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Défense

Liban : Visite d’élus du Haut-Rhin

Monsieur Straumann, président du conseil départemental, accompagné de madame Klinkert, vice-présidente, se sont rendus du 14 au 16 juin 2015 sur les terres libanaises pour rendre visite aux Diables Rouges du 152e Régiment d’Infanterie de Colmar. Ils répondaient à l’invitation du chef de corps, le colonel Hasard, commandant la Force Commander Reserve (FCR), qui les a accueillis durant ces trois jours dans l’enceinte du camp de 9.1.
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Le conglomérat sud-coréen Daewoo Shipbuilding & Marine Engineering (DSME) n’est finalement ps candidat à une reprise des 66,7% des chantiers navals STX France.

C'est pas secret... Blog - Wed, 01/07/2015 - 21:56
Après avoir longtemps laissé entendre qu’il envisageait de prendre le contrôle des chantiers navals STX France, basés à Saint Nazaire et à Lorient, le conglomérat sud-coréen Daewoo Shipbuilding & Marine Engineering (DSME) vient d’indiquer qu’il ne serait finalement pas candidat à une reprise des 66,7% de l’entreprise aujourd’hui détenus par la Korea Development Bank (KDB). L’Etat français, qui détient, lui, par le biais de Bpifrance, 33,4% de la société, va devoir aider à la recherche d’un autre acheteur potentiel dans ce dossier qui tarde à être solutionné. 
Pour justifier, hier, à l’occasion d’une conférence de presse, son refus d’engager son entreprise dans une nouvelle acquisition, Jung Sung-Leep, qui vient tout juste d’être nommé à la tête de DSME, le deuxième plus gros constructeur naval coréen, a indiqué que l’équilibre financier de son groupe n’était pas encore pleinement rétabli. “Il est trop tôt pour nous pour dépenser des ressources dans la construction de navires de croisière”, a expliqué le PDG. “Nous devons plutôt nous concentrer sur nos trois activités principales qui sont les navires de marchandises high-tech, les plateformes offshore ainsi que les sous-marins ou les autres types de bâtiments militaires”.
Ayant longtemps travaillé au sein de STX Europe, l’ancienne maison mère de STX France, qui a depuis été démantelée suite à la restructuration du conglomérat coréen STX, le PDG a dressé un tableau plutôt optimiste pour l’avenir des chantiers français. Il a ainsi rappelé que STX France était profitable. Après une période plus incertaine, les chantiers français ont reçu, depuis 2014, plusieurs grosses commandes. SMC fait ainsi construire par STX France deux paquebots de croisière. Et les opérateurs Royal Caribbean et American Celebrity viennent, eux aussi, de commander des navires au constructeur.
Ayant longtemps semblé privilégier une solution entre acteurs coréens, la KDB qui a besoin, pour des raisons financières, de céder ses parts dans STX France va devoir reprendre sa recherche d’un repreneur avec les banques d’affaires qui portent le dossier de reprise. D’autres candidats, notamment les chantiers italiens de Fincantieri avaient, un temps, été évoqués par la presse économique coréenne mais ils ne semblaient pas être en mesure de faire l’unanimité chez tous les actionnaires et partenaires de STX France.

 Le stress de retour à ShanghaiLa principale place financière de Chine continentale est repartie à la baisse ce matin, après une journée de jeudi qui s’était soldée par une diminution de 3,5%. A la mi-journée, ce vendredi, l’indice composite était en chute de 4,5%. Au final, le mois de juin est parti pour se solder par une baisse d’un peu plus de 1%, ce qui ne s’était pas vu depuis l’installation, début 2014, d’un climat d’enthousiasme, puis d’euphorie, à la bourse chinoise. En fin de semaine dernière, certains analystes – en particulier ceux s’exprimant au nom d’institutions publiques chinoises –pointaient des raisons techniques à la chute de plus de 12% qu’avait encaissée Shanghai en seulement une semaine. Ils notaient, en particulier, qu’un nombre record d’introductions en bourse pénalisait le cours des actions déjà cotées, en créant une diversion pour le capital déjà investi en Bourse. D’autres, plus inquiets, avançaient l’hypothèse que l’heure du retournement avait sonné, sur une Bourse devenue totalement irrationnelle, et dont les valorisations n’avaient plus aucune relation avec les performances financières des sociétés cotées, ni avec le contexte macroéconomique chinois. En cette fin de semaine, c’est plutôt la seconde hypothèse qui gagne donc en crédibilité. Depuis quatre jours, en effet, on a assisté à un phénomène nouveau : les investisseurs qui avaient acheté des actions avec de l’argent emprunté (« trading sur marge ») ont plus revendu de titres qu’ils n’en ont acquis. Les analystes de Morgan Stanley viennent d’ailleurs de publier un rapport dans lequel ils mettent en garde contre l’hypothèse erronée selon laquelle la baisse récente serait une simple correction technique et constituerait une bonne opportunité d’achat : ils anticipent une baisse de 2% à 30% au cours des 12 prochains mois. Manifestement, ce contexte d’incertitude n’a pas encore refroidi tous les investisseurs. Guotai Junan, le principal courtier chinois, vient de procéder à sa première cotation après avoir réussi la plus grosse levée de fonds depuis 2010 en Chine. Portée par les espoirs d’une intense activité boursière au cours des prochains mois, son action s’est envolée de 44% ce matin, avant d’être suspendue de cotation, conformément à la règle en vigueur à la Bourse chinoise.Au Japon, toujours pas d’inflation mais un peu de consommationIl y a deux ans, la Banque du Japon (BoJ), poussée par le gouvernement de Shinzo Abe, enclenchait un gigantesque programme d’assouplissement quantitatif afin de sortir le pays de la déflation qui déprime les entreprises. L’institution assurait alors que la hausse des prix approcherait les 2% en 2015. Deux ans plus tard exactement, la hausse des prix à la consommation a été mesurée, en glissement annuel, en progression de 0,1% sur le mois de mai, selon les statistiques diffusées ce vendredi matin à Tokyo. Si la chute du yen, alimentée par l’assouplissement quantitatif de la BoJ, a gonflé les étiquettes des produits importés, la baisse du prix des matières premières a, elle, vivement refroidi l’inflation. Les analystes de Goldman Sachs estiment ainsi que, du fait de ces mouvements, les prix vont désormais stagner dans l’Archipel ou même légèrement décroître dans les prochains mois. S’il a échoué à mater l’ogre déflationniste, le gouvernement peut tout de même se réjouir, ce matin, d’une statistique montrant un léger réveil de la consommation des ménages, qui était en berne depuis 14 mois. En mai, les dépenses des particuliers ont ainsi progressé de 4,8%. Les analystes rappellent toutefois que ce rebond fait suite à une forte chute de la consommation sur le mois d’avril. Seules les données de juin permettront de deviner une tendance de l’état exact de la demande dans l’Archipel.
En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/monde/asie-pacifique/021166775164-cette-nuit-en-asie-daewoo-ne-veut-plus-des-chantiers-navals-stx-france-1132018.php?ZTwHddZ85myW5UMi.99#
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Glosaire du P5 sur les Termes clés dans le Domaine Nucléaire

Après quatre années de travail les diplomates russes, chinois, français, britanniques et américains ont écrit un glossaire des termes nucléaires. À ce rythme, nous sommes loin de parvenir à l’élimination des armes nucléaires…. (lire la suite…)

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Inréalité.

C'est pas secret... Blog - Tue, 30/06/2015 - 07:12
"Quand on est emmerdé par une affaire, il faut susciter une affaire dans l'affaire, et si nécessaire une autre affaire dans l'affaire, jusqu'à ce que personne n'y comprenne plus rien."
Charles Pasqua.

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La Chine veut que la Grèce reste dans la zone euro.

C'est pas secret... Blog - Mon, 29/06/2015 - 23:09
Le premier ministre chinois Li Keqiang a affirmé lundi qu'il voulait que la Grèce reste dans l'eurozone et a promis que Pékin investirait dans le nouveau fond structurel de l'UE.
"C'est dans l'intérêt de la Chine. Nous voudrions que la Grèce reste dans la zone euro et nous prions instamment les créanciers internationaux de trouver un accord avec les Grecs", a affirmé Li devant des hommes d'affaires lors d'une conférence qui précédait le sommet UE-Chine. Il a aussi promis que la Chine investirait dans le nouveau fond de 315 milliards d'euros lancé par le Président de la Commission Européenne JC Junker, et qu'elle achèterait des bons de la Banque d'Investissement Européenne.
 "Nous sommes prêts à travailler avec l'Europe afin de renforcer la coopération en matière d'investissements. La Chine est désireuse de participer au programme européen d'investissement pour l'Europe et de faire une avancée dans le domaine du développement d'infrastructures" a ajouté Li, "La Chine veut participer au plan de l'UE".
Source.
Tian Guoli, directeur de la Bank of China, s'inquiète : "Récemment la crise de la dette grecque et l'instabilité du taux de change de l'euro ont réveillé notre préoccupation" révèle-t-il dans une interview donnée au journal de langue anglaise China Daily. "Nous espérons sincèrement que l'euro ainsi que les marchés financiers européens vont se stabiliser". [...]

Pour Wang Chin, de Westlake Europe une compagnie de pièces détachées pour l'automobile : "Nous ne nous intéressons qu'aux conséquences. Politiquement cela n'a aucune importance que la Grèce reste ou non dans l'eurozone, mais pour nos affaires nous avons besoin d'un euro stable". [...]

Guo Taicheng, directeur du Shing Kee Group: la volatilité de l'euro "ralentira le commerce entre l'UE et la Chine".

Pour l'avocat Haibin Xue, présent lui-aussi au sommet UE-Chine, la Chine a un intérêt géopolitique à ce que l'euro soit fort, parce que de cette manière l'équilibre entre puissances se déplace davantage vers un monde multipolaire, qui s'oppose au monde unipolaire dirigé par les USA. Ainsi "La Chine aimerait que la zone euro soit forte et stable".

Source.

L'actuel gouvernement grec est un conglomérat étrange de communistes et de nationalistes dont le seul point commun est d'être des fantoches du Kremlin. Leur rôle est de déstabiliser voire de faire éclater la zone euro et l'UE au bénéfice de la Russie. Mais tout cela ne semble pas être du goût des Chinois qui voient là une atteinte directe à leurs intérêts commerciaux. Tout cela a au moins le mérite de démonter le mythe des BRICS et de la "lune de miel" entre la Chine et la Russie tant vantée par les médias russes. On voit aussi que les Chinois ne voit pas l'UE comme un outil des Américains pour établir je ne sait quel Nouvel Ordre Mondial, mais au contraire un frein à leur hégémonie.


EU-China Summit, Brussels - signing ceremony
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Les Inconnus - Articulation

C'est pas secret... Blog - Mon, 29/06/2015 - 12:43

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Ecoutes : la grande hypocrisie

Blog Secret Défense - Sun, 28/06/2015 - 18:49
Après les révélations sur l’espionnage par la NSA des présidents français, une grosse colère a été mise en scène par l'Elysée. Mais personne n'ose prétendre que la France ne fait rien de tel
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Le GAOS, du renfort pour les forces spéciales de l'armée de terre

Blog Secret Défense - Sun, 28/06/2015 - 18:42
Le magazine Raids révèle la composition du nouveau Groupe d'appui aux opérations spéciales
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Chammal : un Atlantique 2 en mission dans le ciel irakien

ColBleus - Marine nationale (FR) - Sat, 27/06/2015 - 13:36

Il est 6 heures ce matin sur la base, le soleil est déjà haut ; le thermomètre affiche 45°C. Trois avions attendent sur le tarmac, deux Rafale de l’armée de l’Air et un Atlantique 2 (ATL2) de la Marine nationale. Ils sont parés pour effectuer une mission  ISR (intelligence, surveillance, reconnaissance), qui permet de collecter des renseignements dans la profondeur grâce notamment à des photographies de précision.

L'équipage de l'ATL2 prépare l'ensemble des appareils qui seront utilisés au-dessus de l'Irak pour photographier, identifier, surveiller et reconnaître. Dans les Rafale, les équipages font les derniers contrôles du moteur et de l’électronique embarquée, notamment le PodReco NG (système numérique de reconnaissance aérienne) pour rapporter et exploiter des images.

Marins et aviateurs sont concentrés. Ils partent, les premiers pour 10 heures de vol, les seconds pour 6 heures ; tous en survol d’un territoire hostile. Le ciel est sûr, mais le risque existe. Les Rafale sont armés de missiles d'autodéfense MICA. L'ATL2, lui, vole à distance de sécurité mais emporte néanmoins une autoprotection par leurres infrarouges. Sans ces missions de renseignement, la coalition Inherent Resolve et son volet français, Chammal, seraient aveugles. Marins et aviateurs utilisent différents moyens ROIM1complémentaires, qui vont permettre au personnel en charge du renseignement d'offrir toutes les informations permettant aux forces de sécurité irakiennes et à la coalition de combattre le groupe terroriste Daesh.

Les pilotes ont fini leurs vérifications. Les hélices tournent, les réacteurs vrombissent, les pistards et les pilotes entament leur langage des signes. Les tests au sol sont positifs, les roulages commencent, le grondement des décollages se fait entendre, les avions disparaissent à l’horizon…

Comme prévu, les Rafale atterrissent 6 heures plus tard. Les mécaniciens, pistards, vecteurs, armements et avioniques sont tous présents pour la remise en condition des avions. Bien que fatigués, pilotes et navigateurs, en descendant de leurs machines, adressent un petit geste de remerciement en direction de leurs équipes de soutien.

De leur côté, les marins sont toujours sur zone, car leur autonomie leur permet une mission plus longue. Cependant, il ne leur est pas nécessaire d’attendre le retour à la base pour l’exploitation des images, les traitants commencent donc à bord.

Sur le tarmac de la base, l'avionique s'affaire sur le Pod Reco NG. Il en retire un gros boitier, un disque dur où sont stockées les images réalisées par les Rafale. Elles seront exploitées par les interprétateurs image. De leur travail découlera d'autres missions aériennes, d'autres objectifs à neutraliser.

Le travail du jour va consister à vérifier, sur demande des états-majors, des indices d'activités : par exemple comment sont configurés certains véhicules, notamment les engins de génie civil, les mouvements de circulation autour de bâtiments, et ce qui pourrait indiquer qu'il s'agit d'une fabrique d'IED (engins explosifs improvisés) ou de véhicules IED. "Les photos sont ensuite légendées" nous apprend le sergent Julien. L'exploitation se poursuit : recherche de ponts, d'infrastructures clés, de travaux de génie ou autres, tout indice qui indiquerait que Daesh réalise une opération à l'endroit de la photo.

Le travail terminé, les photos sont enregistrées dans la base de données puis transmises aux différents états-majors, en particulier le CAOC de Chammal-Inherent Resolve, le Combined Air OperationCentre, le centre interallié des opérations aériennes où des personnels français de Chammal planifient les futures opérations aériennes.

Lancée depuis le 19 septembre 2014, l’opération Chammal mobilise 700 militaires. Elle vise, à la demande du gouvernement irakien et en coordination avec les alliés de la France présents dans la région, à assurer un soutien aérien aux forces irakiennes dans la lutte contre le groupe terroriste autoproclamé Daech. Le dispositif complet est actuellement structuré autour de douze avions de chasse de l’armée de l’Air (six Rafale et six Mirage2000D) et d’un avion de patrouille maritime Atlantique 2.

1 ROIM : renseignement d'origine image

 

Sources : Etat-major des armées
Droits : Ministère de la Défense
Lien : http://www.defense.gouv.fr/operations

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La Vigie n° 19 : Question russe | Afrique et conflictualité

EGEABLOG - Sat, 27/06/2015 - 11:17

Le numéro 19 de La Vigie est paru, avec notamment deux articles dont vous pouvez lire les entames ci-dessous.

La question russe, plus sérieuse qu’il n’y paraît

À Paris, les responsables regardent ce qui se passe à l’Est d’un œil distrait. L’attention se concentre sur les Sud ou sur le théâtre intérieur. Terrorisme, jihadisme, BSS (bande sahélo-saharienne, dans le jargon) et « revoyure » de la LPM sont à l’ordre du jour. Quand il reste un peu de temps, on s’attache aux contrats d’armement et si on se projette, ce n’est que pour envisager la COP 21 (Conférence des Nations-Unies sur le changement climatique) qui se tiendra à Paris en décembre.

La Russie ? Certes, il y a l’Ukraine mais nous sommes partie au « groupe de Normandie » et nous soutenons donc les accords de Minsk 2 ; certes il y a la question des Mistral, épine dont on essaye de contenir les purulences ; pour le reste, si les Européens de l’Est s’affolent un peu, il n’y en fait pas péril en la demeure car si Vladimir Poutine est un interlocuteur qui peut être abrupt, il demeure accessible à la raison. Pas de quoi s’inquiéter, donc.

(…)

Afrique et conflictualité

Au moment où pour contrer un aventurisme russe postulé, l’Otan rétablit des lignes de front stratégique et reconstitue des bases militaires au cœur de l’Europe, où la progression militaire incontrôlée de Daech fait basculer le Levant dans un chaos armé qui a gagné aussi la Libye, où le Sahel se constitue en terrain de chasse libre, il est grand temps de penser à la propagation de ces désordres ailleurs. C’est donc le temps de se demander où en est l’Afrique au triple plan de sa sécurité, de sa stabilité et de sa viabilité stratégique. Pour la France qui y entretient un réseau de bases et y conduit des opérations militaires, souvent à son corps défendant, faire en permanence la pesée des risques africains et agir sans relâche pour le développement sécurisé et durable de l’Afrique sont deux obligations de sécurité nationale.

(…)

O. Kempf

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La loi sur le renseignement en 8 questions

Défense ouverte (Blog de Jean Guisnel) - Fri, 26/06/2015 - 17:13
La loi qui organise la collecte de renseignements électroniques par les services fait l'objet de 3 recours devant le Conseil constitutionnel.
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Défense ouverte (Blog de Jean Guisnel) - Fri, 26/06/2015 - 17:13
La loi qui organise la collecte de renseignements électroniques par les services fait l'objet de 3 recours devant le Conseil constitutionnel.
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