Les gérants des auto-écoles ne sont pas prêts à adopter le nouveau cahier des charges élaboré par le ministère des Transports.
Le président de la Fédération des auto-écoles a affirmé que ce cahier des charges comporte des obligations qui font lourdement augmenter les charges de fonctionnement. A rappeler qu’il est fait obligation aux auto-écoles de changer de véhicules tous les cinq ans, par exemple.
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Selon les statistiques de la Ligue algérienne de défense des droits de l’Homme 100 000 Algériens partent se soigner en Tunisie annuellement.
Au même moment, révèle la ligue, 1 200 dossiers pour erreurs médicales sont au niveau des tribunaux en Algérie.
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Le Real Madrid coupé dans son élan ! Le club merengue a concédé une défaite surprise à domicile contre Gérone (2-1), hier pour la 24e journée du Championnat d’Espagne, abandonnant la deuxième place à l’Atlético et laissant le leader Barcelone reprendre le large.
Au stade Santiago-Bernabeu, le Real semblait maîtriser son match après l’ouverture du score signée Casemiro de la tête (25e). Mais les Madrilènes ont manqué d’efficacité et Gérone en a profité grâce à un penalty de Cristhian Stuani (65e) et une tête plongeante de Portu (75e). Pour ne rien arranger, le capitaine Sergio Ramos a été exclu après un deuxième carton jaune pour jeu dangereux (90e). C’est un coup d’arrêt pour l’équipe de Santiago Solari : elle affichait la meilleure dynamique parmi les équipes de tête avant de flancher inexplicablement contre le modeste club catalan, qui n’avait plus gagné en Liga depuis fin novembre !
Au classement, le Real (3e, 45 pts) est doublé par l’Atlético Madrid (2e, 47 pts) et laisse le Barça (1er, 54 pts) reprendre neuf longueurs d’avance à dix jours d’un enchaînement de deux clasicos, en Coupe du Roi le 27 février et en Liga le 2 mars. Le plus rageant, pour la «Maison blanche», est d’avoir plutôt bien joué ce week-end alors que le Barça et l’Atlético ont gagné sans briller samedi, respectivement contre Valladolid (1-0) et le Rayo Vallecano (1-0).
Le Real a trop gâché
A la décharge du Real, plusieurs titulaires manquaient à l’appel au coup d’envoi (Modric suspendu, Carvajal et Vinicius remplaçants). Et peut-être les joueurs madrilènes ont-ils accusé le coup physiquement après un rude enchaînement de matchs et une victoire au forceps 2-1 contre l’Ajax Amsterdam mercredi en huitièmes de finale aller de Ligue des champions.
Dominateur contre Gérone, le Real a logiquement pris l’avantage sur une tête décroisée impeccable de Casemiro à la réception d’un centre de Toni Kroos (25e). Soit le troisième but en cinq journées pour le milieu défensif brésilien. Mais ce match aurait dû être rapidement plié par les Madrilènes, qui ont eu tout le loisir de prendre le large sans y parvenir.
Ainsi de Marco Asensio, buteur à Amsterdam mais moins inspiré hier (19e, 21e). Ou de Karim Benzema, dont les tentatives brûlantes n’ont pas fait mouche (31e, 41e, 52e). A trop gâcher, le Real s’est exposé aux contres de Gérone, notamment sur le flanc du latéral brésilien Marcelo, décidément en méforme. Troisième meilleur buteur de Liga avec 13 buts, Stuani a trouvé le poteau de la tête (64e) avant de transformer un penalty logique (65e) obtenu sur une main de Ramos, dont ce n’était définitivement pas la journée. En fonction de sa durée de suspension, le capitaine manquera au moins le déplacement à Levante le week-end prochain…
Le Real était groggy et Gérone en a profité: Portu a trouvé le poteau (70e) puis a donné l’avantage aux Catalans d’une tête plongeante après une série de cafouillages défensifs (75e). Et les derniers assauts du Real, plus intenses qu’ordonnés, n’ont pas fait mouche à l’image de cette frappe de Vinicius qui a fui le cadre (80e) ou de cette tête à côté du gardien Thibaut Courtois qui était monté sur l’ultime corner du match. La Liga semblait relancée le week-end dernier ? Elle reste hautement imprévisible…
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Entre le vestiaire et Maurizio Sarri, quelque chose ne va pas : à l’heure d’affronter Manchester United en huitième de finale de la Coupe d’Angleterre, ce soir (20h30), Chelsea cale, enchaîne les contre-performances… mais refuse de voir tout en noir.
Ça ne va pas très fort à Stamford Bridge. Et ce n’est pas la petite victoire à Malmö (2-1) jeudi soir en seizième de finale aller de la Ligue Europa, même si elle est porteuse d’espoir, qui aura rassuré grand monde. Pas après les naufrages de Premier League à Arsenal (2-0), Bournemouth (4-0) et l’humiliation infligée par Manchester City dimanche dernier (6-0). Trois défaites qui ont fait glisser les Londoniens en dehors du top 4, synonyme de qualification pour la prochaine Ligue des champions. Pour la presse britannique, Sarri joue donc sa survie, alors que plusieurs échéances cruciales se présentent d’ici la fin février.
Il y a donc le choc d’aujourd’hui, mais aussi le retour contre Malmö (21), la finale de la Coupe de la Ligue (24), puis Tottenham en championnat (28). «Nous savons que c’est une période cruciale. Nous avons quelques matchs très importants. Le premier sera United. Ce sera un vrai défi», a déclaré Gianfranco Zola, l’adjoint de Sarri. Sur le terrain, les «Blues» ne trouvent plus la solution. Le «Sarri-ball» fait de possession et de passes courtes ne fonctionne plus. Plusieurs médias évoquent même un certain ras-le-bol de certains joueurs, ensevelis sous les consignes et la précision tactique que nécessite le système de l’Italien.
«Sur la bonne voie»
Pire, certains joueurs, et non des moindres, comme N’Golo Kanté ou Eden Hazard, n’ont pas évolué à leurs positions favorites. De quoi provoquer interrogations et mécontentement, d’autant plus que l’entraîneur se refuse à des compromis tactiques. Après les défaites d’Arsenal et Bournemouth, Sarri n’avait pas caché sa colère. Après le naufrage à l’Etihad Stadium, il avait déclaré «ne pas arriver à comprendre». La victoire en Suède lui a toutefois redonné un peu d’allant. Il s’est ainsi dit «content», après la «confiance» enfin montrée par son équipe sur le terrain. Les discussions entre staff et effectif ont-elles enfin porté leurs fruits ? «Nous avons déjà eu de nombreuses réunions où l’on nous a demandé si quelqu’un ne croyait pas» dans le projet de Sarri, a ainsi expliqué David Luiz après le succès en C3.
«On pouvait le dire et personne n’a rien dit. C’est parce que tout le monde y croit», a insisté le Brésilien, ajoutant que Chelsea avait «un avenir extraordinaire» devant lui sous la direction de l’Italien. «Nous avons perdu quelques matchs parce que cela fait partie du processus. Les équipes qui sont maintenant au sommet au classement ont des managers en place depuis trois ans ou plus», a rappelé le défenseur. «Il y a une grande différence quand on a déjà tout compris (du système). Je pense que nous sommes sur la bonne voie pour nous améliorer et devenir une équipe fantastique.» Pour l’entraîneur de MU Gunnar Solskjaer, évoquant la défaite contre Paris en C1, «Il ne sert à rien de s’attarder là-dessus, car il y a de gros matchs contre de bonnes équipes. Nous devons nous reprendre et retrouver notre place lundi». Reste à ne pas couler à Stamford Bridge pour Chelsea contre un Manchester United revanchard.
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ALGER – Les conditions d’exercice des opérations de banque relevant de la financeparticipative par les banques et les établissements financiers ont été fixées par un règlement publié au Journal officiel no 73.
Ce règlement, adopté par le Conseil de la monnaie et du crédit le 4 novembre dernier, a pour objet de définir les règles applicables aux produits dits « participatifs » ne donnant pas lieu à perception ou à versement d’intérêt et de définir les conditions d’autorisation préalable, par la Banque d’Algérie, des opérations de banque relevant de la finance participative, des banques et établissements financiers agréés.
Selon ce texte, sont considérées des opérations de banque relevant de la finance participative, les opérations de réception des fonds, de placement, de financement et d’investissement, qui ne donnent pas lieu à la perception ou au versement d’intérêts.
Ces opérations concernent notamment la Mourabaha, la Moucharaka, la Moudaraba, l’Ijara, l’Istisna’a, le Salam, ainsi que les dépôts en comptes d’investissement.
Pour mettre en place des produits de finance participative, la banque ou l’établissement financier doit obtenir une autorisation préalable de la Banque d’Algérie.
A ce titre, la banque ou l’établissement financier doit appuyer sa demande adressée à la Banque d’Algérie par l’avis du responsable du contrôle de la conformité de la banque ou l’établissement financier ainsi que la procédure à suivre pour assurer l’indépendance administrative et financière du « guichet finance participative » par rapport au reste des activités de la banque ou de l’établissement financier.
Après obtention de l’autorisation préalable de la Banque d’Algérie, les banques et établissements financiers agréés, désireux d’obtenir pour leurs produits, une certification de conformité aux préceptes de la charia, doivent soumettre lesdits produits à l’appréciation de l’organe national dûment habilité, selon le règlement.
Le « guichet finance participative », doit être financièrement indépendant par rapport aux autres départements et branches de la banque et de l’établissement financier, souligne le même texte précisant que cette séparation comptable est concrétisée par l’indépendance des comptes clients du « guichet finance participative »par rapport au reste des comptes de leur clientèle.
L’existence d’une section comptable ou d’un département financier propre au « guichet finance participative » a pour principal objectif, l’établissement des états financiers dédiés, y compris l’établissement d’un bilan faisant apparaitre l’actif et le passif de ce guichet ainsi qu’un état détaillé des revenus et des dépenses y afférents.
L’indépendance du « guichet finance participative » au sein de la banque ou de l’établissement financier est assurée par une organisation et un personnel exclusivement dédiés, ajoute le règlement.
Les banques et les établissements financiers ayant reçu l’autorisation préalable pour commercialiser ces produits, doivent informer leur clientèle des barèmes et des conditions minimales et maximales qui leur sont applicables. Ils doivent également informer les déposants, en particulier ceux titulaires des comptes d’investissement, sur la nature de leurs comptes.
Les dépôts en compte d’investissement sont soumis à un accord écrit conclu avec le client, autorisant la banque à fructifier ses dépôts dans le portefeuille des projets et opérations du « guichet finance participative » que la banque accepte de financer.
Le déposant ouvre droit à une part des bénéfices dégagés par le » guichet finance participative » et supporte une part des pertes éventuelles enregistrées dans les financements engagés par la banque, note encore le même texte.
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L’Italie et Malte avaient refusé de les accueillir. Plus de 300 migrants secourus il y a une semaine au large de la Libye par l’ONG espagnole Proactiva Open Arms sont arrivés vendredi 28 décembre en Espagne.
Le bateau de l’ONG est entré vers 8 h 30 dans la baie de Gibraltar, dans le sud de l’Espagne, avant d’accoster une demi-heure plus tard dans le port de Crinavis, sur la commune de San Roque. Après une semaine de mer, où ils ont célébré Noël à bord de l’Open Arms, les occupants du bateau ont crié et applaudi lors de leur arrivée dans le port.
« Mission accomplie », a lancé, juste avant l’amarrage, le fondateur de l’organisation, Oscar Camps, sur Twitter :
« Bonjour, l’Open Arms, déjà dans la baie, se dirige vers le lieu d’accostage de l’unique port sûr disponible dans la Méditerranée. Mission accomplie. »
Une fois sur la terre ferme, ces 311 migrants, originaires notamment de Somalie, du Nigeria ou du Mali, vont être accueillis par la Croix-Rouge, qui leur fournira vêtements, nourriture et assistance médicale si nécessaire. La police procédera ensuite à leur identification avant qu’ils puissent être dirigés vers des lieux d’accueil.
Secourus le 21 décembre alors qu’ils se trouvaient à bord de trois embarcations précaires en Méditerranée, ces migrants avaient été autorisés à débarquer en Espagne le lendemain par le gouvernement socialiste de Pedro Sanchez, après avoir été refusés par l’Italie et Malte. Selon Madrid, la Libye, la France et la Tunisie n’avaient, quant à elles, pas répondu à la demande de l’ONG après la fin de non-recevoir opposée par l’Italie.
Si Malte a refusé l’accès de ses ports au navire, une femme et un bébé, né sur une plage libyenne quelques jours avant la traversée, ont en revanche pu être évacués samedi sur l’île en hélicoptère. Un mineur a, par ailleurs, été emmené vers l’île italienne de Lampedusa.
Traversée d’une semaineDepuis le feu vert accordé par Madrid, ces migrants ont entrepris une traversée d’une semaine pour rejoindre l’Espagne. Un autre bateau de l’ONG espagnole, le voilier Astral, les a ravitaillés lundi en pleine mer, leur apportant nourriture, médicaments et couvertures.
Proactiva Open Arms avait repris fin novembre, avec deux autres bateaux d’ONG, ses missions de sauvetage au large de la Libye, après avoir décidé de les suspendre fin août. Elle dénonçait alors la « criminalisation des ONG », notamment par l’Italie, en particulier par son ministre de l’intérieur d’extrême droite, Matteo Salvini.
C’est la première fois depuis près de cinq mois que l’Espagne accepte de laisser débarquer des migrants d’un bateau d’une ONG. Arrivé au pouvoir au début de juin à Madrid, Pedro Sanchez avait frappé un grand coup quelques jours plus tard en accueillant le navire humanitaire Aquarius, lui aussi refusé par l’Italie et Malte et au centre de fortes tensions en Europe à propos de la politique migratoire.
Madrid avait ensuite accepté à trois reprises, en juillet et août, d’accueillir un bateau d’Open Arms avec des migrants à bord, avant de rechigner à laisser de nouveau débarquer les passagers de l’Aquarius. Le gouvernement préférait alors négocier avec d’autres Etats européens la répartition de ses migrants.
L’Espagne est devenue depuis cet été la première porte d’entrée des migrants illégaux en Europe, devant la Grèce et l’Italie. Plus de 56 000 migrants sont arrivés dans ce pays par la mer depuis le 1er janvier, tandis que 769 sont morts au cours de la traversée.
La route de la Méditerranée centrale est la plus meurtrière, avec 1 306 migrants morts lors de la traversée vers les côtes italiennes et maltaises depuis le début de l’année, selon les derniers chiffres de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), actualisés au 19 décembre.
L’Espagne est, en revanche, devenue depuis cet été la première porte d’entrée des migrants illégaux en Europe, devant la Grèce et l’Italie. Plus de 56 000 migrants sont arrivés dans ce pays par la mer depuis le 1er janvier, tandis que 769 sont morts lors de la traversée.
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Ça pourrait faire sourire, mais c’est du sérieux et pour cause! Quand on voit comment nos pays voisins se disputent notre couscous après l’avoir fait avec le raï! En effet l’Algérie s’est résolue à déposer son dossier pour le classement du couscous au patrimoine de l’humanité et ce, avant la fin mars 2019. Et pour clore les polémiques, ce dernier qui saisira le Comité d’évaluation de l’Unesco le fera au nom de quatre pays maghrébins, fait savoir Slimane Hachi, le directeur du Centre national de recherche préhistorique, anthropologique et historique (Cnrpah). Les quatre pays en question sont donc l’Algérie, la Tunisie, le Maroc et enfin la Mauritanie. Les travaux qui se poursuivent actuellement et qui consistent en la rédaction d’un texte solide ainsi qu’un reportage vidéo permettra de déposer cette demande de classement du couscous comme élément commun aux quatre pays.
Aussi, des réunions se tiennent actuellement pour assurer la meilleure démarche possible afin d’assurer la préservation de ce patrimoine culinaire. «L’instance onusienne encourage les pays à se mettre en synergie pour présenter des dossiers communs transfrontaliers» nous apprend-on. Voila qui est un premier pas assez positif pour le symbole de l’Union du Maghreb. Une belle initiative en tout cas, visant à faire connaître une des spécificités gastronomiques de la population du Maghreb, qui est à saluer.
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Le coup d’envoi de la première édition du Concours national des courts métrages «Golden Eye» (OEil d’or) a été donné mardi à Alger avec la participation de 12 films de plusieurs wilayas. Initié par l’Union nationale des arts culturels (Unac) et organisé à la salle «Al-Khiyam» relevant de la commune d’Alger-Centre, cet évènement, qui prendra fin aujourd’hui comprend outre les projections, plusieurs activités culturelles et scientifiques dont des ateliers de formation. La cérémonie d’ouverture a été marquée par la projection d’un court métrage Harb Oukhra (Une autre guerre) du réalisateur irakien, Ahmed Chawki Hanoun, qui traduit la réalité de la guerre menée contre la société irakienne.
De son côté, la directrice de l’Unac, Amel Arossi, a souligné dans son allocution d’ouverture, l’intérêt qu’accorde cette institution aux innovations des jeunes en oeuvrant, notamment à les encourager et à les aider pour développer leurs compétences à travers ces manifestations.
Pour sa part, le secrétaire général de l’Office de promotion culturelle et artistique (Opca) d’Alger-Centre, Amine Zemam, a fait savoir que la mobilisation de ces espaces avait pour but de faire passer les oeuvres de ces jeunes, notamment en matière de production cinématographique, rappelant, à cette occasion, le projet de réhabilitation des salles de cinéma relevant de sa commune à l’image de la salle «Djazairia» qui est en cours de dotation d’un système de projection numérique (DCP).
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Polyvalent, Ali Ghanem a plusieurs cordes à son arc. En tant que cinéaste déjà il a réalisé de nombreux films que ce soit dans le court métrage, documentaire ou long métrage. On citera d’abord Mektoub, son premier film qui a attiré en France l’attention sur la situation des immigrés contraints de vivre dans des bidonvilles et qui a été distribué un peu partout en Europe (ce film figure aujourd’hui au catalogue du Musée national de l’immigration),mais aussi Une femme pour mon fils, qui a obtenu le Prix de la critique internationale au festival de Venise en1983 et est resté trois mois à l’affiche à Alger. Ali Ghanem est aussi romancier et prépare même un nouveau livre. En attendant, il nous parle ici de ses projets cinéma et nous fait part de son sentiment bien négatif à propos de la situation du 7 ème art en Algérie..
L’Expression: Vous prenez le temps pour faire un film, un docu-fiction qui devrait s’appeler Retour au douar. Pourriez-vous nous en parler?
Ali Ghanem: Je tarde à terminer ce film car j’en suis le producteur principal et je peine à réunir les financements nécessaires pour le mener à terme.
Ce genre de film, n’est pas rentable. Par ailleurs, je ne suis pas seulement cinéaste je suis aussi romancier et occasionnellement journaliste. Je m’occupe de la distribution de films, je collabore dans des journaux algériens et français. Je prépare un livre qui rassemble les interviews d’une quarantaine d’écrivains, maghrébins, africains et européens que j’ai faites au fil du temps. J’ai également en chantier un roman, en partie autobiographique. Sinon, je travaille sur ce film, «Le retour au douar» (le titre n’est pas définitif) depuis pas mal de temps effectivement.
C’est un film sur la mémoire, l’histoire d’un Algérien qui, devenu âgé revisite son passé. Ce genre de film n’intéresse ni les distributeurs ni les exploitants de salles français, et je ne suis pas sûr non plus qu’il ait beaucoup d’amateurs en Algérie. Ce n’est pas un film fait avec des vedettes. Au surplus, ici en Algérie, il faut passer devant une commission du ministère de la Culture, le Fdatic pour pouvoir obtenir des subventions.
Vous en avez obtenu?
J’ai pris le risque de ne pas encore en solliciter. Je compte déposer un dossier plus tard, pour la post-production. Le sujet est complexe et j’écris et je tourne au fur et à mesure de mes idées et de mes rencontres. La question mémorielle est très importante pour toute une génération d’immigrés qui sont restés en France par l’effet des circonstances, sans trop bien savoir pourquoi et comment et qui s’y retrouvent malades, isolés et un peu perdus. Ces derniers appartiennent à une génération qui est en train de s’éteindre dans l’indifférence, certains mêmes sont arrivés en France avant l’indépendance et tous ont connu le déchirement de la vie entre deux cultures.
Comment travaillez-vous pour réaliser ce scénario?
J’essaie de traduire en images ce qui se passe dans la tête de mes personnages. J’observe d’abord l’un d’entre eux, puis je le quitte pour m’intéresser à ses amis… Je les fais parler de leurs souvenirs, de leurs émotions partagées, de leur amitié…
Vous les mettez en situation ces personnages? Pourquoi ce sujet?
Le problème de l’immigration est un sujet d’actualité douloureux. Mais on met rarement le projecteur sur la génération en train de s’éteindre, on parle beaucoup des immigrés de la seconde génération, des problèmes de la jeunesse des banlieues, de l’islamisme, etc.
Mais ces gens qui ont vécu en France pendant 30 ans, 40 ans, 20 ans, ils sont mal à l’aise en France, mais aussi dans leur pays d’origine, ils sont aussi parfois en décalage ou même en conflit avec leurs enfants qui ne partagent plus ni leurs valeurs ni leur mode de vie et qui ne retrouvent plus leurs repères, qui en parlent.
L’immigration a changé. Avec l’Europe, les frontières sont ouvertes, on voit maintenant des immigrés polonais, tchèques, bulgares, russes, mais celui qui reste l’immigré, c’est l’homme de couleur, ce sont le Maghrébin et le noir. On parle toujours de la fausse intégration. Le Portugais ou le Polonais est catholique, et européen, le Maghrébin, lui, est musulman et on le renvoie toujours à sa religion. Moi personnellement, je suis plus parisien qu’un parisien parce que j’ai grandi en France. Cela fait 53 ans que j’y vis. Je m’intéresse à la culture française, je peux même dire que je la connais souvent plus que ma culture d’origine, puisque j’ai tout appris en France. Mais, j’y suis toujours considéré comme un étranger, pourquoi? Parce que je m’appelle Ali et que je suis basané. Et le dernier Polonais analphabète est blanc et catholique, il mange du porc alors que moi je n’en mange pas! On ne lui parle pas d’intégration, mais moi on m’en parle sans cesse.
En plus, cela ne s’arrange pas depuis la montée du terrorisme. De plus en plus d’homme, arborent la barbe, des femmes portent le nikab avec ostentation; ces gens, immigrés ou fils d’immigrés veulent s’imposer dans l’espace public en tant que musulmans alors qu’une des valeurs de la France c’est la laïcité.
Ils se revendiquent français tout en refusant la culture française. Les jeunes qui sont nés français sont souvent plus démonstratifs par rapport à la religion musulmane que leurs parents.
Vous faites en quelque sorte un travail sur la mémoire?
Ce qui m’intéresse par rapport à la mémoire, c’est que beaucoup d’immigrés de ma génération ont perdu leurs repères, leur mémoire. Ils ont oublié comment on vit en Algérie et en même temps, ils ne se sentent pas chez eux en France. Ils vivent toujours de manière marginale. J’essaye d’analyser cela. Ce qui m’intéresse en suivant le personnage central c’est de brosser le portrait de quelqu’un qui se pose des questions sur son identité parce qu’il s’aperçoit que les codes ont changé dans les deux pays…
Cela va mettre du temps avant que votre film voie le jour, alors?
Je ne sais pas, je ne me pose pas la question. Comme je vous l’ai dit, j’en suis le producteur et je tourne en fonction des moyens dont je dispose…Je me passionne pour la création. J’ai la chance de faire plusieurs choses à la fois. Dans le passé, j’ai déjà sorti chez Flammarion deux livres qui s’appellent «Le serpent à sept têtes» et «Une femme pour mon fils» qui ont été traduits en sept langues, aux USA et en Chine, notamment, et dans les pays européens..
En parlant de cinéma en Algérie, vous semblez porter un regard assez acerbe sur la situation du 7ème art en Algérie…
C’est malheureusement vrai. Je dis cela parce que je ne comprends pas qu’aujourd’hui on n’y tourne plus que des films qui restent des films locaux, réalisés avec beaucoup d’argent, et qui ne seront vus par personne. A quoi ça sert de faire des films s’ils ne sortent pas en salle? D’ailleurs, il n’y a pas de salles! Quand je dis des films locaux, je veux dire des films qui se cantonnent à des problématiques locales.
Même s’il y a des festivals cinématographiques en Algérie, il est significatif de relever qu’ils font surtout la promotion de films étrangers.. Il faudrait diversifier les sujets pour intéresser le public, tourner aussi des films d’action, d’aventure, d’amour etc.
Le spectateur voudrait avoir peur, pleurer, passer un moment de détente, rire, bref avoir des émotions quand il regarde un film, et c’est rarement le cas avec les films algériens…
Pensez-vous que votre film intéressera les Français?
Ce n’est pas ce qui me préoccupe. Pourquoi me parle-t-on, toujours de la France? Mon film s’il sort uniquement en France, ce n’est pas intéressant. S’il sort uniquement en Algérie, non plus, ce n’est pas intéressant. Un film, il faut qu’il ait un regard universel. Pourquoi un film américain est-il compris à New York, à Tombouctou et à Alger? Parce qu’il traite d’un sujet universel.
C’est pareil pour la littérature. On fait souvent le procès à Kamel Daoud, Bouelam Sansal et Yasmina Khadra, par exemple, d’avoir écrit des ouvrages pour la France et de faire preuve de servilité à l’égard de l’ancienne puissance coloniale. C’est totalement faux. Leurs livres sont vendus dans toute l’Europe et sont traduits dans 35 langues. On dit qu’ils traitent de problèmes en rapport avec le quotidien en Algérie. Oui, c’est vrai, mais leur succès tient avant tout à ce que, en traitant de problèmes algériens, ils sont parvenus à atteindre l’universel, ce qui est le propre de tous les grands écrivains; Et peu importe la langue dans laquelle ils s’expriment… Reproche-t-on à Dostoievsky ou à Tolstoï d’avoir traité de problèmes de la Russie? ou à Victor Hugo d’avoir situé l’action de ses personnages en France? On a ce complexe de vouloir toujours expliquer ou critiquer par rapport au passé colonial de la France. Moi ce qui m’intéresse c’est que mon film sorte en Europe. Mon but est que mon oeuvre sorte dans les pays maghrébins, européens et africains. Si je fais un film pour qu’il sorte uniquement en France ce n’est pas intéressant car il faut savoir qu’en France, nos films sortent dans le ghetto. Ils sortent dans des salles d’art et d’essai. On appelle cela le ghetto. Ce sont des salles qui sont destinées aux amoureux de films méditerranéens, des pays de l’Est etc. Ils ne font pas le grand circuit des salles de cinéma. Gaumont n’a sorti aucun film algérien, pas même les films de Allouache,. UGC non plus. Ce sont des petits distributeurs indépendants qui s’occupent de la sortie des films dans le quartier Saint-Michel, Saint-Germain des Prés et dans les salles d’art et d’essai. Mes films sont passés par là aussi. Mais ils sont aussi passés sur France 2 et Canal +. Même le film de Sofia Djama, qui est passé dans les circuits des petites salles MK, n’est pas passé sur les boulevards, dans les grandes salles Gaumont et UGC. Moi, je ne voudrais pas seulement projeter mon film à la Cinémathèque algérienne, où le public, de qualité certes, est toujours le même.
C’est pour cela que j’insiste sur le rôle de la télévision parce que même un film médiocre y sera vu par un large public.L’objectif d’un cinéaste c’est que son film soit vu. Quand mon film Mektoub était passé dans l’émission Dossier de l’écran, avec un débat, sur France 2, en 1970, il y avait 11 millions de téléspectateurs qui étaient devant leur petit écran. selon les chiffres officiels. C’est énorme (il est vrai qu’il n’y avait que quelques chaînes!).
Désormais, au cinéma, ce qui est intéressant c’est qu’un film puisse être diffusé à travers l’Europe et pas dans un seul pays. C’est ca le point sur lequel j’insiste. Demain mon film, s’il sort dans le quartier latin, il fera à peine 15000 entrées, ce n’est pas avec ça que je vais gagner de l’argent. Le distributeur va prendre sa part, la pub et les salles aussi etc..: il ne me restera pas grand-chose. Ce qui est intéressant, c’ est que le film soit diffusé à travers l’Europe!
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Parmi eux, l’Allemagne, l’Indonésie, l’Afrique du Sud, trois puissances régionales.
A compter du 1er janvier, cinq nouveaux pays entrent au Conseil de sécurité de l’ONU pour deux ans. Parmi eux, l’Allemagne, l’Indonésie, l’Afrique du Sud, trois puissances régionales. Reste à savoir si les consensus seront plus faciles avec des Etats-Unis de plus en plus imprévisibles. La «star» du Conseil de sécurité (Nikki Haley) partie, la Maison-Blanche entend la remplacer par une ex-journaliste, Heather Nauert, porte-parole du Département d’Etat. «Un grand nombre de diplomates sont focalisés sur le changement d’ambassadrice américaine», indique Richard Gowan de l’université de l’ONU. Plusieurs craignent que Heather Nauert «n’adopte une ligne ‘America First » plus dure que celle de Nikki Haley».
«Unilatéraliste» et «isolationniste», «l’Amérique a largué les amarres», note un diplomate. Ce «durcissement américain» va faire «de l’ONU une cible privilégiée», craint-il. En échec récurrent sur la Syrie, le Conseil de sécurité avait fait preuve d’unité en 2017 avec une triple série de sanctions contre la Corée du Nord. En 2018, la désunion a prédominé. «Les échanges ont souvent été brutaux, on ne cherche même plus des consensus, plus personne ne s’écoute, les votes de procédure se multiplient, les positions sont polarisées», résume un autre diplomate. Fin 2018, à propos du Yémen, le Conseil a vu les Etats-Unis menacer d’un veto un texte de son plus proche allié en principe, le Royaume-Uni, un évènement inouï, traumatisant pour Londres, rapporte un ambassadeur du Conseil sous anonymat. En public, le ton est parfois acerbe. «Il n’y a pas de recherche de compromis», «ce n’est pas la première fois qu’on nous dit ‘c’est à prendre ou à laisser »», a ainsi dénoncé le Russe Vassily Nebenzia lors d’une session sur la Centrafrique. Le 21 décembre, la Bolivie, membre non-permanent sortant, a aussi laissé éclater sa colère.»Nous exigeons d’être pris en considération», a lancé ce pays, critiquant un «manque de transparence et de respect» lors de négociations chaotiques sur l’envoi d’observateurs sur le sol yéménite. Pour Moscou, les maux du Conseil sont à imputer «aux plumes, monopolisées par la troïka», autrement dit les Etats-Unis, le Royaume-Uni et la France à qui revient par tradition et intérêt nombre de résolutions à rédiger sur les conflits dans le monde. Qu’en sera-t-il de l’harmonie avec l’Allemagne, l’Afrique du Sud – deux candidats à très long terme à un siège de membre permanent – ou l’Indonésie, accompagnées de la Belgique et de la République dominicaine? Ces pays succéderont à la Suède, au Kazakhstan, à l’Ethiopie, aux Pays-Bas et à la Bolivie.
Avec quelque 100.000 Casques bleus sur le terrain, l’ONU reste confrontée à des défis majeurs. Comment pousser à la paix avec un Conseil que le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, trouve «plus divisé que jamais»? Réunions publiques ou à huis clos, c’est du pareil au même pour les divisions, déplore, dépité, un diplomate suédois sur le départ. Pour la première fois, les cinq nouveaux arrivants se sont entendus avec les cinq autres membres non-permanents du Conseil (Pologne, Pérou, Koweït, Guinée équatoriale et Côte d’Ivoire) pour se partager des présidences de comités et en présenter la liste au «P5», le groupe des cinq permanents (Etats-Unis, Russie, Chine, France et Royaume Uni). «Accepté sans problème», se réjouit un diplomate d’un petit pays, en rappelant que la pratique jusqu’alors consistait à batailler en coulisses de manière bilatérale. Les dix non-permanents «ne vont pas contrebalancer le P5 mais peuvent jouer un rôle», veut croire cette source. Illustration symbolique du rejet d’une structure héritée de l’après-guerre et qui ne correspond plus au monde d’aujourd’hui, les cinq nouveaux ne veulent pas être appelés «membres non permanents» mais «membres élus». Le moteur franco-allemand pourrait aider à gommer l’impression d’un Conseil à deux vitesses. «Les Allemands et les Français vont travailler en étroite coopération pour montrer que l’Europe pèse toujours en multilatéral en dépit du retrait du Royaume-Uni» de l’Union européenne, prédit Richard Gowan. De son côté, l’Indonésie pourrait gêner la Chine. «Les Indonésiens ont une équipe solide et pourraient organiser des débats du Conseil sur la persécution des musulmans en Birmanie», note cet expert de l’ONU.
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Parmi les principales revendications de cette grève générale figurent l’approbation d’un quota de 5% sur les recettes issues de la publicité publique au profit des journalistes, la création d’un «projet résidentiel» favorisant des logements pour les journalistes à des tarifs préférentiels ainsi que le lancement d’un «Fonds pour la presse écrite».
Les journalistes tunisiens observeront une grève générale le 14 janvier prochain en signe de protestations contre leur situation socio-économique et ce, suite au décès de leur collègue, Abderrzak Rezgui, un caméraman qui s’est immolé par le feu lundi à Kasserine (centre-ouest de la Tunisie), a annoncé mercredi le Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT).
«Avec l’approche de la célébration du 8ème anniversaire de la révolution de la liberté et de la dignité, les journalistes tunisiens souffrent encore de difficultés majeures sur le double plan social et
financier», s’est exprimé le bureau exécutif du SNJT.»Bien que la liberté d’expression se veut l’une des acquis post-révolution, cet atout est menacé par la corruption, la marginalisation et la violation de l’éthique journalistique», a ajouté le SNJT dans un communiqué.
Parmi les principales revendications devant être scandées le jour même de cette grève générale figurent l’approbation d’un quota de 5% sur les recettes issues de la publicité publique au profit des journalistes, la création d’un «projet résidentiel» favorisant des logements pour les journalistes à des tarifs préférentiels ainsi que le lancement d’un «Fonds pour la presse écrite» qui gère ce secteur dans le respect de l’étique en vigueur et du code de travail tunisien. Le journaliste-caméraman, Abderrazak Rezgui, avait mis fin à sa vie en s’immolant par le feu en pleine «Place des martyrs» de la province de Kasserine. Ce journaliste avait mis en ligne, quelque heures avant de passer en action, une vidéo dans laquelle il manifestait son dénigrement quant à la détérioration de la situation socio-économique de toute sa région. Les autorités tunisiennes ont déjà ouvert une enquête d’investigation sur les circonstances de cet incident puisque, d’après certains médias locaux, cette tentative de suicide n’était pas volontaire et que des soupçons ont été avancés pour dire qu’il s’agit d’un meurtre avec préméditation.
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La EURL MMDI, représentant officiel de Peugeot Motocycles, annonce une campagne de promotion exceptionnelle en cette fin d’année sur les scooters 50 et 80cc.
La gamme de scooters éligibles à la promotion qui reste valable jusqu’au 31 janvier 2019, concerne les scooters suivants :
Vivacity 50cc 2T : 174.000 da
Street Zone 50cc 2T : 168.000 da
Street Fight 50cc 2T en finition Classic : 187.000 da
Street Fight 50cc 2T en finition Total/Pure : 221.000 da
Kesbee 80cc Classic : 215.000 da
Kesbee RS/ Sportline 80cc Classic : 220.000 da
Peugeot Motocyles Algérie précise par ailleurs que pour l’acquisition de l’un de ces scooters, le client beneficiera d’un casque offert ainsi que d’une garantie 2 ans, kilométrage illimité.
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« ALMOTO EXPO, Salon de la Moto » revient pour une 3ème édition.Organisé par Aldes Média, ALMOTO EXPO 2019 est l’unique salon spécialisé dans le secteur du cycle et motocycle en Algérie.
Cette nouvelle édition sera placée sous le Haut Patronage de Monsieur le Ministre de l’Intérieur, des Collectivités Locales et de l’Aménagement du Territoire et organisée en partenariat avec l’Office Riadh El Feth (OREF) et le Centre National de la Prévention et la Sécurité Routière (CNPSR). Elle se déroulera du 19 au 23 Juin 2019 sur l’esplanade de Riadh El Feth à Alger.
ALMOTO EXPO donne rendez-vous aux professionnels, aux passionnés ainsi qu’au grand public pour se rassembler une nouvelle fois lors de ce grand événement annuel, véritable « fête de la moto » pour y découvrir toutes les nouveautés du secteur.
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Baic Algérie qui commercialise les véhicules BAIC assemblés au niveau de la nouvelle usine BAIC International Algérie de Batna, inaugurée il y a quelques jours, propose le véhicule le moins cher du marché, la Baic D20, proposée à 1.250.000 da.
La Baic D20 s’anime d’un bloc moteur essence livré par Mitsubishi, 1.3l de 100ch. Elle s’équipe, entre autres de 2 airbags, régulateur de vitesse, climatisation manuelle à affichage digital, des commandes au volant, une radio MP3. La D20 est proposée à 1.250.000 da TTC.
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La wilaya de Mostaganem s’est transformée, en 2018, en pôle touristique et récréatif d’excellence, grâce aux structures hôtelières de grande qualité mises en service récemment et la promotion de la région comme destination touristique privilégiée à travers les moyens de communication.
La wilaya de Mostaganem a connu, durant l’année 2018, un flux record d’estivants sur ses plages et une hausse remarquable de la fréquentation des hôtels, des résidences touristiques et des espaces de détente et de loisirs, le tout accompagné d’une grande dynamique économique et commerciale, faisant de cette région un pôle pour le tourisme national, a affirmé la directrice du tourisme et de l’artisanat, Hayet Mammeri, dans une déclaration à l’APS. Ainsi, durant la saison estivale, soit de juin à septembre derniers, plus de 623.000 estivants ont afflué vers les hôtels et les résidences touristiques de la wilaya, a souligné la même responsable. Elle a rappelé que «les établissements hôteliers, qui ont été renforcés durant cette saison de huit nouvelles structures, ont accueilli, du 1er juin au 30 septembre derniers quelque 623.000 estivants, dont 5.650 étrangers, contre 82.000 estivants dont 715 étrangers durant la même période de l’année précédente». Ces établissements hôteliers, dont la capacité d’accueil est de 5.100 lits, ont créé plus de 1.285 postes d’emploi permanents et plus de 4.500 autres postes temporaires et indirects, selon la même source. D’autre part, les 21 camps de toile familiaux ouverts dans la wilaya ont accueilli quelque 57.000 estivants. En outre, la capacité d’accueil de ces centres de vacances et les établissements de jeunes a augmenté de 60% en une année pour atteindre 16.700 lits. Pour leur part, les plages de la wilaya, s’étendant sur une façade 124 km, ont accueilli quelque 11 millions d’estivants. Quant au parc d’attraction et de loisirs «Mostaland», celui-ci a connu l’affluence de 650.000 estivants et le parc aquatique «Kharrouba aqua parc» quelque 16.000 estivants, a précisé Mme Mammeri.
Les autorités locales misent sur le développement du secteur touristique à travers la promotion de la qualité des services offerts aux estivants et la promotion de Mostaganem comme destination préférée des touristes, notamment ceux en provenance des wilayas de l’intérieur du pays.
La promotion et l’excellence des services, deux enjeux pour développer le secteur
Selon les services de la wilaya, un budget de 487 millions DA a été consacré à l’entretien des plages et leur aménagement pour accueillir les vacanciers durant la saison estivale écoulée, ce qui a participé à doubler les revenus des communes côtières qui ont atteint les 107 millions DA. Ces revenus concernent les taxes de séjour et les concessions des plages, cédées à sept établissements hôteliers, ainsi que les recettes des parkings et les concessions des terrains de camping familial . D’autre part, l’Epic de wilaya «Propreté Mostaganem», en coordination avec les communes côtières, a mobilisé 233 agents et 14 camions pour veiller à la propreté des plages et accueillir les estivants dans des conditions excellentes. En outre, les services de transport ont mis en place un plan pour mettre à la disposition des citoyens quelque 11.000 places à destination des différentes plages et les lieux de détente de la wilaya, a fait savoir la même source.
Améliorer l’offre touristique
Selon Mammeri Hayet, durant la même année, un film promotionnel de 52 minutes intitulé «Mostagnem, carrefour des cultures et des civilisations» a été produit, ainsi que l’édition d’un guide touristique de 200 pages, une publication de 50 pages et des dépliants intitulés «Mostaganem, la perle de la Méditerranée». Ces supports audiovisuels et en papier contribuent à promouvoir le tourisme, national notamment, et à faire connaître les capacités de la wilaya de Mostaganem et ses qualifications dans les domaines du tourisme balnéaire et du tourisme culturel, ainsi que le tourisme vert, a -t-elle dit . Un accord de partenariat a été signé avec le laboratoire d’études de communication de l’université Abdelhamid-Ben-Badis de Mostaganem pour la formation des cadres de la direction du tourisme et de l’artisanat dans les différentes techniques de communication touristique, avec la mise en place d’une cellule de communication et d’information. Cette dernière a pour mission la promotion du tourisme, tout au long de l’année, et ce par l’apport des nouvelles technologies. Parallèlement à ce projet, la direction chargée du secteur compte mettre en place la carte touristique de la wilaya et prévoir des opérations de restauration et de réhabilitation d’un certain nombre de lieux touristiques, culturels et archéologiques. Il est prévu également la création du parcours touristique de la ville de Mostaganem et la formation de professionnels dans différentes spécialités, notamment de guides touristiques, a ajouté la même source.
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La localité de Lakhdaria à une trentaine de kilomètres au nord de Bouira abrite depuis avant-hier la 1ère édition de la foire des produits du terroir et agrumes.
La foire a été organisée au niveau du centre de formation professionnelle (CFPA) de la commune. L’événement est organisé par la DSA, en collaboration avec la Conservation des forêts ainsi que d’autres institutions, à l’exemple de la Chambre de l’agriculture, il s’étalera sur une période de deux jours. Les organisateurs s’affairaient à installer les stands dans lesquels ont exposé du miel, des figues, de l’huile d’olive et autres fruits, mais également des désherbants et autres produits de traitement des arbres fruitiers, du matériel d’apiculture, d’aviculture et d’irrigation. La région ouest de Bouira, notamment les communes de Kadiria et Lakhdaria, étant connues pour la culture des agrumes, plus précisément les oranges, plusieurs stands dédiés à cette culture, ont été mis en place. Selon quelques agriculteurs rencontré sur mes lieux la wilaya de Bouira a été classée, durant l’exercice agricole écoulé à la troisième place à l’échelle nationale en termes de quantité de production des agrumes avec un million de quintaux, soit un rendement de 250 q/ha. Un véritable essor que les exploitants agricoles ambitionnent d’améliorer en augmentant sensiblement la production, et ce, à condition que les routes menant aux grands vergers soient aménagées, en plus de l’alimentation en énergie des structures implantées à l’intérieur des champs des agrumes et le soutien financier à ce créneau. Nos interlocuteurs, regrettent la rareté de la main-d’œuvre dans la wilaya de Bouira, à l’image d’autres régions du pays, se fait ressentir, ce qui a affecté ce créneau durant la campagne de récolte. Pour un responsable de la DSA de Bouira, cette opération démontre que les agricultures ne sont pas des spéculateurs. « Nous avons saisi cet espace pour montrer que les agriculteurs ne sont pas, les responsables de la spéculation », a-t-il tenu à souligner. Et d’ajouter
« Nous avons affiché ici les prix réels, c’est-à-dire du producteur au consommateur. Ce sont des prix imbattables. Nous ne sommes pas ici pour casser les prix, mais pour offrir au consommateur un produit à sa juste valeur ». Toutefois, certains exposants, notamment des jeunes, ont déploré le manque d’information et d’orientation de la part des services agricoles locaux. » On est livrés à nous mêmes. Même pour obtenir des engrais chimiques, on est obligés de se diriger vers d’autres wilayas, comme Boumerdès et Tizi Ouzou », a-t-on indiqué. Parmi les exposants on retrouve la CRMA, la BADR, l’administration des forêts, le Parc national du Djurdjura, la Direction de l’environnement, mais également des particuliers issus des quatre coins de la wilaya. D’autre part, un stand a été réservé à la CRMA pour la distribution de documents et dépliants pour informer le public, notamment les agriculteurs, des différents services qui leur sont proposés par cette caisse, ainsi que des démarches à suivre afin de faire face aux éventuelles faillites qui peuvent être engendrées par les catastrophes naturelles et autres risques affectant la production (végétale ou animale) dans la région.
Omar Soualah
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A Kasserine, point d’orgue de la contestation depuis le suicide du journaliste Abderrezak Rezgui, les heurts ont surtout lieu la nuit, comme d’ailleurs à Tebourba et Jbeniana, et ils opposent les groupes de jeunes manifestants aux forces de l’ordre qui ont fait usage de gaz lacrymogène.
La Tunisie va mal, très mal même. Au lendemain du décès du correspondant de Telvza Tv, Abderrezak Rezgui, qui s’est immolé par le feu à Kasserine pour protester contre le chômage et la mal-vie dont souffre une majorité de Tunisiens et notamment la jeunesse, les affrontements entre protestataires et forces de l’ordre ont gagné d’autres villes du pays. A Kasserine, il n’y a pas eu d’accalmie et les échauffourées se poursuivent alors que la tension devient de plus en plus violente. De même, à Sidi Bouzid où s’était produite la flamme qui a fait parler la poudre en 2011, jusqu’à engendrer la chute du régime de Zine el Abidine Ben Ali, la contestation des tergiversations des autorités locales et centrales a pris une tournure menaçante. Une foule de jeunes diplômés à Meknassi a procédé à la fermeture de certaines administrations et au blocage des routes tout en exigeant des réponses immédiates à leurs revendications relatives à un contrat de travail signé, mais non appliqué depuis un an! Enfin, la capitale elle-même n’est pas épargnée par la grogne qui agite la Tunisie puisqu’une manifestation a eu lieu mardi soir sur l’avenue Bourguiba où plusieurs dizaines de jeunes se sont rassemblés devant le théâtre municipal, cible du récent attentat terroriste, pour protester contre la cherté de la vie. Ils ont pris la direction du ministère de l’Intérieur aux cris de «le peuple en a marre des nouveaux Trabelsi», et «le peuple veut la chute du régime». A Kasserine, point d’orgue de la contestation depuis le suicide du journaliste Abderrezak Rezgui, les heurts ont surtout lieu la nuit, comme d’ailleurs à Tebourba et Jbeniana, et ils opposent les groupes de jeunes manifestants aux forces de l’ordre qui ont fait usage de gaz lacrymogène. A Jbeniana, au nord de Sfax, un policier a été blessé. Plusieurs interpellations ont eu lieu, selon le porte-parole de la sûreté nationale tunisienne, Walid Hkima, tandis que le ministère de l’Intérieur a indiqué dans un communiqué l’arrestation d’une personne impliquée dans le suicide du journaliste âgé de 32 ans tout en mettant en garde contre des Fake news visant à «embraser le pays».
Lundi dernier, il s’est immolé en justifiant son acte par le fait de protester contre la dégradation des conditions socio-économiques de sa région, à Kasserine, connue pour être une des zones les plus pauvres de la Tunisie.»Pour les habitants de Kasserine qui n’ont pas de moyens de subsistance, aujourd’hui, je vais commencer une révolution, je vais m’immoler par le feu», a déclaré Abderrezak Rezgui dans une vidéo publiée 20 minutes avant le passage à l’acte. Il a peu après succombé à ses blessures, mais le drame a déclenché la colère des habitants du chef-lieu où l’occupation du centre-ville et les affrontements sporadiques dans les quartiers n’ont pas cessé depuis. Kasserine est l’une des premières villes où a commencé en octobre-novembre 2010 la grogne contre la pauvreté et la marginalisation qui s’est nourrie ensuite de l’immolation par le feu du vendeur ambulant de Sidi Bouzid, en décembre de la même année. Il semble que l’histoire aime bégayer ou, sinon, que les dirigeants ont rarement le souci de tirer des leçons salutaires de l’expérience engrangée. La Tunisie est certes dans une situation socio-économique très difficile, par manque de moyens autant que de soutiens. Les gouvernements qui se sont succédé depuis 2011 ont tous failli dans la réponse aux aspirations de la majorité des Tunisiens, de plus en plus nombreux à s’enfoncer dans une pauvreté critique. Et dans un contexte de chômage persistant et d’inflation toujours galopante, les troubles sociaux ne sont rien d’autre qu’un exutoire pour les milliers de jeunes marginalisés que n’apaisent ni les prêches fatalistes des mosquées ni les slogans opportunistes des partis politiques qui leur font miroiter des portes du paradis entrouvertes à l’horizon…
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la laddh avance le chiffre d’environ 3 000 personnes ayant péri en mer depuis 2009 à ce jour. C’est tout simplement un drame qui doit interpeller tous les résponsables et les élus dont les députés.
Lourd est le bilan des interpellations liées à la harga, opérées ces dernières 48 heures un peu partout dans les parties d’Oran, est et ouest. Le bilan fait état de l’interpellation de 25 personnes, dont trois ressortissants étrangers et un mineur. Les mis en cause s’apprêtaient à quitter clandestinement le territoire national par voie maritime. L’offensive lancée par les éléments de la Gendarmerie nationale, a été appuyée par des éléments de la BRI de Bir El Djir. Aussitôt, le plan peaufiné, les éléments représentant les deux corps de sécurité se sont mis en branle en se lançant dans la région d’Aïn Franine. Cette opération combinée a été concluante, car elle a abouti à stopper le projet suicidaire de sept personnes, dont trois étrangers et un mineur se préparant à rallier les côtes espagnoles. Dans le sillage de cette action, une somme de 1 570 euros a été saisie. Lors d’une autre opération similaire, les gendarmes ont intercepté, lors d’une patrouille au niveau de la plage de Aïn Franine, dans la daïra de Bir El Djir, 11 candidats à l’émigration clandestine et saisi huit jerricans remplis d’essence, dissimulés dans les broussailles. Les mêmes services ont procédé samedi dernier lors d’une patrouille au niveau du CW 75 reliant la commune de Bir El Djir au village de Kristel, dans la commune de Gdyel, à l’arrestation de sept personnes, âgées entre 17 et 35 ans, se préparant à s’aventurer dans leur projet incertain en quittant clandestinement le territoire national par voie maritime. Véritable phénomène de société, la harga prend des allures inquiétantes. Dans son bilan annuel coïncidant avec la Journée internationale des migrants, célébrée le 18 décembre, la Ligue algérienne de défense des droits de l’homme a tiré la sonnette d’alarme sur le phénomène inquiétant de l’émigration clandestine. Dans ce sillage, la Ligue a avancé le chiffre de environ 3 000 personnes ayant péri en mer depuis 2009. Ce chiffre englobe également les personnes disparues. La Ligue a dénoncé «le recours systématique des pays européens, aux expulsions arbitraires». Ainsi, chaque année, plus de 5 000 Algériens sans-papiers sont expulsés du territoire européen. Comment est-ce possible qu’un tel phénomène puisse prendre des ascensions aussi fulgurantes? La réponse est toute simple. Des sources proches des services de sécurité affirment «suivre avec une grande inquiétude l’expansion et le développement de ce phénomène d’activité tout en ouvrant plusieurs fronts de bataille dans le cadre de sa lutte». Outre, les embarcations de fortune, fabriquées clandestinement, des équipements solides sont exploités dans le cadre de la traversée. Il s’agit plus précisément des moteurs d’une puissance de 25 à 40 Ch ainsi que de petits bateaux de 4,80 à 7 mètres obtenus par des jeunes, dans le cadre des dispositifs mis en place par l’Etat pour la résorption du chômage. Ces embarcations sont par la suite revendues à des prix dérisoires entre 35 et 40 millions de centimes, à des barons mafieux les utilisant pour faire passer les harraga. Les wilayas côtières du pays sont les plus touchées par ce nouveau phénomène. Après son acquisition, ce matériel, déplacé illégalement à bord de camions frigorifiques vers les lieux «d’embarquement», les plages servant de point de départ vers l’Eldorado incertain. Et c’est à partir de là qu’intervient le rôle des réseaux et des relais spécialisés, les passeurs, d’autant plus qu’ils arrivent à se faire délivrer de faux papiers ainsi que des reçus et des factures en bonne et due forme pour ensuite transporter en toute quiétude ce matériel vers l’extrême est et ouest du pays. Ce phénomène prend des proportions alarmantes après que les garde-côtes aient resserré l’étau autour de ces passeurs en intensifiant les opérations de contrôle sur les points de vente des équipements de pêche. Ceci a conduit les passeurs à se rabattre sur les jeunes propriétaires de bateaux acquis dans le cadre de l’Ansej et autres dispositifs. D’ailleurs, des commissions d’enquête ont été mises sur pied. Des investigations sont lancées pour s’enquérir de l’état du matériel financé par le biais du dispositif à l’emploi des jeunes. Les bénéficiaires contrevenants risquent des poursuites judiciaires
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L’ambassade des Emirats arabes unis (EAU) en Syrie a rouvert ses portes jeudi dans la capitale, Damas, sept ans après le déclenchement de la crise en Syrie en 2011.
Le ministère syrien de l’Information a invité les journalistes à couvrir la cérémonie d’ouverture, sans toutefois préciser s’il s’agissait d’une réouverture avec représentation diplomatique complète ou partielle.
La presse locale a indiqué que des travaux de maintenance avaient été accomplis dans l’ambassade.
Tous les Etats du Golfe avaient fermé leurs ambassades à Damas après le déclenchement de la crise syrienne en 2011. APS
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La sélection nationale des joueurs locaux (A’) s’est imposée face à l’équipe première du Qatar en match amical disputé ce jeudi au Khalifa Stadium de Doha (Qatar).
L’unique but de cette joute fraternelle a été scoré en seconde mi-temps par l’incontournable, Beghdad Bounedjah. Le buteur d’Al Sadd (Qatar) continue d’affoler les compteurs en signant son 59e but, durant l’année 2018, toutes compétitions confondues.
A cette occasion, l’entraineur national, Djamel Belmadi, a essayé de faire une large revue d’effectif au sein des joueurs évoluant dans la Ligue 1 pour tenter de trouver ceux qui ont les qualités d’intégrer l’équipe première.
Pour ce troisième match amical des camarades de Zeghba en 2018, après ceux joués face au Rwanda et à l’Arabie saoudite, le coach des Verts a réussi à faire tourner son effectif pour avoir une idée sur l’ensemble des joueurs convoqués. Mis à part le gardien de la JS Kabylie, Abdelkadir Salhi, et l’attaquant du Paradou AC, Zakaria Naidji, tous les autres joueurs ont pris part à ce match.
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