Le Festival international du film de Nancy qui vient de s’achever, a fait la part belle aux innovations cinématographiques au service d’une approche sans concessions d’un état du monde que très peu de films et de documentaires savent décrire avec autant de radicalité et de justesse. A travers une multitude d’histoires et de personnages inattendus, plus de 160 films ont permis de découvrir l’incroyable richesse et la vitalité d’un cinéma mondial différent, que Nancy a le mérite de promouvoir depuis 27 ans auprès d’un large public.
Illustration avec « Ailleurs, partout », grand prix de la presse, film des réalisatrices belges Vivianne Perelmuter et Isabelle Ingold, qui retrace dans un langage totalement original basé sur de images de vidéosurveillance, des textos et des conversations téléphoniques, l’errance d’un jeune réfugié à travers l’Europe.
Rencontre.
Chanteuse de grand talent, parolière de beaux textes et d’une grande sensibilité, compositrice de musiques aux rythmes puissants et aux saveurs multiples, Véronique Pestel vient de publier un disque intégralement consacré au poète.
Les épreuves dramatiques que notre peuple vient de vivre, dans dix-neuf wilayas, et qui ont tourné au tragique, particulièrement en Kabylie où plus de deux cents femmes et hommes – civils et militaires – ont péri brûlés vifs dans des incendies dont le nombre et la simultanéité posent cruellement la question de leur origine et nous interpellent. Nous n’avons plus le droit de nous taire !
Mon audience. La chronique de Stéphane Toutlouyan, 54 ans, ex-otage du Bataclan. À retrouver régulièrement tout au long du procès historique des attentats du 13 novembre 2015 qui devrait durer 9 mois.
Les fédérations du PCF de la Corse rendront un hommage public à leur camarade Léo Micheli, le samedi 11 septembre, à 15 h 30, au cimetière de Bastia, devant la stèle dédiée aux Résistants.
Six ans après les attentats qui ont fait 131 morts et des centaines de blessés à Saint-Denis et dans la capitale, une audience historique, inédite par sa durée comme par le nombre de victimes, s’ouvre ce mercredi devant la cour d’assises spéciale de Paris.
Les zones de montagne ne produisent plus que 20 % du lait de vache en France et le revenu moyen des producteurs y est inférieur de 30 % à celui de leurs collègues installés en plaine quand ils produisent du lait sans signe distinctif de qualité. Dès 2010, Christine Vazeille, productrice dans le département Haute Loire nous alertait sur la gravité de la situation. Alors qu’un rapport doit être remis au ministre de l’Agriculture en octobre, nous reproduisons une partie de son témoignage en fin d’article.