEgalité entre les femmes et les hommes : où en est-on dans l’Union européenne ?

L’adhésion à la convention était une priorité de la stratégie européenne en faveur de l’égalité hommes-femmes pour la période 2020-2025. Le Parlement européen a quant à lui demandé à plusieurs reprises la ratification par tous les Etats membres, et condamné les tentatives de certains de révoquer les mesures déjà prises pour l’appliquer.

Selon une étude de l’Agence européenne des droits fondamentaux de 2014, une femme sur trois (soit environ 62 millions de femmes) a déjà subi des violences physiques et/ou sexuelles dans l’Union européenne, et plus de la moitié (55 %) ont été victimes de harcèlement sexuel au moins une fois depuis l’âge de 15 ans.

Dates de signature et de ratification par les Etats membres de la convention d’Istanbul
PaysSignatureRatificationAllemagne11/05/201112/10/2017Autriche11/05/201114/11/2013Belgique11/09/201214/03/2016Bulgarie21/04/2016Chypre16/06/201510/11/2017Croatie22/01/201312/06/2018Danemark11/10/201323/04/2014Espagne11/05/201110/04/2014Estonie02/12/201426/10/2017Finlande11/05/201117/04/2015France11/05/201104/07/2014Grèce11/05/201118/06/2018Hongrie14/03/2014Irlande05/11/201508/03/2019Italie27/09/201210/09/2013Lettonie18/05/201610/01/2024Lituanie07/06/2013Luxembourg11/05/201107/08/2018Malte21/05/201229/07/2014Pays-Bas14/11/201218/11/2015Pologne18/12/201227/04/2015Portugal11/05/201105/02/2013République slovaque11/05/2011République tchèque02/05/2016Roumanie27/06/201423/05/2016Slovénie08/09/201105/02/2015Suède11/05/201101/07/2014Union européenne13/06/201728/06/2023Source : Conseil de l’Europe

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Categories: Union européenne

Ouganda: comment vont être indemnisées les victimes de l'ex-chef de guerre Dominic Ongwen

RFI /Afrique - Thu, 29/02/2024 - 12:00
La justice internationale a fixé ce 28 février 2024 à plus de 52 millions d'euros le montant des réparations aux victimes de Dominic Ongwen, enfant-soldat ougandais devenu commandant rebelle, condamné à 25 ans de prison pour crimes de guerre et crimes contre l'humanité. En 2021 puis fin 2022 en appel, M. Ongwen avait été reconnu coupable par la Cour pénale internationale (CPI), qui siège à La Haye (Pays-Bas), de meurtre, viol et esclavage sexuel dans le nord de l'Ouganda au début des années 2000.
Categories: Afrique

Kinshasa : les associations « Bana Kin et les Kinois » veulent un gouverneur « technocrate, pétri de valeurs »

Radio Okapi / RD Congo - Thu, 29/02/2024 - 11:36


« Il faut un Gouverneur technocrate pour relever les défis du développement de la ville de Kinshasa », ont déclaré, mercredi 28 février, les associations Bana Kin et Les Kinois, lors d’une conférence de presse tenue dans la capitale congolaise.

Categories: Afrique

Pari sportif en ligne : Un phénomène qui s'enracine au Burkina Faso

Lefaso.net (Burkina Faso) - Thu, 29/02/2024 - 11:32

Au Burkina Faso, le paysage des loisirs et des divertissements a connu une transformation notable ces dernières années avec l'émergence croissante du pari sportif en ligne. Ce phénomène, autrefois marginal, s'est rapidement intégré dans les mœurs de la population, touchant des adultes, des jeunes, des élèves et même des filles. Si pour certains, le pari sportif représente une source de revenus supplémentaires et même de gains importants, pour d'autres, il peut se révéler être un piège financier.

Parmi les passionnés de football, Denis (nom d'emprunt), un élève d'un lycée de la capitale burkinabè, fait partie des adeptes du pari sportif en ligne. Cela fait aujourd'hui cinq ans qu'il tire son épingle du jeu de ce loisir. Rencontré en face de son établissement le mercredi 28 février 2024, il partage avec nous son expérience.

Des heureux gagnants

« En décembre 2023, j'ai misé 5 000 francs CFA pour une cote de 50 sur dix matchs de la “Champions league''. Cela m'a permis de gagner la somme de 250 000 francs CFA. J'ai investi de nouveau ce gain dans plusieurs jeux en ligne, qui m'ont rapporté plus de 600 000 francs CFA », a-t-il confié.

Denis ajoute avoir remis cette somme gagnée à sa mère pour qu'elle la garde en lieu sûr. Néanmoins, cette dernière lui a demandé, précise-t-il, de jouer avec modération, de peur qu'il ne tombe dans l'addiction.

Dans le but d'apprendre davantage sur ce nouveau passe-temps qui occupe plusieurs personnes à Ouagadougou, nous tombons sur Richard (nom d'emprunt), un jeune gérant d'un parking de la ville. Celui-ci nous fournit quelques informations sur le mode de fonctionnement. « Dans une application de pari sportif en ligne, il y a plus de 100 jeux différents disponibles. Au début, comme je ne savais pas comment jouer, j'ai téléchargé l'application puis je me suis inscris. Je rechargeais via mon compte mobile money. La première fois que je j'ai essayé, j'ai misé 150 francs CFA et j'ai gagné 20 000 francs CFA. Cependant, le retrait de mon gain n'a malheureusement pas été possible. J'ai donc finalement perdu la somme avec le compte que j'avais créé », a-t-il affirmé, soulignant qu'il s'est lancé dans ce jeu sans au préalable en connaître les conditions.

Richard explique que pour créer normalement son compte, l'intéressé doit être en relation avec une personne qui soit à mesure de recharger le compte et d'effectuer le retrait en cas de besoin. Il mentionne recharger désormais son compte de jeu grâce à un monsieur résidant à Bobo-Dioulasso, qu'il a connu par l'intermédiaire de son frère. « C'est ce dernier qui approvisionne mon compte et effectue également mes retraits quand je gagne. Quand je lui transfère de l'argent depuis mon compte mobile money, il me ravitaille à partir de son code promo », a-t-il présenté.

L'attrait pour le pari sportif en ligne au Burkina Faso s'explique par plusieurs facteurs. Tout d'abord, par l'avènement des technologies de l'information et de la communication, ayant rendu l'accès aux plateformes de paris sportifs plus facile que jamais. Avec un simple smartphone et une connexion Internet, chacun peut désormais placer des paris sur une variété de sports, qu'il s'agisse de football, de basketball, de tennis ou d'autres disciplines.

De plus, le pari sportif offre une dimension supplémentaire à l'expérience du spectateur en lui permettant de vivre les matchs avec une intensité accrue, tout en ayant un enjeu financier. Beaucoup y trouvent un moyen de vivre leur passion pour le sport de manière plus interactive. Ainsi, certains parieurs expérimentés ont développé des stratégies et des compétences analytiques pour maximiser leurs chances de succès, en étudiant les statistiques, les performances des équipes et d'autres variables pertinentes. Cependant, pour d'autres, le pari sportif reste un jeu de hasard, où la chance joue un rôle prépondérant.

Des échecs

Si certains parieurs parviennent à réaliser des gains substantiels, d'autres avouent avoir connu des revers financiers considérables. La nature même du pari sportif implique un élément de risque et tous les participants ne sont pas toujours conscients des implications et des enjeux. C'est le cas de cet homme assis sous un hangar qui nous livre son témoignage.

C'est un quinquagénaire il exprime son regret pour s'être aventuré dans un domaine dont il ignorait les tenants et les aboutissants. « J'ai certes gagné deux fois la somme de 100 000 francs CFA au pari sportif, mais ce que j'ai perdu est énorme. Je ne peux même pas en parler. Puisque ce n'est la faute à personne. Je ne peux que m'en prendre à moi-même », a-t-il confessé.

Il faut noter que l'ensemble des personnes qui se sont prêtées à notre micro ont requis l'anonymat. Ce qui démontre que ces derniers ne veulent pas que l'on sache qu'ils s'adonnent à ce loisir.

L'un des aspects préoccupants de la popularité croissante du pari sportif au Burkina Faso est le risque d'addiction au jeu. Pour certains individus, le plaisir initial de parier peut rapidement se transformer en une habitude compulsive, entraînant des pertes financières importantes, des conflits familiaux et même des problèmes de santé mentale.

Le pari sportif en ligne est devenu un élément incontournable du paysage des loisirs au Burkina Faso, attirant des participants de tous âges et de tous horizons. Alors que certains parieurs parviennent à tirer profit de cette activité, d'autres font face à des difficultés financières et personnelles. Il est impératif que la société burkinabè aborde cette réalité de manière responsable, en encourageant une pratique saine du jeu.

Hamed Nanéma
Lefaso.net

Categories: Afrique

Partage d'experience avec Maïmouna Rachel Sawadogo, Manager de 2BStudios

Lefaso.net (Burkina Faso) - Thu, 29/02/2024 - 11:30

Découvrez le parcours inspirant de Maïmouna Rachel Sawadogo, une grande sœur aux multiples compétences et expériences. De la gestion d'entreprises à la production audiovisuelle, en passant par la communication, elle nous partage son parcours et ses précieux conseils. Suivez son histoire pour vous inspirer dans le choix de votre orientation scolaire et professionnelle.

Lien article : https://legrandfrere.bf/partage-dexperience-avec-maimouna-rachel-sawadogoproductrice-et-manager-de-2b-studio/

Categories: Afrique

Tornado Damages Air Force Museum’s Buildings And Aircraft At Wright-Patterson AFB

The Aviationist Blog - Thu, 29/02/2024 - 11:29

Historic aircraft and buildings of the National Museum of the Air Force were extensively damaged by a tornado that hit Wright-Patterson Air Force Base. Images shared online by the 88th Air Base Wing, show the [...]

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Categories: Defence`s Feeds

Les élargissements de l’Union européenne en 3 minutes

Toute l'Europe - Thu, 29/02/2024 - 10:30
La Bosnie-Herzégovine et la Géorgie sont les deux derniers pays à avoir obtenu le statut de candidat à l’adhésion européenne de la part des Vingt-Sept - Crédits : AdrianHancu / iStock

Ils étaient 6 en 1957 à se lancer dans l’aventure européenne : l’Allemagne, la Belgique, la France, l’Italie, le Luxembourg et les Pays-Bas. Leur objectif : éviter un retour de la guerre et créer un marché commun afin de renforcer leurs économies.

Leur initiative a fait des émules. En 1973, trois pays les rejoignent : le Danemark, l’Irlande et le Royaume-Uni, séduits par le succès économique des premières années de la construction européenne.

En 1981 et 1986 s’ajoutent trois pays méridionaux. La Grèce d’abord, puis l’Espagne et le Portugal. Des nations qui viennent alors de rompre avec la dictature et qui comptent s’appuyer sur l’Europe pour enraciner la démocratie.

En 1995, c’est au tour de l’Autriche, de la Finlande et de la Suède de rallier l’Union européenne. Au cours de la Guerre froide, ces pays ont tenu à conserver leur neutralité politique. L’URSS tombée, cette stratégie de prudence n’est plus nécessaire.

L’élargissement suivant, en 2004, est d’une autre ampleur. 10 pays rejoignent en même temps l’UE, la plupart issus de l’ancien bloc soviétique (Estonie, Hongrie, Lettonie, Lituanie, Malte, Pologne, République tchèque, Slovaquie et Slovénie, mais aussi Chypre et Malte). La logique est à nouveau de permettre l’enracinement des valeurs démocratiques. Mais cette fois au prix d’une augmentation importante des disparités économiques entre les Etats membres.

En 2007 et 2013, trois autres nations d’Europe orientale viennent compléter l’Union telle que nous la connaissons aujourd’hui : la Bulgarie et la Roumanie d’abord, puis la Croatie.

À LIRE AUSSILes élargissements de l’Union européenne, de 6 à 27 Etats membres

En 2020, l’Union européenne a connu son premier départ, celui du Royaume-Uni.

Conséquence du référendum organisé en 2016, le Brexit a pris effet le 31 janvier 2020, après d’âpres négociations. A la suite de longues discussions, Bruxelles et Londres ont finalement trouvé un accord, le 24 décembre 2020, sur leur nouvelle relation commerciale. Celui-ci régit leurs rapports après la sortie du Royaume-Uni du marché unique et de l’union douanière le 31 décembre 2020.

À LIRE AUSSIBrexit : tous les événements depuis le référendum Les étapes du processus d’adhésion

Pour se porter candidat, un pays doit être “européen” (sans plus de précision géographique), être une démocratie et adhérer aux valeurs de l’UE. Des conditions politiques et économiques doivent ensuite être remplies pour intégrer l’Union. Comme celle de disposer d’une économie de marché à même de supporter la concurrence des autres Etats membres.

Les négociations d’adhésion à l’UE nécessitent en général plusieurs années.

À LIRE AUSSILe processus d’adhésion à l’Union européenne en 3 minutes Vers de nouveaux élargissements ?

L’Union européenne pourrait à l’avenir intégrer de nouveaux pays, notamment ceux de l’ex-Yougoslavie.

Neuf Etats sont officiellement reconnus comme candidats. Le Monténégro a officiellement débuté les négociations d’adhésion en 2012, suivi par la Serbie en 2014. En juillet 2022, c’est au tour de la Macédoine du Nord et de l’Albanie d’obtenir une ouverture de ces négociations.

L’Ukraine et la Moldavie sont quant à elles officiellement candidates depuis juin 2022 et ont obtenu le feu vert des Vingt-Sept pour l’ouverture des négociations d’adhésion en décembre 2023. La Bosnie-Herzégovine a acquis le statut de candidat en décembre 2022, puis obtenu en décembre 2023 l’accord des Etats membres pour le lancement des négociations, à condition toutefois qu’elle satisfasse 14 critères comprenant la démocratie et l’état de droit. La Géorgie est le dernier pays à avoir acquis le statut de candidat, en décembre 2023.

Les négociations d’adhésion avec la Turquie, qui ont débuté le 3 octobre 2005, sont suspendues depuis 2019 en raison de la dérive autoritaire du régime.

Le Kosovo a quant à lui déposé sa candidature en décembre 2022.

À LIRE AUSSITurquie, Albanie, Macédoine du Nord… : où en sont les pays candidats à l’élargissement ?

L’Islande, la Norvège et la Suisse ont également envisagé de rejoindre l’UE. Ces pays auraient facilement rempli l’ensemble des conditions mais, faute de soutien populaire, ils ont renoncé à aller au bout du processus d’adhésion.

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Categories: Union européenne

Appel à projet pour la sélection de projet de valorisation des produits forestiers non ligneux

Lefaso.net (Burkina Faso) - Thu, 29/02/2024 - 10:30

Programme BKF/023 Appui à la gestion durable des ressources forestières (AGREF)

FACILITÉ LUXEMBOURGEOISE DE SOUTIEN AU SECTEUR PRIVÉ

Dans le cadre de la mise en œuvre du programme d'appui à la gestion durable des ressources forestières, LuxDev lance un appel pour la sélection des meilleurs projets dans le secteur des produits forestiers non ligneux (PFNL). Ces projets bénéficieront d'un cofinancement pouvant aller de 20 à 100 millions de francs CFA.

Les filières ciblées sont celles jugées prioritaires par la stratégie nationale de valorisation des produits forestiers non ligneux au regard de leur fort potentiel de création d'emplois et de contribution à la sécurité alimentaire et nutritionnelle des populations. Il s'agit principalement de la filière moringa, karité, néré, tamarin, miel et baobab.

Entreprises et coopératives des régions de la Boucle du Mouhoun, du Centre, du Centre Ouest, du Centre Sud, des Hauts Bassins et du Plateau Central, cette belle opportunité est la vôtre ! Saisissez-la pour développer vos affaires et contribuer à la transition du Burkina vers l'économie verte.

Les critères généraux d'éligibilité sont les suivants :
Catégories d'acteurs éligibles :

Coopératives régies selon l'acte uniforme OHADA ;

Petites et moyennes entreprises (PME) ;

Grandes entreprises et agro-industries.

Conditions d'éligibilité

Avoir au moins 3 années d'activités effectives ;

Avoir entre 5 et 250 employés (permanents et non permanents) ;

Avoir un chiffre d'affaires annuel moyen d'au moins 60 millions de FCFA ;

Être en règle vis-à-vis des impôts pour les entreprises privées (attestation de situation fiscale) ;

Être à jour vis-à-vis la règlementation du travail et des lois sociales (attestation de la direction chargée de du travail et des lois sociales).

Types de projets éligibles

Transformation et commercialisation des produits des produits forestiers non ligneux.

Conditions de financement des projets retenus
Être capable de cofinancer au moins 50% du coût total du projet ;
Démontrer l'existence d'une équipe technique capable d'assurer la mise en œuvre du projet.

Composition du dossier :

Formulaire de candidature ;
Preuve de constitution légale ;
Derniers comptes clôturés de l'entreprise (2021 et 2022) ;
Attestation de situation fiscale ;
Copie légalisée du document de la propriété du site de l'entreprise ou le contrat de bail ;
Déclaration sur l'honneur.

Le formulaire de candidature, la déclaration sur l'honneur et les lignes directrices sont en pièces jointes.

Date de réception des dossiers

Les dossiers sont recevables du 5 février au 11 mars 2024 de 8H30 à 16H00. La date limite de dépôt des dossiers de soumission physique est fixée au 11 mars 2024 à 16 heures 00 minute et à 23 heures 59 minutes pour les dépôts en ligne. Aucun projet n'est recevable après cette date.

Lieux de réception des dossiers

Les dossiers numériques sont recevables par courriel à l'adresse : steve.pare@luxdev.lu
Pour les dépôts en ligne, s'assurer de bien obtenir d'un accusé de réception.

Les dossiers physiques (papiers + support numérique en clé USB) sous enveloppe scellée (fermée et cachetée), indiquant la mention « facilité luxembourgeoise de soutien au secteur privé : Appel à projets PFNL », sont recevables à :

la Direction Générale de l'Economie Verte du ministère de l'Environnement à Ouagadougou : NEBIE B. Paulin, Tél : 71 35 05 85 ;

la Direction Régionale de l'Environnement du Centre :
SAWADOGO Yacouba, Tél :76 44 30 18 ;

la Direction Régionale de l'Environnement de la Boucle du Mouhoun :
NEBIE Saga, Tél : 75 46 33 36

la Direction Régionale de l'Environnement du Centre-Ouest :
SAWADOGO Honorine, Tél : 51 88 44 13 ;

la Direction Régionale de l'Environnement du Centre-Sud :
BONKOUNGOU Mohamed, Tél :76353630

la Direction Régionale de l'Environnement des Hauts-Bassins :
NIKIEMA Abdoulaye, Tél :76 03 69 66 / 70 53 30 13 ;

la Direction Régionale de l'Environnement du Plateau Central :
DIAO Adama, Tél : 57 59 64 91.

Un registre sera ouvert à cet effet dans les différents lieux de dépôt. Tout déposant est tenu de signer ledit registre.

NB : - Le présent appel à projet n'impose en aucun cas à la coordination du programme AGREF le remboursement des frais engagés dans la préparation et la soumission des propositions ;

Aucun dossier enregistré ne pourra être retiré ;
Seules les candidatures présélectionnées seront contactées pour la suite de la procédure.

Categories: Afrique

Elargissements de l’Union européenne : histoire et processus d’adhésion

Toute l'Europe - Thu, 29/02/2024 - 10:29
Les pays et élargissements de l’Union européenne

Cliquez ici pour agrandir la carte

L’Europe ne se fera pas d’un coup, ni dans une construction d’ensemble : elle se fera par des réalisations concrètes, créant d’abord une solidarité de fait”. Le 9 mai 1950, le ministre des Affaires étrangères français, Robert Schuman, annonçait ainsi sa proposition de “placer l’ensemble de la production franco-allemande du charbon et d’acier sous une Haute Autorité commune”. Ce discours, devenu célèbre sous le nom de Déclaration Schuman, a marqué le début de l’aventure européenne : la Communauté européenne du charbon et de l’acier (CECA) avec ses six pays fondateurs constitue en effet le noyau autour duquel l’Europe s’est ensuite rassemblée.

L’objectif du projet européen - et donc de ses futurs élargissements - y était aussi défini : la gestion commune des ressources par plusieurs États afin d’écarter l’éventualité d’un conflit. Une idée que Schuman résuma ainsi cinq ans après la fin de la Seconde Guerre mondiale : “la solidarité de production qui sera ainsi nouée manifestera que toute guerre entre la France et l’Allemagne devient non seulement impensable, mais matériellement impossible”. Ce même principe, valable en 1950 pour les deux Etats divisés par une “opposition séculaire”, s’est depuis étendu aux autres pays européens.

Discours de Robert Schuman sur la création de la CECA

À LIRE AUSSIQu’est-ce que la CECA ? De 6 à 28

A la déclaration du 9 mai 1950 succède un an plus tard la naissance de la CECA. Les Etats qui acceptent de mettre en commun leur production de charbon et d’acier sont alors six : la France, la République fédérale d’Allemagne, l’Italie, les Pays-Bas, la Belgique et le Luxembourg, pays fondateurs de l’Union européenne.

Ce sont en effet les mêmes qui signent en 1957 les traités de Rome, établissant la Communauté européenne de l’énergie atomique (Euratom) et, surtout, la Communauté économique européenne (CEE). L’élargissement y est déjà prévu à l’article 237.

En 1973, le premier élargissement porte à neuf le nombre d’Etats membres de la CEE (ainsi que ceux de la CECA et d’Euratom) : le Danemark, l’Irlande et le Royaume-Uni rejoignent le groupe des six fondateurs. Longtemps désintéressée des ambitions communes de ses “voisins continentaux” durant les années 1950, Londres demande, dès les années 1960, à pouvoir rejoindre le club européen, mais se heurte deux fois au refus de Paris avant d’être finalement acceptée en 1973. Cependant, son adhésion aux Communautés européennes ne tardera pas à produire les premières frictions.

Durant les années 1970, la fin de la dictature militaire en Grèce (1967-1974) met un terme à l’isolement diplomatique dans lequel s’était retrouvé le pays. Athènes dépose sa candidature auprès des Communautés européennes (CE) en 1975 et, en 1981, devient le dixième Etat membre.

Une histoire similaire marque l’élargissement suivant. Les régimes dictatoriaux au Portugal et en Espagne se terminent respectivement en 1974, avec la révolution des Œillets, et en 1975, avec la mort de Francisco Franco. Après les premières élections libres et l’adoption de nouvelles constitutions, Portugal et Espagne rejoignent le projet européen en 1986. L’ ”espace de paix” né après la fin de la Seconde guerre mondiale devient aussi une garantie de démocratie.

Le début des années 1990 marque la fin des régimes communistes, la réunification de l’Allemagne et, pour les Communautés européennes, la signature du traité de Maastricht. Les trois communautés européennes laissent ainsi leur place à l’Union européenne qui devient formellement un projet politique et non seulement économique. En 1995, les Etats membres de l’UE passent de 12 à 15, avec l’intégration de l’Autriche, de la Suède et de la Finlande. La Norvège et la Suisse, qui adhèrent déjà à l’AELE (Association européenne de libre-échange) et qui avaient pourtant déposé leur candidature auprès de l’Union, finissent par rejeter l’adhésion par référendum.

Les trois dernières vagues d’élargissements, à partir des années 2000, portent l’UE à treize nouveaux Etats membres. En 2004, dix pays y accèdent : Chypre, la République tchèque, l’Estonie, la Hongrie, la Lettonie, la Lituanie, Malte, la Pologne, la Slovaquie et la Slovénie. Trois ans plus tard, en 2007, c’est au tour de la Roumanie et de la Bulgarie, tandis qu’en 2013 la Croatie devient le 28e pays membre.

L’Islande, qui avait posé sa candidature en 2009, la retire en 2015.

À LIRE AUSSILes élargissements de l’Union européenne, de 6 à 27 Etats membres Le Brexit : de 28 à 27

La possibilité de sortir de l’Union européenne a été introduite seulement en 2007, avec le traité de Lisbonne entré en vigueur deux ans plus tard. Encadrée par l’article 50 du traité sur l’Union européenne (TUE), cette éventualité théorique est devenue un scénario concret, à la suite du référendum britannique du 23 juin 2016.

La victoire du “leave” (“sortir”) a en effet pour la première fois abouti à la mise en œuvre de la procédure permettant à un Etat membre de quitter l’UE. Le 29 mars 2017, le Royaume-Uni déclenche l’article 50 du TUE, qui devait aboutir à leur sortie de l’UE deux ans plus tard, le 29 mars 2019. Mais l’accord de sortie négocié avec les Européens par la Première ministre britannique Theresa May et conclu en novembre 2018 est rejeté trois fois par les députés du Royaume-Uni. Ce qui conduit à trois reports du Brexit (12 avril 2019, 31 octobre 2019 et enfin au 31 janvier 2020) afin d’éviter un no deal, une sortie sans accord du pays de l’UE. Cette dernière aurait notamment pu avoir de graves conséquences économiques.

Boris Johnson, le successeur de Theresa May, réussit quant à lui à conclure avec Bruxelles le 17 octobre 2019 un nouvel accord de sortie, qu’il réussit à faire approuver par les parlementaires britanniques. En conséquence, son pays quitte l’UE le 31 janvier 2020, fait inédit dans l’histoire de la construction européenne.

Une fois le Royaume-Uni sorti de l’UE, une période de transition, pendant laquelle le pays a continué d’appliquer les politiques européennes sans avoir voix au chapitre, s’est ouverte jusqu’au 31 décembre 2020. Celle-ci a permis aux deux parties de négocier leur nouvelle relation, par un accord signé fin décembre 2020, qui les lie à partir du 1er janvier 2021 après la sortie du Royaume-Uni du marché unique et de l’union douanière.

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L’Union voit entre-temps d’autres pays qui demandent à intégrer le projet commun. Aujourd’hui, dix pays attendent en effet aux portes de l’UE. Neuf sont officiellement candidats à l’adhésion : Albanie, Géorgie Macédoine du Nord, Moldavie, Monténégro, Serbie, Turquie, Ukraine et Bosnie-Herzégovine. Le Kosovo a déposé sa candidature en 2022 mais n’a pas encore le statut de candidat.

Pour les Balkans, frappés par une longue guerre fratricide durant les années 1990, l’intégration européenne signifierait avant tout la fin des tensions bilatérales. Elle rendrait le conflit “non seulement impensable, mais matériellement impossible”, pour reprendre les mots de Robert Schuman. Pour l’UE, intégrer cette région correspondrait à une victoire géopolitique face à d’autres acteurs (notamment la Russie) et donc davantage de sécurité.

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Pour les pays de l’ex-URSS (Ukraine, Moldavie et Géorgie), une intégration dans l’Union aboutirait notamment à une protection face aux menaces de la Russie, qui a envahi l’Ukraine le 24 février 2022. Le statut de candidat à l’adhésion a été accordé par les Vingt-Sept à l’Ukraine et à la Moldavie le 23 juin 2022. Les Vingt-Sept ont par ailleurs donné leur feu vert à l’ouverture des négociations d’adhésion avec le deux pays le 14 décembre 2023. Le même jour, ils ont attribué le statut de candidat à la Géorgie.

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Balkans, Turquie, Ukraine… Les différentes réponses données par les institutions européennes aux demandes d’intégration montrent bien que la politique d’élargissement suit des règles précises. L’article 49 du TUE discipline cette matière en statuant que “tout Etat européen qui respecte les valeurs visées à l’article 2 et s’engage à les promouvoir peut demander à devenir membre de l’Union”. Le pays candidat doit donc être “un Etat européen” et se fonder sur “les valeurs de respect de la dignité humaine, de liberté, de démocratie, d’égalité, de l’état de droit, ainsi que de respect des droits de l’homme, y compris des droits des personnes appartenant à des minorités” .

Ensuite, sa demande d’adhésion doit être approuvéeà l’unanimité” par le Conseil de l’Union européenne, “après avoir consulté la Commission et après approbation du Parlement européen”. C’est à ce moment qu’un dialogue officiel s’instaure entre Bruxelles et l’Etat candidat, afin d’établir si ce dernier est en mesure de remplir “les conditions économiques et politiques requises” et de “souscrire aux objectifs de l’Union politique, économique et monétaire”, comme précisé en 1993 par le Conseil européen de Copenhague. Durant ce processus, les pays candidats (et même les “candidats potentiels”) peuvent bénéficier de l’Instrument d’aide de préadhésion (IAP) établi pour faciliter l’implémentation de “l’acquis de l’Union européenne” .

Plusieurs années sont alors nécessaires pour comparer la législation de l’Union, divisée en une trentaine de chapitres, aux dispositions en vigueur dans le pays candidat (les négociations les plus courtes ont été celles de l’Autriche, de la Finlande et de la Suède, qui ont duré un peu moins de deux ans). Le but est de vérifier si l’Etat qui souhaite intégrer l’UE respecte les critères européens en termes d’état de droit, de système judiciaire, d’économie, d’environnement… Une fois ces chapitres “clos”, les pays de l’UE rendent leur décision à l’unanimité. Un traité d’adhésion est alors signé avec le pays candidat et est ensuite soumis à l’approbation des Etats membres. Lorsqu’ils l’ont tous ratifié, parfois à travers un référendum, l’Union européenne peut fêter un nouvel élargissement !

En mars 2020, les Etats membres ont approuvé une réforme du processus d’adhésion. La trentaine de chapitres de négociations est depuis regroupée en six groupes thématiques : “fondamentaux” (état de droit notamment), marché intérieur, compétitivité et croissance inclusive, programme environnemental et connectivité durable, ressources, agriculture et cohésion, relations extérieures. Les Etats membres sont aussi davantage associés au processus, en participant plus systématiquement à son suivi et à son examen. Enfin, les négociations peuvent être suspendues dans certains domaines par les pays de l’UE, voire totalement arrêtées dans les cas les plus graves. Des chapitres de négociations déjà clos peuvent également être rouverts en cas de manquements de la part des candidats.

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L’élargissement permet à l’UE d’agrandir son territoire, sa population, peut l’aider à s’imposer sur l’échiquier géopolitique face aux autres acteurs majeurs mondiaux, mais rend inévitablement le processus décisionnel au sein de ses institutions plus complexe. Au fur et à mesure de l’élargissement de l’UE, le nombre de participants aux réunions du Conseil a aussi augmenté, tout comme la liste des commissaires européens et des eurodéputés siégeant dans l’hémicycle de Strasbourg. Deux positions s’affrontent alors : faut-il accélérer l’adhésion de nouveaux Etats membres ou approfondir l’union déjà créée ?

L’agrandissement constant de l’UE, soutiennent ses détracteurs, produit dans l’Union trop de différences économiques, sociales et politiques, sans laisser le temps pour qu’une véritable cohésion s’établisse entre les Etats membres. De l’autre côté, les partisans de l’élargissement expliquent que le gel de cette politique, voulue par exemple par Jean-Claude Juncker au cours de son mandat (2014-2019), a provoqué un sentiment de frustration dans les Balkans, contribuant à déstabiliser la région et, indirectement, à rendre plus attrayantes les promesses de la Russie aux yeux de certains pays candidats, notamment la Serbie. Comment faut-il alors gérer l’élargissement et jusqu’où vont les frontières de l’UE ? Les réponses à ces questions contribuent à définir le sens même du projet européen.

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Le processus d’adhésion à l’Union européenne en 3 minutes

Toute l'Europe - Thu, 29/02/2024 - 10:26
Lors des négociations d’adhésion, quatre grands critères conditionnent l’entrée d’un nouvel Etat dans l’UE - Crédits : AlxeyPnferov / iStock

A l’heure actuelle, l’Union européenne compte 27 Etats membres. Ils n’étaient que six dont la France lors de la création en 1957 de son ancêtre, la Communauté économique européenne.

Quand cette dernière a pris son nom actuel en 1992, elle s’était déjà élargie trois fois et comptait alors 12 Etats membres. Puis l’UE s’est encore agrandie à quatre reprises jusqu’en 2013, notamment en 2004 lorsque 10 pays d’Europe centrale et orientale l’ont rejointe. Elle a aussi connu un retrait, celui du Royaume-Uni en 2020.

À LIRE AUSSILes élargissements de l’Union européenne en 3 minutes Une longue démarche

Alors, comment rejoint-on le club européen ? En premier lieu, le pays qui souhaite faire partie de l’Union doit déposer sa candidature auprès d’elle. Ce qui ne signifie pas pour autant que l’UE le considère déjà comme un candidat officiel : ce sont les Etats membres qui lui attribuent ce statut à l’unanimité, souvent après plusieurs années. Pour que sa candidature soit jugée recevable, le pays doit être géographiquement européen. Il doit aussi respecter les valeurs de l’Union et s’engager à les promouvoir.

À LIRE AUSSILa procédure d’adhésion à l’Union européenne

Une fois que la candidature du prétendant à l’intégration européenne est acceptée, une stratégie de pré-adhésion est mise en place. Elle permet à l’Etat, notamment grâce à des aides financières européennes, de commencer à mener des réformes pour que ses institutions et son économie respectent peu à peu les critères européens.

Lorsque le candidat est jugé crédible par les Etats membres (à l’unanimité), les négociations d’adhésion peuvent s’ouvrir. Il s’agit de la phase la plus longue et la plus complexe. A titre d’exemple, celle-ci a duré huit ans pour la Croatie, le dernier pays intégré en 2013.

Quatre grands critères

C’est là que la transformation du pays doit lui permettre de satisfaire les trois critères dits “de Copenhague” (1993). Le premier est politique : l’Etat doit posséder des institutions stables qui garantissent la démocratie et l’état de droit. Le deuxième est économique : son économie de marché doit être viable et en mesure de supporter la concurrence des autres économies de l’Union. Enfin, le troisième, appelé “acquis communautaire”, signifie que le futur Etat membre doit intégrer l’ensemble du droit européen dans son droit national. Ajouté en 2006, le critère de la capacité d’intégration implique que l’UE soit à même d’accueillir un nouveau membre. Une exigence qui ne dépend donc pas du candidat, mais qui peut retarder son adhésion.

Lorsque tous ces critères sont respectés, un traité d’adhésion est préparé. Si tous les Etats membres l’approuvent, le candidat devient lui aussi membre de l’UE.

Actuellement, neuf Etats sont officiellement candidats : la Turquie, le Monténégro, la Serbie, l’Albanie, la Macédoine du Nord, l’Ukraine, la Moldavie, la Bosnie-Herzégovine et la Géorgie. Le Kosovo a quant à lui déposé sa candidature en décembre 2022 mais n’a pas encore obtenu le statut de candidat.

À LIRE AUSSIElargissement de l’UE : pourquoi l’adhésion de l’Ukraine, de la Moldavie et de la Géorgie va prendre du temps

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Categories: Union européenne

Football : l'international congolais Héritier Luvumbu signe un précontrat avec V. Club

Radio Okapi / RD Congo - Thu, 29/02/2024 - 10:11


L'international congolais Héritier Luvumbu a signé officiellement mercredi 28 février un précontrat avec l'As V. Club de Kinshasa pour la saison sportive 2024-2025. Cette signature s’est déroulée en présence du président de ce club, Amadou Diaby. 

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Avis de recrutement d'un ou d'une (01) Chef de projet, d'un ou d'une (01) Responsable administratif et financier (RAF), d'un ou d'une (01) Expert en gestion des ressources naturelles (GRN), de trois (03) assistant.e.s techniques, d'un ou d'une (01)...

Lefaso.net (Burkina Faso) - Thu, 29/02/2024 - 10:00

Dans le cadre de la mise en œuvre du « Projet de résilience économique et système agro-alimentaire dans le triangle Ouagadougou – Koudougou - Dédougou – Bobo-Dioulasso » (Projet OKDB) financé par l'Union Européenne en partenariat avec l'ONG WHH et l'Association Nature et Développement (NATUDEV), NATUDEV reçoit des candidatures de personnes qualifiées pour le recrutement d'un ou d'une (01) Chef de projet, d'un ou d'une (01) Responsable administratif et financier (RAF), d'un ou d'une (01) Expert en gestion des ressources naturelles (GRN), de trois (03) assistant.e.s techniques, d'un ou d'une (01) secrétaire-comptable et d'un ou d'une (01) assistant administratif et financier. Le projet a une durée de 46 mois et couvre les communes de Koudougou et de Réo. La composante portée par NATUDEV a pour objet l'appui à la conservation de forêts communautaires.

I. DESCRIPTION DES POSTES ET QUALIFICATIONS

I.1. Poste de Chef de projet

I.1.1. Tâches et responsabilités
Placé sous l'autorité du Président de NATUDEV et basé à Koudougou, le/la Chef(fe) de projet est responsable de l'équipe du projet et a pour mission d'assurer la mise en œuvre opérationnelle de l'ensemble des activités du projet. A ce titre, il sera en charge du pilotage technique, administratif et financier de la composante liée à la gestion des ressources naturelles. Il sera l'interlocuteur direct du chef de projet de WHH dans la gestion des ressources, l'atteinte des indicateurs et le rapportage sur les réalisations de son équipe. Il supervisera l'ensemble de l'équipe technique et administrative de NATUDEV dédiée au projet.

I.1.2. Profil et expériences requis
Le poste de Chef(fe) de projet est ouvert aux femmes et hommes de nationalité burkinabè et remplissant les conditions suivantes :
• avoir un diplôme de Bac + 5 en gestion de l'environnement, développement rural, géographie, Sociologie, SVT ou tout autre diplôme jugé équivalent ;
• justifier d'une expérience professionnelle d'au moins cinq (05) ans à des postes de responsabilité dans la gestion d'activités et d'équipe de projets de développement ou de gestion de l'environnement ;

• avoir une bonne connaissance de la problématique de la gestion des ressources naturelles ;
• avoir une bonne connaissance des réalités socioéconomiques et environnementales de la région du Centre-Ouest ;
• avoir une expérience ou des connaissances des règles et procédures de l'Union Européenne est un atout ;

• être apte à travailler de concert avec différents services de l'administration, les entreprises, les autres projets, les ONG, les associations et groupements et coopératives de producteurs ;
• avoir une bonne connaissance de l'outil informatique.

I.2. Poste de Responsable administratif(ve) et financier(e) (RAF)
I.2.1. Tâches et responsabilités
Sous l'autorité directe du Président du Conseil d'Administration (PCA) de NATUDEV, la ou le Responsable administratif(ve) et financier(e) (RAF) sera basé€ à Ouagadougou au siège de NATUDEV et aura pour missions de :
i) coordonner et contrôler l'exécution des tâches administratives au sein de NATUDEV ;

ii) assurer la supervision du système d'information financière de NATUDEV ;
iii) assurer la gestion des ressources humaines de NATUDEV ;
iv) coordonner la comptabilité de NATUDEV.
Dans le cadre spécifique du projet OKDB, la ou le Responsable administratif et financier (RAF), en étroite collaboration avec le/la Chef de projet, le/la comptable, ainsi que l'assistant.e administratif et comptable, aura pour tâches de :

• assurer la mise en place de la comptabilité (générale, analytique et budgétaire) en temps réel à tous les niveaux du projet et veiller à sa bonne tenue ;
• coordonner la préparation et le suivi des budgets (investissements, fonctionnement et trésorerie) de l'équipe du projet ;
• assurer la gestion de la trésorerie de l'équipe du projet ;
• Gérer les questions de logistiques (commandes, achats, gestion des stocks, etc.).

• assurer le suivi des accords de crédits et des conventions ;
• coordonner les travaux administratifs, financiers et comptables de NATUDEV et de l'ensemble du projet ;
• contribuer à l'application du manuel de procédures administrative, financière et comptable du Projet ;
• rendre compte au Président de NATUDEV et au Chef de projet de la situation administrative, financière et comptable du projet ;
• superviser l'établissement du rapport financier semestriel et les rapports périodiques du projet ;

• suivre l'élaboration des états financiers annuels du Projet, conformément aux normes comptables admises ;
• préparer les audits externes du projet ;
• réaliser toute autre tâche ou mission relevant de ses compétences, non conflictuelles avec ses responsabilités et tâches, à lui confiées par le Président de NATUDEV.


I.2.2. Profil et expériences requis
Le poste de responsable administratif et financier (RAF) est ouvert aux femmes et hommes remplissant les conditions suivantes :
• avoir un diplôme de Bac + 5 en gestion financière, comptabilité ou tout autre diplôme jugé équivalent ;
• avoir une expérience professionnelle d'au moins cinq (05) ans dans les domaines de la comptabilité, de l'audit, de la gestion financière, de la finance, du contrôle de gestion dans le cadre des projets de développement, du secteur public ou privé ;

• avoir une bonne connaissance des procédures de l'Union Européenne et / ou des autres institutions bilatérales / multilatérales de développement ;
• avoir une bonne connaissance des normes SYSCOHADA ;
• disposer d'une aptitude à mettre en place et tenir de façon rigoureuse et informatisée la comptabilité d'un projet selon les normes requises ;
• avoir une expérience dans l'application rigoureuse de manuels de procédures administratives, financières et comptables ;

• avoir une expérience dans la connaissance de logiciels comptables usuels et de système informatisé de gestion comptable et financière adaptés aux projets de développement serait un atout ;

• disposer d'une aptitude à diriger une équipe et à gérer de façon harmonieuse l'ensemble des ressources humaines ;
• être apte à travailler à un rythme soutenu et sous pression.

I.3. Poste d'Expert€ en gestion des Ressources naturelles (GRN)
I.3.1. Tâches et responsabilités
Basé(e) à Koudougou, l'Expert en GRN, sous la responsabilité directe du Chef de projet sera en charge de la conception de la stratégie d'intervention du projet pour la gestion des ressources forestières. Il assurera la formation, l'appui et la coordination des assistants techniques. Il travaillera en étroite collaboration avec les responsables du suivi-évaluation pour assurer les rapportages et l'intégration des données produites pour la composante dans le système de suivi évaluation du projet.

I.3.2. Profil et expériences requis
Le poste d'Expert(e) en GRN est ouvert aux femmes et aux hommes de nationalité burkinabè et remplissant les conditions suivantes :
• avoir un diplôme d'au moins de Bac + 4 en gestion forestière ou de l'environnement, géographie, SVT, développement rural, renforcement des capacités ou tout autre diplôme jugé équivalent ;
• justifier d'une expérience professionnelle d'au moins cinq (05) ans à des postes similaires ;

• Justifier d'une bonne expérience de travail de terrain avec les communautés et les organisations villageoises, les collectivités décentralisées et les services techniques déconcentrés de l'Etat (collaboration, appui-conseil technique, renforcement des capacités, mise en réseau, etc.) ;
• avoir une bonne connaissance de la problématique de la gestion des ressources naturelles ;

• avoir une bonne connaissance des réalités socioéconomiques et environnementales de la Région du Centre-Ouest ;
• avoir une expérience en suivi-évaluation des projets et programmes de développement ;
• Avoir des connaissances en SIG et sera un atout ;
• avoir une bonne connaissance de l'outil informatique.

I.4. Poste d'Assistant(e)s techniques

I.4.1. Description des tâches et responsabilités
Les trois (03) Assistant(e)s Techniques seront basé(e)s à Koudougou ou à Réo. Ils/elles seront sous la supervision directe de l'Expert en GRN de NATUDEV et assureront la mise en œuvre des activités d'appui à la protection, d'aménagement et de gestion de forêts auprès des ménages/communautés et organisations communautaires de base.

I.4.2. Qualifications requises et expériences professionnelles
Le poste d'Assistant(e) technique est ouvert aux femmes et aux hommes de nationalité burkinabè et remplissant les conditions suivantes :
• avoir un diplôme d'au moins de Bac + 2 en gestion forestière ou de l'environnement, géographie, SVT, Sociologie ou tout autre diplôme jugé équivalent ;
• parler couramment le lyéla et/ou le mooré ;

• justifier d'une expérience de travail d'au moins trois (03) ans avec des communautés rurales dans les domaines de la foresterie, la CES/DRS, la Régénération naturelle assistée, etc. ;
• avoir une bonne connaissance de la problématique de la gestion des ressources forestières ;

• avoir des aptitudes à travailler et à vivre en milieu rural ;
• avoir une bonne connaissance des réalités socioéconomiques et environnementales de la Région du Centre-Ouest ;

I.5. Poste d'Assistant(e) administratif(ve) et financier(e)

I – 5 - 1 Description des tâches et responsabilités
Sous la responsabilité du Chef de projet, et basé(e) à Koudougou, l'assistant(e) administratif(e) et financier(e) aura en charge de la gestion du secrétariat et la tenue de la comptabilité de l'équipe du projet installée à Koudougou. Il/elle aura pour tâches de :

 assurer la vérification et la saisie des pièces comptables ;
 tenir la comptabilité du projet (gestion de la caisse et des pièces comptables) ;
 assurer les paiements des prises en charge et des factures ;
 rechercher les prix et assurer les négociations avec les fournisseurs et les prestataires ;

 élaborer et soumettre périodiquement des rapports de l'exécution financière ;
 assurer le secrétariat et le classement réclamé par sa fonction ;
 assurer la gestion du courrier et des fournitures de bureau ;
 gérer les visites et les appels téléphoniques ;
 gérer les missions, réunions et déplacements des membres de l'équipe terrain ;
 rédiger les comptes rendus de réunions ;
 informer les services rattachés de la tenue d'activités qui nécessitent leur participation ;

 avoir une bonne connaissance de l'outil informatique et des logiciels de comptabilité ;
 exécuter toutes autres tâches à lui confiées par sa hiérarchie dans le cadre de ses fonctions ;

I – 5 - 2 Qualifications requises et expériences professionnelles
Le poste d'assistant(e) administratif(ve) et financier(e) est ouvert aux femmes et aux hommes de nationalité burkinabè et remplissant les conditions suivantes :
 être titulaire d'un diplôme de niveau BAC + 2 en comptabilité avec des connaissances en secrétariat ;

 justifier d'une expérience professionnelle d'au moins trois (03) ans au poste d'assistant.e administratif et financier, de secrétaire-comptable ou de comptable ;
 avoir une aisance dans l'expression orale ;
 avoir un bon sens de l'initiative ;

 avoir une bonne capacité d'organisation et de communication ;
 être dynamique, discret.e et accueillant.e ;
 être ponctuel.le, assidu.e et disponible.
I.6. Poste de secrétaire-comptable
I.6.1. Tâches et responsabilités

Basé(e) à Ouagadougou et sous la supervision du ou de la Responsable Administratif et Financier (RAF), le ou la secrétaire-comptable est chargé(e) d'assister le ou la RAF dans l'exécution de ses tâches.

I.6.2. Profil et expériences requis
Le poste de secrétaire-comptable est ouvert aux femmes et aux hommes remplissant les conditions suivantes :
• être titulaire d'un diplôme d'au moins de niveau Bac + 2 en comptabilité et en secrétariat ;

• avoir une expérience professionnelle d'au moins trois (03) ans à un poste de secrétaire-comptable dont 2 au moins au poste de secrétaire-comptable dans un projet de développement ;
• avoir une bonne connaissance et une expérience des logiciels de gestion financière et comptable et de traitement de texte ;
• avoir une bonne expérience en matière de normes comptables SYSCOHADA serait un atout ;

• avoir une bonne connaissance des règles et procédures de gestion financière des projets.
• Avoir des expériences en activités de communication et visibilité serait un atout (prises de photos et de vidéos, publications sur site internet et réseaux sociaux numériques…).

II - COMPOSITION DES DOSSIERS DE CANDIDATURE ET DATE LIMITE DE DEPÔT

Les dossiers de candidature devront comprendre :

• une demande manuscrite adressée à Monsieur le Président de l'Association NATUDEV ;
• une lettre de motivation d'une (01) page maximum, datée et signée ;
• un curriculum vitae détaillé à jour, daté, signé et certifié sincère faisant ressortir les expériences pertinentes et les aptitudes du candidat ;

• un extrait d'acte de naissance ou de jugement supplétif en tenant lieu ou une photocopie légalisée de l'une de ces pièces ;
• une photocopie légalisée du certificat de nationalité burkinabè ou tout autre document justifiant la nationalité burkinabè ;

• une photocopie légalisée des diplômes ou attestations de succès ;
• une photocopie des certificats ou attestations de travail ou tout autre document pouvant attester des compétences et expériences mentionnées dans le CV ;
• une photocopie légalisée de la CNIB en cours de validité.
• un casier judiciaire datant de moins de trois (03) mois (pour les candidats retenus à l'issue de la présélection).

Les dossiers de candidature sont reçus du 01 mars au 11 mars 2024 aux adresses e-mail : contact@associationnatudev.org et alain.bembamba@gmail.com. En cas de besoin, veuillez contacter NATUDEV au 63 03 91 91 ou 79 19 39 10.

IV - DEROULEMENT DU RECRUTEMENT

Le recrutement se déroulera en deux (02) phases :
Phase 1 : présélection sur dossier.
Phase 2 : entretien oral avec un jury sur la base des termes de référence du poste suivi, éventuellement, de tests pratiques.

NB : seuls les candidats ayant franchi la phase de présélection seront contactés pour la phase des entretiens oraux et, éventuellement, de tests pratiques.

V - DUREE DES CONTRATS

Les candidats définitivement retenus auront un contrat d'un (01) an avec une période d'essai de (03) mois. Le contrat est renouvelable en fonction des résultats des évaluations de performance de l'agent et dans la limite de la durée du projet.

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Insécurité au Burkina : L'UE condamne les attaques du 25 février 2024

Lefaso.net (Burkina Faso) - Thu, 29/02/2024 - 09:51

Le 25 février 2024, le Burkina Faso a enregistré plusieurs attaques sur son territoire qui ont visé spécialement une église et une mosquée. Dans la déclaration ci-après, l'Union européenne s'émeut face à cette situation et condamne avec la dernière énergie, ces actes qui ont endeuillé le pays. Par ailleurs, réaffirme t-elle sa volonté de rester aux côtés du peuple burkinabé pour affronter les multiples défis auxquels il est confronté.

L'Union européenne exprime sa solidarité envers le Burkina Faso suite aux récentes attaques terroristes au Nord et à l'Est du pays, qui ont fait ce dimanche 25 février 2024 de nombreuses victimes, notamment lors d'assauts dans une mosquée et dans une église.

L'UE condamne avec fermeté ces attaques menées par des groupes armés radicaux et présente ses sincères condoléances aux familles des victimes.

L'UE réaffirme sa volonté de rester aux côtés du peuple burkinabé pour affronter les multiples défis auxquels il est confronté, en agissant notamment sur les causes profondes de l'extrémisme violent, et en fournissant une aide humanitaire au plus proche des populations affectées.

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