La police malaisienne a déjoué la semaine dernière à Kuala Lumpur un projet d’attentat d’un membre groupe islamiste Abu Sayyaf contre la cérémonie de clôture des Jeux de l’Asie du Sud-Est, a déclaré mardi le chef de la police national.
L’agresseur présumé, un Philippin de 25 ans, a participé à des combats, à des enlèvements et décapitations d’otages étrangers aux Philippines, a affirmé l’inspecteur général de la police malaisienne, Mohamad Fuzi Harun.
Il a été arrêté lors d’une opération menée le 30 août, jour de l’ouverture des Jeux. Au cours de ce coup de filet, sept autres membres présumés (six Malaisiens et un Philippin) du groupe Abu Sayyaf, qui est lié à l’organisation Etat islamique, ont également été arrêtés.
Les autorités avaient annoncé précédemment qu’elles avaient capturé le chef philippin d’Abu Sayyaf, Hajar Abdul Mubin, aussi appelé Abu Asrie, lors de l’opération du 30 août.
Reuters
« Le train de la paix avance avec assurance… », a affirmé lundi le président Ibrahim Boubacar Kéita du Mali, qui a estimé que le processus de paix est sur la bonne voie malgré des atermoiements.
Le chef de l’état a fait ces appréciations dans une interview accordée à la télévision et à la radio nationales maliennes (ORTM) à l’occasion du 4e anniversaire de son investiture comme président de la République.
Interrogé sur d’éventuelles discussions avec djihadistes Iyad Ag Ghali (nord) et Amadou Kouffa (centre), comme recommandé par la Conférence d’entente nationale tenue à Bamako du 27 mars au 2 avril 2017, le chef de l’Etat a fait remarquer ces deux Maliens « se sont eux-mêmes exclus du dialogue en choisissant la voie du terrorisme et les actions criminelles de toutes sortes dont ils répondront un jour ».
« Pour le Mali en paix, il faut discuter avec tout ceux qui respectent les trois éléments indissociables comme l’intégrité de notre territoire, la forme républicaine de l’Etat et la laïcité », a-t-il précisé.
A propos de la paix et la réconciliation, la sécurisation des personnes et de leurs biens, la stabilité du pays, le président Kéita a jugé que quatre ans après son investiture, « les motifs de satisfaction ne manquent pas ».
« Aujourd’hui, il n’y a pas de guerre ou de confrontations entre les forces armées maliennes et les groupes armés. Il y a une insécurité qui a malheureusement migré au centre du pays… C’est une insuffisance de la gouvernance à laquelle nous tentons de remédier en évitant les radicalisations ».
Xinhua
La production céréalière enregistrée dans la wilaya de Constantine, au titre de la campagne agricole 2016-2017 a atteint 1,109 million de quintaux, a indiqué lundi à l’APS un cadre de la Direction des Services Agricoles (DSA). En dépit du stress hydrique qu’a connu la wilaya notamment durant les mois de mars et avril derniers, «le secteur agricole a réalisé ses objectifs» en matière de production, a assuré le chef du service de la production agricole à la DSA, Djamel Bensseradj. Cette production est répartie sur 763.980 quintaux de blé dur, 253.540 quintaux de blé tendre, 78.775 quintaux d’orge et 13.010 quintaux d’avoine, a précisé le même responsable, notant que le rendement moyen par hectare a atteint 14 quintaux. Jugeant le résultat «appréciable», il a souligné que «le professionnalisme des agriculteurs de la wilaya, notamment dans le domaine du traitement de la terre, a permis de sauver la saison». M.Bensseradj a cité, à titre d’exemple, la maîtrise de l’itinéraire technique de cette culture depuis le lancement de l’opération labours-semailles en plus du traitement approprié en engrais et semences des surfaces emblavées estimées à 80. 000 hectares. Le blé dur a eu la part du lion de la surface globale, consacrée cette année aux céréales, avec 52. 380 hectares, suivi du blé tendre (20 .460 hectares), l’orge (6. 680 hectares) et 1. 070 hectares ont été réservés à l’avoine, selon les statistiques établies par la DSA. L’organisation et la coordination entre les différents partenaires du secteur et les facilités accordées aux agriculteurs de la région, notamment les crédits R’fig affectés au bénéfice de 1. 849 céréaliculteurs, mobilisant près de 2 milliards de DA, ont également favorisé la réalisation de cette récolte, ajoute la même source. Les aires de stockage locales de la coopérative des céréales et des légumes secs (CCLS), au nombre de 13, ont réceptionné 895.657,20 quintaux provenant de cette production, a ajouté le même responsable, faisant savoir que les communes d’Ouled Rahmoune, d’Aïn Abid et d’Aïn Smara étaient les localités les plus touchées par le phénomène de la sécheresse. La wilaya de Constantine avait enregistré, au titre de la campagne agricole précédente, une production céréalière de l’ordre de 1,6 million de quintaux.
Les habitants du quartier de la gare routière de la commune d’el Milia, 65 kilomètres à l’Est de Jijel, a été réveillée avant-hier matin par un mouvement de panique. Alertés par la présence de voleurs dans l’agglomération, les habitants convergeaient, de plus en plus nombreux, vers la route nationale où des étrangers à la ville étaient signalés. C’est à cet endroit, en effet, qu’un des individus qui avait volé 10 millions de centimes de la poche d’un habitant du quartier s’est volatilisé à la faveur de la nuit. C’est à l’aurore que les bandits avaient choisi de pénétrer dans un magasin qu’ils avaient certainement repéré auparavant. D’après des habitants du quartier, les voleurs, au nombre indéterminé, avaient l’intention de vider le magasin situé en bordure de la route et appartenant à un citoyen d’el Milia. Le camion qui devait charger la marchandise et qui attendait sur la route avait pris la fuite dès que l’alerte fut donnée, laissant sur place un des présumés cambrioleurs. Ce dernier, étranger à la région, ne put se réfugier dans un café où il fut découvert par la population en colère. Il ne dut son salut qu’à l’intervention rapide des éléments de la sûreté de daïra d’el Milia qui ont procédé à son arrestation et lui ont de ce fait, évité de payer cash son audace. Selon nos sources, la foule était décidée à lyncher celui qui n’a pas hésité à venir les défier jusque dans leur quartier. Plus que le vol, c’est la violation de leur dignité que les gens d’el Milia entendaient défendre et n’était-ce l’arrivée rapide des forces de l’ordre, le pire se serait produit. Présenté au magistrat instructeur, le présumé cambrioleur a été mis sous mandat de dépôt. Quant à ses acolytes, même s’ils demeurent en fuite, l’enquête menée par la P.J de la sûreté de daïra d’el Milia ne tardera pas à les débusquer.
M. Bouchama
Le ministère de la Culture a annoncé les concours d’accès aux différentes formations culturelles et artistiques pour l’année 2017-2018, qui seront lancés à partir du 10 septembre courant.
Parce que l’éducation artistique et culturelle est indispensable, le ministère de la Culture lancera, à partir du 10 septembre, des concours d’accès à la formation artistique et culturelle dans les différents établissements culturels du pays.
Les formations en question concernent l’Institut supérieur des métiers des arts du spectacle et de l’audiovisuel (ISMAS), l’Ecole nationale de conservation et de restauration des biens culturels, l’Ecole supérieure des Beaux-Arts et l’Institut national supérieure de musique (INSM). En ce qui concerne, l’ISMAS, le concours aura lieu les 10 et 11 septembre et permettra aux postulants d’accéder en 1re année licence dans l’une des spécialités de l’art du spectacle ou l’art visuel enseigné dans cette institution.
La formation durera trois années. Les formations concernent ainsi l’art de l’acteur, la critique théâtrale et la prise de vue. Parmi les conditions d’admission nécessaires à cette formation, les postulants doivent être âgés de 30 ans au plus et être titulaires du baccalauréat ou d’un titre reconnu équivalent.
Les autres conditions et le dossier à fournir sont disponibles sur le site internet du ministère de la Culture. Pour l’Ecole nationale de conservation et de restauration des biens culturels, les concours seront aussi ouverts le 10 de ce mois en ce qui concerne la formation «biens culturels».
Le niveau requis est d’avoir au moins le Bac dans les filières mathématiques, mathématiques techniques ou sciences expérimentales pour pouvoir accéder au concours qui comptera des épreuves dans l’art et les sciences des biens culturels. Par ailleurs, en ce qui concerne l’Ecole des Beaux-Arts, dont le concours d’accès est prévu pour les 17 et 18 septembre, il est aussi demandé d’avoir le Bac (années 2016 et 2017), et de jouir d’aptitudes dans les domaines de la peinture, la sculpture, le dessin. Le concours se déroulera en deux épreuves, pratique et orale. Le dernier établissement à ouvrir ses portes pour cette année 2017-2018, est l’INSM, puisque le concours d’accès est prévu pour les 25 et 26 septembre. Les conditions d’accès sont les mêmes que pour les autres établissements culturels, dont les compléments sont à retrouver sur le site du ministère de la Culture, www.m-culture.gov.dz
La culture pour tous
Force est de constater qu’il n’y a pas de réel parcours éducatif, artistique et culturel dans notre pays, ni d’éducation artistique (obligatoire) probante qui donne des résultats et qui suit l’enfant dès l’école primaire. L’art dans notre pays semble livré à lui-même.
Chaque année, des centaines de promotions d’étudiants issus des institutions culturelles se retrouvent au chômage avec des diplômes qui ne sont même pas, parfois reconnus par le ministère de l’Enseignement supérieur, d’où les grèves à répétitions des étudiants des Beaux-Arts…
Censé favoriser l’égal accès de tous les élèves à l’art à travers l’acquisition d’une culture artistique personnelle, le parcours d’éducation artistique et culturelle devrait en ce sens être obligatoire dans toutes les institutions et écoles nationales.
A quel âge doit-on apprendre la musique ?: Arts et culture nous donne sa leçon
Dans un communiqué annonçant l’ouverture prochaine des conservatoires d’Alger, l’établissement Arts et culture a tenu à informer les intéressés des conditions d’inscriptions. D’abord, on a commencé par la bureaucratie en exigeant des adultes, à la fois la photocopie de la carte nationale d’identité et l’extrait d’acte de naissance sans oublier quatre photos pour le dossier. On est habitué à la bureaucratie mais ce qui n’est pas normal du tout est ce qui concerne l’âge pour apprendre les différents instruments de musique.
L’établissement Arts et culture dont dépendent les conservatoires, ce qui est déjà discutable, a décidé que pour apprendre à jouer à la guitare classique, il faut être âgé de 14 à 24 ans et pour le violon, de 7 à 18 ans alors que pour le violoncelle, il faut être âgé entre 16 et 28 ans. Cela veut dire que les experts de cet établissement éliminent les enfants de moins de 16 ans à apprendre à jouer à la guitare classique. Ils éliminent même ceux qui ont dépassé l’âge de 28 ans alors qu’il est noté dans le communiqué que les cours sont déstinés à deux catégories : les enfants et les adultes. Ce qui veut dire que pour la direction d’Arts et culture, ceux qui ont dépassé les 30 ans ne sont ni enfants ni adultes. On se demande dans quelle catégorie ils les classent.
Même si ce sont des vieillards, ils devraient avoir le droit d’apprendre comme cela se passe dans tous les pays. Le même communiqué nous exige d’être âgés de 7 à 18 ans pour apprendre le piano et de 7 à 30 ans pour le Qanoun pour éliminer les enfants de moins de 6 ans alors qu’on a déjà vu de petits virtuoses âgés seulement de 5 ans.
Et puis, pourquoi cette différence pour l’apprentissage de tel ou tel instrument ? L’établissement a décidé, par ailleurs, d’exiger un âge de 16 à 30 ans pour la pratique du théâtre au moment où à Oran, un petit comédien de 8 ans seulement joue un monologue. Enfin, on se demande quel est ce pédagogue spécialisé dans l’apprentissage de la musique et des arts dramatique qui a conseillé les gestionnaires de l’établissement Arts et culture.
Sara Boualem et Bari Stambouli
Considéré comme l’un des pôles sanitaires le plus important de la région du sud-ouest de la wilaya de Tlemcen, l’hôpital de Sebdou refait peau neuve.
Il sera réceptionné dans les prochaines semaines après inspection de la conformité des travaux et des équipements par la direction de la santé de la wilaya de Tlemcen. Une enveloppe de 130 millions de dinars a été consacrée pour sa réhabilitation, sa modernisation et la réalisation d’une unité d’urgences médicochirurgicales. Doté d’une capacité de 120 lits, cet établissement hospitalier, réalisé depuis plus de trois décennies, a vu ses structures se dégrader au fil du temps et n’était plus en mesure d’assurer une couverture sanitaire convenable. Ce qui a poussé les malades de toute la région à se déplacer jusqu’au CHU de Tlemcen.
Il couvrait auparavant l’ensemble des populations des communes de Sebdou, Sidi Djilali, Al-Aaricha, Al-Gor, soit plus de 120.000 habitants. Selon le directeur de l’hôpital, «cette opération s’inscrit dans la modernisation de tous les établissements hospitaliers, tant sur les plans structures qu’équipements, afin d’optimiser les soins et garantir aux malades une prise en charge médicale totale et de qualité». Et de souligner «que les travaux de modernisation ont touché tous les services en plus des UMC, de la maternité, de laboratoires d’analyses et d’une centre d’imagerie médicale. Ce qui permettra une amélioration conséquente de la prise en charge des malades». La réouverture prochaine de cet important hôpital soulagera tous les malades et allégera les endurances de leur déplacement. L’on espère qu’il sera doté de praticiens spécialistes car cela demeure l’énorme problème auquel est confronté le malade lors de sa consultation.
B. Soufi
La direction du commerce de la wilaya de Chlef a, depuis les deux dernières semaines du mois d’août dernier, mis en place un dispositif spécial, pour le contrôle des articles scolaires mis en vente dans les commerces à Chlef en prévision de la rentrée des classes 2017-2018.
Il s’agit notamment du contrôle des matières utilisées dans la fabrication des articles scolaires dans le but de prévenir toute commercialisation de produits fabriqués à base de produits nocifs pour la santé des enfants. Certains articles scolaires, à l’exemple des règles, des protège-cahiers et des stylos sont fabriqués à base de plomb, une matière hautement cancérigène. Les brigades volantes de la direction du commerce seront aussi chargées du contrôle des pratiques commerciales pour en finir avec l’anarchie qui caractérise la commercialisation des articles scolaires. De nombreux commerçants se convertissent, l’espace de quelques semaines, dans la vente des articles scolaires dans la wilaya de Chlef, portant ainsi un grand préjudice aux librairies. Le contrôle a touché les commerces de gros des articles scolaires pour s’assurer du respect strict des normes en matière de pratiques commerciales. Lors de ces interventions, les brigades de la DCP ont dressé trois procès-verbaux et des poursuites judiciaires pour absence d’étiquetage et tarification. La direction du commerce a fait savoir qu’une opération de sensibilisation a précédé les opérations de contrôle, qui a touché tous les commerçants des articles scolaires. L’opération consiste à vérifier certains articles qui sont parfois faits à base de produits toxiques, à l’image de la pâte à modeler, la colle où même la gomme. Les vendeurs occasionnels des articles scolaires ont commencé, d’ailleurs, il y a une semaine à investir les marchés de la ville, pour exhiber leurs marchandises entassées dans des charrettes à des prix imbattables. Ces vendeurs choisissent souvent les ruelles bondées de la ville de Chlef, pour écouler leur marchandise. Ces vendeurs à la sauvette disposent de tous les articles scolaires, à commencer par les stylos, les crayons, les cahiers, jusqu’aux cartables, sacs à dos et tabliers. Un bazar où la clientèle trouve aisément tous les articles nécessaires sans être contrainte de faire les librairies.A. Ali
L’accumulation des ordures ménagères à travers les villages et quartiers de la ville d’Akbou excite de plus en plus la population qui exige une prise en charge définitive de ce problème.
Une quinzaine d’associations activant dans la daira d’Akbou appellent à une grève générale suivie d’une marche pour le 5 septembre, ceci afin de dénoncer l’indifférence des autorités face à cette «situation alarmante». Dans une déclaration vitriolée, dont nous détenons une copie, le collectif de ces associations condamne fermement cette situation qu’il qualifie de «crime contre la nature». Le mouvement associatif désigne du doigt les autorités de wilaya et la municipalité comme étant les uniques responsables de ce «pourrissement».
Ils les accusent également de «négligence et d’indifférence». «Nous réprouvons les responsables de cette gestion des affaires de la commune» soulignent les signataires dans une allusion à peine voilée au maire du second pôle urbain de la Soummam. Le collectif reste, par ailleurs, déterminé dans son engagement pour une solution définitive au problème des déchets ménagers. Il avertit que d’autres actions, autrement plus radicales, sont envisagées afin de faire aboutir leur revendication. Cette grève générale décidée par le mouvement associatif est «une suite logique du silence imposé par les autorités, à différents niveaux, à notre première action de rue qui s’est déroulée la semaine passée» commentent des citoyens d’Akbou. Il y a une dizaine de jours, en effet, les citoyens avaient organisé une marche suivie d’un rassemblement devant la daira d’Akbou afin d’exiger des autorités la prise en charge sans délais du problème des ordures ménagères qui enlaidissent toutes les communes de la daira d’Akbou. Il faut rappeler également que cette situation est générée par la fermeture de la décharge de Bouhamza par les autorités communales de cette localité qui en dénoncent les nuisances au plan sanitaire. Ce n’est pas la première fois, en effet, qu’une commune refuse l’implantation d’un centre d’enfouissement technique ou de décharges sur ses territoires. Un refus qui cache des inimitiés tribales, régionalistes et parfois politiques. Cet appel à la grève n’annonce pas en tout cas une rentrée des plus sereines pour la région à la réputation bien assise en matière de manifestations, de rassemblements et autres actions de rue.
A.Arab
Sur instruction du wali de la wilaya madame Ouinez Labiba une vaste campagne de nettoiement de plusieurs cités et quartiers qui connaissent notamment depuis les derniers mois une dégradation avancée du cadre de vie et la prolifération et l’accumulation de déchets ménagers et ordures diverses avec toutes les conséquences néfastes sur la santé du citoyen et sur l’environnement afin de donner à Ain Témouchent son image d’antan. L’opération a débuté le 30 août écoulé et durera jusqu’au 16 octobre prochain selon un programme établi et dont les parties concernées à savoir la direction de l’environnement –la conservation des forêts -les services des centres d’enfouissement technique – le chef de la daïra d’Ain Témouchent et le président de l’APC où le wali a exigé qu’un rapport journalier sur l’opération lui sera transmis sur la première opération qui a touché les alentours de la direction de l’environnement le 3 et 4 septembre, ainsi que la nouvelle ville le 6 septembre Hay Moulay Mustapha, le 7 Hay el Zeitoun, le 13 Hay sidi Saïd, le 14 la cité Ouche Boudini, le 20 Hai Koumid Bouazza et la cité des 214 logements, le 21 la cité 288 logements et sidi Ali chérif, le 27 concernera la cité des 512 logements et 488 logements relevant de la cité des 1000 logements AADL, le 4 octobre Hai Berrouane, le 5 la cité des 121 logements, le 11 la cité colonel Merbah et enfin les 12, 15 et 16 octobre la cité des 707 logements.
H. Bouna
Le président américain Donald Trump a tweeté mardi qu’il autorisait le Japon et la Corée du Sud à acheter des armes américaines « ultra sophistiquées » dans un contexte de tensions exacerbées avec la Corée du Nord qui vient de procéder à son sixième essai nucléaire.
M. Trump n’a pas précisé dans l’immédiat quels types d’armes pourraient être concernés.
Le président américain Donald Trump a évoqué ce sujet lundi lors d’un échange téléphonique avec son homologue sud-coréen Moon Jae-In.
« Le président Trump a donné son accord de principe pour l’achat par la Corée du Sud aux Etats-Unis d’équipements militaires et d’armes d’une valeur de plusieurs milliards de dollars », avait indiqué la Maison Blanche, mais là encore sans aucune précision.
I am allowing Japan & South Korea to buy a substantially increased amount of highly sophisticated military equipment from the United States.
— Donald J. Trump (@realDonaldTrump) 5 septembre 2017
Entre 2010 et 2016, Séoul a acheté près de 5 milliards de dollars de matériel militaire aux Etats-Unis, selon les calculs du Stockholm International Peace Research Institute.
Le Japon est également un des très gros clients de l’industrie de l’armement américain.
Les Etats-Unis, avec leurs alliés européens et japonais ont annoncé lundi négocier de nouvelles sanctions sévères de l’ONU contre la Corée du Nord mais la position de Pékin et Moscou, dotés d’un droit de veto au sein du Conseil de sécurité, reste incertaine.
Le roman « Nos richesses » de l’écrivaine algérienne Kaouthar Adimi a été nominée dans les listes des prétendants aux prix littéraires francophones Renaudot et Goncourt.
Le jury du prix Renaudot a dévoilé sa liste de prétendants lundi 04 septembre 2017. Le gagnant sera connu le 6 novembre prochain. Au total 16 récits et 5 essais ont été retenus, dont « Nos richesses », troisième roman de Kaouthar Adimi et Salim Bachi pour son roman « Dieu, Allah, moi et les autres » paru chez Gallimard.
Né en 1971 à Alger, Salim Bachi qui s’était illustré avec « Le chien d’Ulysse », plusieurs fois primé en France, dont le Goncourt en 2001, a publié une dizaine d’autres romans et essais dont « La Kahéna » (2003), « Tuez les tous » (2006), « Le dernier été d’un jeune homme » (2013), ou encore « Le consul » (2014).
Publié en août chez le « Seuil », le roman « Nos richesses » raconte de son côté le retour, en 1935 à Alger, de l’éditeur, libraire et « passeur de livres » Edmond Charlot pour y ouvrir une bibliothèque-librairie, inspiré, voire époustouflé par la bibliothèque d’Adrienne Monnier à Paris. A travers cette maison d’édition, Charlot sera amené à publier des auteurs comme Jean Amrouche, Emmanuel Roblès, Garcia Lorca, Mouloud Feraoun ou Albert Camus.
Un lieu historique, actuellement sous l’égide de la BNA, que Ryad, la vingtaine, dont l’indifférence pour la littérature est racontée par une autre voix, s’attellera à fermer en 2017 pour remplacer les livres par des beignets, sous le regard impuissant de Abdallah.
Un roman également sélectionné par le Prix Goncourt dans une liste de prétendants dévoilée ce matin par son jury.
Avant Kaouthar Adimi, Boualem Sansal est le dernier auteur algérien a avoir été sélectionné pour le prix Goncourt pour son roman « 2084 ».
La plupart des hadjis algériens ont regagné la Mecque pour le dernier jour de Tachriq, avant de prendre leur premier vol vers le pays à partir du 6 septembre.
La mission algérienne a mobilisé plusieurs bus pour transporter les hadjis, tandis que d’autres ont préféré marcher vu l’encombrement au niveau des routes, a déclaré le responsable du bureau des affaires des hadjis à la Mecque, Boudraa Zahir, soulignant que « toutes les dispositions nécessaires ont été prises au profit des hadjis ».
Les éléments de la protection civile, de la prise en charge sanitaire et de l’orientation religieuse ont mobilisé leur effort pour mener à bien l’accomplissement des hadjis de leur rite, a précisé M. Boudraa. Il a ajouté que des mesures ont été assouplies grâce à la grande mobilisation des membres de la mission, d’autant que le grand nombre des hadjis algériens accueillis à la Mecque est de 36.000″.
Malgré les difficultés rencontrées, les membres de la mission ont accompli un « excellent » travail puisque ils ont apporté aide et soutien aux hadjis durant tout leur séjour sur les Lieux Saints.
Cette situation a sérieusement affecté le cadre de vie des habitants, et même des riverains.
Les habitants de l’îlot 407 et riverains de cette allée, relevant de la commune de Bir El Djir, situé sur le CW 75, pointent un doigt accusateur sur la situation qui prévaut dans leur quartier.
Très tôt, tous les matins, des dizaines de camions, remorquant des bétonnières, viennent prendre place sur toute l’allée squattant l’asphalte durant toute la journée, portant ainsi un grave préjudice aux habitants et commerçants du quartier. Aucune autorité de l’administration locale n’a pu mettre de l’ordre et délocaliser ces engins vers le site aménagé à proximité du cimetière de la localité de Belgaïd.
Cette situation a sérieusement affecté le cadre de vie des habitants et même des riverains du quartier Canastel ‘’haï El-Menzeh’’, un secteur urbain relevant de la ville d’Oran. Le mauvais stationnement empiète sur les commerces locaux et gêne la mobilité des gens qui s’alarment face à ce désordre urbain. Des cas pareils sont vécus au quotidien par les habitants de cette agglomération, notamment au tournant, et à quelques mètres plus loin, sur le 4e périphérique, qui est également investi par des camions de gros tonnage, spécialisés dans le transport d’agrégats. Face à cette nuisance et autres préjudices causés, les riverains ne savent plus vers qui se tourner pour mettre fin à cette anarchie orchestrée par les conducteurs ambulants du BTPH, résignés à ne pas se faire expulser. Nous avons appris que ces camionneurs, transporteurs d’agrégats, ayant acquis leurs matériels via l’Ansej, et qui pénalisent les autres activités surtout celles des commerces de quartier, ne payent aucune taxe de stationnement. Où réside leur force, d’où vient cette audace qui leur permet de tenir tête aux forces de l’ordre, sachant que plusieurs tentatives de les déloger se sont avérées vaines, notamment lors des passages de cortèges officiels? Pourtant, une instruction de la wilaya d’Oran avait été émise pour les camions dont le poids varie entre 2 et 20 tonnes, leur interdisant le stationnement anarchique et la circulation aux points sensibles de tous les centres urbains d’Oran. Il s’agissait principalement du rond-point dit Acyl, l’autoroute située près de la passerelle de Sidi Bachir, haï Khemisti, dans les quartiers Gambetta, Sid Hasni et Derb, certaines artères de M’dina J’dida et à Sidi Chahmi. “Nous avions attiré à maintes reprises l’attention du wali sur la nécessité d’aménager un site de stationnement pour les transporteurs des matériaux de construction au rond-point de Canastel qui est devenu un véritable nœud gordien”, déplore un riverain.
En clair, les habitants des îlots sont unanimes à dire que l’interdiction de la circulation des poids lourds et engins de travaux publics à l’intérieur du centre urbain d’Oran doit être fermement réactivée.
Hadj Hamdouche
À la veille de la rentrée sociale, la direction de la Sûreté de wilaya de Tébessa a mis en place un plan spécial pour assurer une rentrée sans troubles, apprend-on dans un communiqué de la Sûreté de wilaya. La nouveauté est sans doute, selon le document, la présence des agents de l’ordre dans l’entourage des établissements scolaires non seulement pour assurer la sécurité des élèves et les préserver des vendeurs de drogue. La deuxième cible de la Sûreté, en termes d’importance et de priorité, les gares routières et les stations de taxi et de bus qui seront renforcées.
Par ailleurs, le quartier de Bab Zouatine qui demeure jusqu’à présent le fief des voleurs et agresseurs est concerné par ce plan. D’ailleurs la veille de la fête Aïd- El- Adha, deux personnes dont un ressortissant tunisien, ont été sauvagement agressées à l’arme blanche et délestées de leur biens.
RACHID G.
Le Salon du manuel scolaire a ouvert ses portes ce mardi à Riadh El-Feth (Alger) sous la supervision des ministres de l’Education nationale et de la Culture, respectivement Nouria Benghebrit et Azzedine Mihoubi.
Organisé par l’Office national des publications scolaires (ONPS), ce salon qui se poursuivra jusqu’au 12 septembre courant et auquel prennent part 38 exposants, permettra aux parents élèves d’acquérir les manuels et les fournitures scolaires pour leurs enfants pour la rentrée scolaire 2017-2018 prévue demain, mercredi.
Dans une déclaration à la presse en marge de l’ouverture du salon, Mme Benghebrit a rassuré les citoyens de la disponibilité des manuels scolaires au niveau des centres de distribution relevant de l’ONPS ainsi qu’au niveau des 800 librairies privées autorisées à vendre le manuel scolaire.
Les nouveaux manuels scolaires de deuxième génération (3e et 4e années primaire et 2e et 3e années moyenne) seront disponibles dans tous les établissements scolaires, au plus tard le 10 septembre en cours.
«Le manuel scolaire sera utilisé après 15 jours de la rentrée pédagogique. Cette durée permettra à l’enseignant d’évaluer l’élève», a précisé la ministre.
De son côté, le ministre de la Culture a mis l’accent sur la qualité du manuel scolaire, indiquant que les éditeurs ont pris en compte les observations des instances officielles et des parents d’élèves».
Il a, dans ce sens, appelé les opérateurs algériens à investir dans l’industrie des fournitures scolaires en vue de réduire le coût de l’importation.
APS
Au total 16 wilayas ont enregistré un déficit en matière d’eau durant cet été.
C’est ce qu’ a indiqué aujourd’hui à Alger, M. Smain Amirouche, le directeur central de l’alimentation en eau potable au niveau de ministère des Ressources en eau .
« 16 wilayas dont Annaba , Souk Ahras,Gulema et Bordj Bou Arreridj ont enregistré un déficit en matière d’eau. « Il s’agit d’un cumul de plusieurs années », a fait savoir ,M. Amirouche lors d’une conférence de presse portant sur le service public de l’eau et l’assainissement durant les fêtes de l’Aïd El Adha.
Suite à ce déficit, il a été enregistré une diminution du niveau des barrages, a ajouté M. Amirouche, soulignant la nécessite d’une gestion rationnelle » des ressources en eau. Mais ce responsable s’est bien gardé d’aborder l’envasement des barrages et le manque de dragage, ce qui aurait évité beaucoup de désagréments.
Par ailleurs, l’intervenant a affirmé qu’un programme d’urgence a été mis en place concernant notamment la distribution et la mobilisation de camions-citernes.
Et alors que des localités entières ont été sujette à un assèchement de leurs robinets, bien avant les fêtes de l’aïd, le conférencier a indiqué que la distribution de l’eau potable assurée par l’ADE, la SEAAL, la SEOR et la SEACO durant les fêtes de l’Aïd El Adha a été « globalement satisfaisante » sur l’ensemble du territoire national.
Pour le cas du complexe El Hadjar, M. Amirouche a cité plusieurs mesures qui seront mise en œuvre, dont la réalisation de cinq forages au niveau de cette usine.
F.A/Agence
ISTANBUL – Le tennisman algérien Yasser Bouchareb sera opposé samedi au Bulgare Ferdun Shevkedov, pour le compte du premier tour de la phase qualificative du tournoi international Koza Wos Cup « Futures 31 », organisé du 19 au 27 août à Istanbul (Turquie), selon le programme dévoilé par la Fédération internationale de tennis (FIT) sur son site internet.
En cas de victoire, Bouchareb (28 ans) défiera lors du second tour le vainqueur du match opposant le Croate Marko Goles Babic au Turc Recep Ulas Uzun.
Plusieurs athlètes bien positionnés dans le classement ATP seront en lice dès mardi pour le compte du premier tour du tableau final, dont le Néerlandais Tallon Griekspoor (306e), le Russe Ivan Nedelko (355e), le Bosnien Tomislav Brkic (358e) et l’Espagnol Javier Marti (393e).
Cette compétition dont le prize-money s’élève à 25.000 USD, se déroule sur les courts en terre battue du complexe sportif « Koza World of Sports ». Le tennisman algérien reste sur une défaite lors du tournoi « Futures 31 » qui s’est disputé aussi à Istanbul (Turquie), en s’inclinant dès le deuxième tour des qualifications face au Russe Ivan Korol 6-1, 6-0.