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Défense

Coupe de l'America : Oracle domine Groupama

MeretMarine.com - Wed, 31/05/2017 - 06:01

Après leurs 2 incroyables victoires qui leur ont valu d'être taxés d'épouvantails, les Français jouent une partie serrée mercredi lors des qualifications de la Coupe de l'America aux Bermudes, et entendent se servir de leur défaite mardi contre le maître américain.

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Peace Boat : Arctech choisi pour construire le futur Ecoship

MeretMarine.com - Wed, 31/05/2017 - 00:30

Très beau contrat en perspective pour le chantier finlandais Arctech, spécialisé notamment dans la construction de brise-glaces en plein centre d'Helsinki. Hier à Oslo, il a en effet signé une lettre d'intention portant sur la commande, par l'ONG japonaise Peace Boat, de son futur navire amiral, l'Ecoship. Pour mémoire, Peace Boat mène depuis 1983 des voyages de la paix à bord de navires transformés en universités flottantes.

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Les blessés pour les blessés, en calendrier

Le mamouth (Blog) - Tue, 30/05/2017 - 17:22
A 10 euros le calendrier, des blessés des trois armées et de la gendarmerie réunis dans l'association
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Le français exclu de l’Europe de la défense. Gabegie financière. Erreur stratégique

Bruxelles2 - Tue, 30/05/2017 - 09:00

(crédit : DICOD / Etat major des armées)

(B2) C’est un fait désormais. Dans les missions et opérations de la PSDC, dans la politique étrangère de l’UE, l’unique langue de travail est devenue l’anglais, qui s’est imposé de manière insidieuse, méthodique et efficace. S’exprimer en français n’est pas seulement difficile, c’est devenu impossible, du fait du nombre de personnes qui, non seulement, ne parlent pas le français mais ne le comprennent pas (ou ne veulent pas le comprendre). C’est même interdit.

Français interdit

J’en ai été témoin. J’étais invité à m’exprimer devant les PPIO (portes-paroles et chargés d’information) des différentes missions / opérations de l’Europe de la défense. A priori, un porte-parole d’une mission européenne devrait être plutôt polyglotte, apte à pouvoir s’exprimer et communiquer dans n’importe quelle langue… Il est d’ailleurs payé pour cela (avec un salaire supérieur à la moyenne). Cela… c’est la théorie. Dans les faits, c’est le contraire. Quel n’a pas été mon étonnement devant cet aréopage de sages et compétents communicateurs, normalement engagés sur la base du bilinguisme (obligatoire dans la PESC), de voir que très peu parlaient ou même ne comprenaient le français. English please ! J’ai été littéralement « rappelé à l’ordre » par un fonctionnaire quand je me suis hasardé à prononcer, en aparté, quelques mots de français avec un francophone de l’assistance (1).

Un système bien organisé

Est-ce un épiphénomène, un dérapage ponctuel ? Non. C’est un système bien organisé, désormais rôdé, qui a été mis en place pour favoriser l’anglais et éliminer peu à peu le français. Il semble loin le temps où les conseillers européens pouvaient « switcher » (pour reprendre un terme anglophone) d’une langue à l’autre, avec une aisance et une intelligence, qui rendaient non seulement intelligibles leurs propos mais ne pouvaient que susciter un sentiment réel d’admiration.

Des avis de recrutement publiés en anglais uniquement

Pour être bien sûr de ne pas recruter des francophones, tous les avis de recrutements dans les missions de la PSDC ne sont ainsi publiés qu’en anglais (voir ici), y compris le détail des postes, même dans les missions se déroulant dans les pays francophones : exemple pour un récent appel de recrutement pour la mission au Niger, … où le français est plus que recommandé. La grande majorité des entretiens d’embauche se déroulent d’ailleurs en anglais. Résultat : tous les agents ne parlent pas le français (et certains ne le comprennent pas).

Quand vous essayez de passer sur le français, le serveur du service diplomatique européen affiche ceci. C’est symbolique : 

Des anglophones favorisés à l’embauche

Dans les autres missions, si l’anglais est mentionné comme obligatoire, le français est placé au mieux comme un « désirable » dans l’embauche. Les formations au Collège européen de sécurité et de défense (dont la France est pourtant un des plus ardents défenseurs) se déroulent d’ailleurs en anglais quasi-exclusivement. Et pour les anglophones (il peut y avoir d’excellents conseillers qui ne pratiquent que l’anglais), les possibilités de développer ou de perfectionner leurs connaissances linguistiques francophones semblent être le cadet des soucis des autorités diplomatiques européennes.

Une pratique visant à la régression de la langue française

Aujourd’hui, dans certaines missions, mêmes établies dans des pays francophones (Mali, Niger…), la langue de travail est donc l’anglais. Car « à Bruxelles tous ne parlent pas le français » témoigne un participant à ces missions. Ne serait-ce que pour être sûr d’être compris, il vaut mieux donc écrire en anglais. Donc on recrute des anglophones. C’est un cercle vicieux. Au point que les militaires ou agents européens sont incapables de comprendre leurs interlocuteurs africains et sont parfois obligés de recourir à des traducteurs pour se faire comprendre.

English only à l’Agence européenne de défense

Cette règle n’est pas propre aux « opérationnels », on constate que ce « tout anglais » est devenu la règle dans tout le milieu de l’Europe de la défense. Ainsi à l’Agence européenne de défense, on a décidé par simplicité de ne communiquer qu’en anglais. Ce au mépris de toutes les règles habituelles. Peu importe que la France, avec l’Allemagne, soient parmi les pays qui contribuent le plus aux capacités de défense et disposent donc du plus grand éventail de spécialistes (avec le Royaume-Uni désormais en voie d’exit). Peu importe que la terminologie, très technique, de cette agence mériterait une traduction (2).

Les communiqués de la Haute représentante en monolingue

Idem, au service de la Haute représentante de l’Union, Federica Mogherini. La très grande majorité de communiqués de presse ne sont disponibles qu’en une seule langue : l’anglais. Même les communiqués qui concernent un tant soit peu la zone francophone restent en anglais uniquement, à l’exception peut-être de l’Afrique de l’Ouest. Exemple : le communiqué sur l’UE et l’Afrique ou le discours de la Haute représentante à l’Institut universitaire de Florence (là même où Jean-Claude Juncker a décidé de ne parler qu’en français car l’anglais était la langue du sortant).

Un communiqué sur quatre traduit : souvent pas les plus importants

Ici, ce n’est pas une question d’incompétence linguistique, tous les communicants de la Haute représentante parlent/comprennent parfaitement le français (et toute une série d’autres langues), comme la Haute représentante elle-même et la direction du SEAE. C’est une volonté délibérée (3). Selon un sondage auquel nous avons procédés, seul un communiqué sur quatre est disponible en français. C’est un maximum. Ce sans compter l’aspect qualitatif. Les plus importants, en termes politiques, ne sont pas traduits (exemple dernièrement la rencontre avec les Premiers ministres des Balkans ou du Quartet en Libye).

 Le multilinguisme ignoré systématiquement

Pire, alors qu’une version linguistique existe, déjà traduite par d’autres services européens, le SEAE continue de ne proposer qu’une seule langue. Il en est ainsi du communiqué sur le futur de la défense, tenu par la Commission européenne, fin mai.

Voici ce qu’affiche le site du SEAE :

Quand on clique sur le lien, on voit que la Commission européenne offre une traduction de ce communiqué en 22 langues !

Ceci n’est pas une simple erreur de mise en lien. C’est quasi-systématique. Nous l’avons constaté quand nous avons rédigé notre ouvrage sur la PSDC. Alors que toutes les décisions officielles de cadrage ou de lancement d’une mission sont disponibles dans toutes les langues de l’Union européenne (puisqu’elles ont été publiées au Journal officiel), une seule version est proposée : l’anglais.

Un dispositif illégal, incohérent, inefficace

Cette position repose sur des bases complètement incompréhensibles tout d’abord au regard des règles européennes en usage, mais surtout obsolètes au regard des nécessités de la communication moderne et des réalités stratégiques du monde d’aujourd’hui.

Une erreur profonde de communication

Au moment où l’Europe parait s’être éloignée des peuples, où les populations ont des doutes sur l’utilité européenne, où, malgré tout, la défense et la sécurité européennes reste un des (rares) points de consensus, où dans quasiment tous les pays, les Européens estiment qu’il faut se doter d’une politique étrangère, ne pas communiquer dans les langues européennes est une erreur fondamentale. Surtout à l’ère d’internet, qui fonctionne comme un gigantesque puits d’information unique.

Ne pas être disponible en français (ou dans d’autres langues européennes), c’est se priver d’une capacité de pénétrer dans la majeure partie des foyers. Les fonctionnaires européens croient, naïvement, que tout le monde parle anglais et communique en anglais. C’est faux : par principe, une personne de sensibilité ordinaire fait d’abord une recherche dans sa langue naturelle (surtout sur google qui enregistre par préférence la langue du pays où vous résidez). Si elle ne trouve pas, elle passera à autre chose. Et ce n’est que rarement qu’elle tentera une recherche dans une autre langue.

Une gabegie financière

En matière d’usage des fonds publics, cela se révèle être être une gabegie énorme. Par principe, on octroie aux agents et fonctionnaires européens un salaire supérieur à ce qui serait normalement pratiqué, pour pouvoir attirer des personnels multilingues et compétentes. L’Europe se retrouve ainsi à devoir payer en double : des sursalaires pour des personnes qui ne savent pas parler et comprendre dans les principales langues européennes et des services de traduction. De plus, elle impose aux citoyens, à la presse européenne de traduire eux-mêmes la communication européenne. Ce qui est un comble : l’Europe n’est plus au service des citoyens. C’est le citoyen qui devient au service de l’Europe.

Une illégalité manifeste

La publication des avis de recrutement dans une seule langue de travail est une illégalité manifeste qui a été régulièrement sanctionnée par la justice européenne. Quant à l’exigence d’une seule langue de travail et pas des autres, elle doit être, selon les juges, vraiment justifiée par la nature et l’activité de l’emploi concerné. Et cette justification ne peut normalement justifier l’exception à la connaissance d’au moins deux des langues de travail européennes. Considérer ainsi le français comme une langue facultative est pour le moins (très) difficilement justifiable dans un environnement international. Cette illégalité fait d’ailleurs peser sur tous les agents engagés, selon ces procédures, une redoutable épée de Damoclès, il suffit qu’un « recalé », qu’un syndicat ou une association, ou un État membre attaque l’avis de recrutement. Et celui-ci a de très fortes chances d’être annulé.

Une erreur stratégique

Enfin, et surtout, ce monolinguisme forcé est une erreur stratégique. Les Russes ont très bien compris l’importance du français. La plupart de leurs diplomates parlent la langue de Molière (parfois même de manière très raffinée). Et le site Russia Today (en français) sort souvent en premier dans une recherche internet sur la thématique de la défense européenne ou de la politique étrangère. Idem pour les Chinois qui, à travers l’agence Chine nouvelle, proposent un service assez complet sur les mêmes thématiques, dans plusieurs des langues européennes. Enfin, même les Américains traduisent désormais systématiquement tous les propos importants sur la scène internationale de leur ministère des Affaires étrangères, voire de la Défense. Seuls les Européens semblent avoir abandonné le combat. Cruel paradoxe : au moment où les Européens se plaignent d’être soumis à une vaste « propagande » russe, ils laissent aux médias russes le loisir de traduire comme ils l’entendent leur pensée politique car ils s’avèrent incapables (ou ne veulent pas) traduire leurs propres communiqués dans les principales langues européennes (4). En termes militaires, cela a un mot : baisser les armes, fuir le champ de bataille, déroute, trahison… au choix.

Copie écran d’une partie de la page principale du SEAE après passage en français : english, русский… no french !

Commentaire

L’AJE  (association des journalistes européens), section française (dont je suis un vice-président), avait tiré la sonnette d’alarme il y a deux ans (lire ici). Nous avions écrit aux différentes autorités européennes. Nous avions reçu des réponses de chacune des institutions… qui avaient tenu à faire savoir qu’elles avaient bien conscience de cet enjeu et qu’elles faisaient un effort (5). Une seule autorité n’a pas répondu : le service diplomatique européen et les autorités chargées de la PSDC. Plutôt paradoxal pour un service qui traite des questions internationales.

Cette attitude européenne, pour le moins méprisante, doit changer. Il n’est plus possible aujourd’hui aux autorités diplomatiques européennes de jouer l’autruche, de considérer que c’est un « détail », un « oubli » ou un « problème technique » de ne pas avoir la version française disponible. Ou comme me l’a répondu un porte-parole : nous n’avons pas l’argent pour cela.

Communiquer dans une seule langue (l’anglais) ne suffit plus. Ce temps là est terminé. Cela relève aujourd’hui de la faute grave. Le français (mais aussi l’allemand) doivent être réintroduits comme une langue obligatoire dans toutes les communications de la politique étrangère. C’est tout à fait possible, sans coût supplémentaire pour les institutions européennes. Il suffit de recruter les personnes adéquates ou de les envoyer en formation. L’immobilisme n’est plus justifiable et justifié.

(Nicolas Gros-Verheyde)

(1) Faut-il préciser que j’intervenais à titre totalement gracieux pour apporter mon témoignage de journalistes. On se situe dans un renversement complet de la règle qui veut que l’institution s’adapte à la langue du citoyen. Ici, c’est le citoyen qui s’adapte.

(2) La traduction oblige à la compréhension parfaite d’un terme technique. Ce n’est donc pas un geste purement mécanique.

(3) Un responsable européen m’a expliqué (texto) : « Nous n’avons pas les moyens qu’ont les Américains, çà coute trop cher. Et ce n’est pas à nous de faire la traduction… » Sans commentaire !

(4) Un paradoxe poussé jusqu’au paroxysme, où pour contrecarrer la propagande russe, le SEAE traduit en russe un discours de la Haute représentante Federica Mogherini, mais « oublie » de le traduire dans les autres langues européennes principales (français, allemand, espagnol,…). Résultat, les seuls extraits de cette intervention sur internet dans ces langues européennes … se trouve sur Russia Today. On dit merci !

(5) Le Conseil de l’UE notamment a décidé de mettre à disposition les communiqués de la PESC, dans les deux langues dans un délai identique (ou sinon rapproché). A quelques exceptions près, ils ont tenu parole. Ce qui montre qu’avec un peu de bonne volonté, c’est tout à fait possible.

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ITW SDBR du vice-amiral A. Coustilliere, Officier Général Cyberdéfense au MINARM

RP Defense - Tue, 30/05/2017 - 08:55
Vice-Amiral Arnaud Coustilliere, Officier Général Cyberdéfense - photo SDBR 30.05.2017 Propos recueillis par Alain Establier - SECURITY DEFENSE BUSINESS REVIEW SDBR : le ministre de la Défense a prononcé en décembre 2016 un discours sur la cyberdéfense....
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RD Congo. Des ministres de Kabila visés par des sanctions européennes

Bruxelles2 - Tue, 30/05/2017 - 06:57
(B2) Cela faisait plusieurs mois que l'Union européenne menaçait de le faire. C'est chose faite. Ce lundi 29 mai, le Conseil de l'UE a adopté des sanctions contre neuf personnes, occupant des postes de responsabilités dans le gouvernement et dans la chaîne de commandement des forces de sécurité en République démocratique du Congo (RDC). La décision, adoptée par […]
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Ce qui dit un article américain sur l'action des FS françaises en Irak

Le mamouth (Blog) - Mon, 29/05/2017 - 23:41
C'est un article qui devrait faire parler de lui dans les heures qui viennent : le Wall Street Journal, pas
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La liste noire « Syrie » prolongée d’un an. Trois ministres de Bachar al-Assad supplémentaires visés par l’UE

Bruxelles2 - Mon, 29/05/2017 - 14:00
(B2) Le Conseil de l'Union européenne a décidé, lundi 29 mai, de prolonger d'un an de toutes les sanctions (économiques et personnelles) prononcées contre le régime syrien (jusqu'au 1er juin 2018). Les Européens ont également ajouté trois noms à leur liste noire, trois ministres du gouvernement de Bachar al-Assad. Les deux décisions entreront en vigueur le […]
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Bourget : quelques grosses surprises

Le mamouth (Blog) - Mon, 29/05/2017 - 09:13
Si on se réfère à la liste diffusée par l'organisateur, le salon du Bourget aura quelques belles pièces,
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Le groupe jihadiste libyen Ansar Asharia rend les armes

Zone militaire - Sun, 28/05/2017 - 12:05

Classé parmi les organisation terroristes par les Nations unies et les États-Unis, le groupe jihadiste libyen, proche d’al-Qaïda, a annoncé sa « dissolution », via un communiqué diffusé le soir du 27 mai. Créé en 2011 à la suite de la chute du régime du colonel Kadhafi et de la fusion de plusieurs milices, dont la Brigade […]

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Les 5.000 missiles sol-air portatifs de l’armée vénézuélienne vont-ils alimenter le trafic d’armes?

Zone militaire - Sun, 28/05/2017 - 10:56

Confronté à une crise politique et économique (effondrement du cours du pétrole, qui représente plus de 90% de ses recettes et inflation de 720%), le Venezuela vit au rythme d’une vive contestation du pouvoir en place, incarné par le président Nicolas Madura, « héritier » d’Hugo Chavez, le chantre de la « révolution bolivarienne ». Depuis avril, les violences […]

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"Temperer" plie bagages: lundi soir, retrait des troupes des rues britanniques

Lignes de défense - Sun, 28/05/2017 - 10:13

Le niveau d'alerte terroriste au Royaume-Uni a été abaissé de "critique" à "grave", a annoncé samedi la Première ministre Theresa May. Conséquence: l'opération Temperer (une version britannique de "Sentinelle") prendra fin lundi à minuit. Commencera alors un retrait progressif des troupes déployées en soutien de la police (photos AFP).

L'actualité britannique, avec l'attentat de Manchester qui a coûté la vie à 22 personnes, est à mettre en lien avec un sujet récent paru dans la revue Raids n° 371, de juin. Laurent Mallet y consacre un article aux CTSFO britanniques (les Counter Terrorism Specialist Firearms Officers) et décrit leurs actions lors de l'attentat de Londres, le 22 mars dernier. Un autre article avait été consacré à cette unité, toujours dans Raids, dans le numéro 366.

Dans le n° 371, un autre article est consacré à la question antiterroriste. Jean-Marc Tanguy s'interroge: faut-il fusionner les unités d'intervention ou mieux les coordonner? Ce même Jean-Marc Tanguy consacre un éclairant article aux GCM engagés dans l'opération Burgrave.

Dans cette dernière livraison, on notera aussi des articles sur le corps blindé israélien, sur les Long Range Patrols, les paras soviétiques et les FS de Bosnie.

 

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La guerre des mines à la une du n° 169 de Marines & Forces navales

Lignes de défense - Sun, 28/05/2017 - 09:05

Marines & Forces navales de juin est en kiosque.

À la une du n°169 : la guerre des mines, un combat permanent.

Également au sommaire :
- un tour d’horizon des forces navales des pays du Sud ;
- les hélicoptères EH-101 de la Marina militare italienne ;
- la marine pakistanaise
- et un peu de géopolitique avec la situation en mer de Chine du Sud.

Achats au numéro et abonnements sur www.laboutiquemarine.fr

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Les pirates ont capturé deux bateaux de pêche : pas sûr !

Bruxelles2 - Sat, 27/05/2017 - 15:06

(B2) La nouvelle qu’un navire de pêche sud coréen, battant pavillon de la Mongolie, a été capturé par les pirates somaliens, ce samedi (27 mai), n’est pas exacte, a confirmé à B2 une source militaire européenne. « Ce navire est sain et sauf. Nous avons reçu confirmation que les nouvelles relatant le piratage d’un bateau de pêche sud coréenne est fausse ».

Fausse alerte

La Corée du Sud avait sonné l’alerte samedi après avoir perdu le contact avec ce gros navire, de 234 tonnes, alors que celui-ci se disait poursuivi par un bateau suspect, près des côtes somaliennes. Elle a ordonné à son navire Cheonghae de faire route vers la zone suspecte. Et trois avions (un P3 Orion allemand, japonais et indien) ont été mis en alerte. Ce dispositif a permis assez rapidement de rétablir le contact avec le capitaine sud coréen. L’équipage comportait 3 Sud Coréens et 18 Indonésiens.

Sans nouvelles d’un navire iranien

Quant au bateau de pêche iranien, capturé par les pirates, la situation est moins évidente. Ce navire, qui a à son bord 20 membres d’équipage, aurait été saisi par les pirates somaliens au large de Qandala mardi dernier (23 mai), puis emmené vers ce port du Puntland (la région autonome du nord de la Somalie, selon John Steed, responsable de l’Afrique de l’Est pour Oceans Behond Piracy (OBP), ainsi que le relatent l’AFP et Reuters. Or, jusqu’à présent cette capture n’a pas été confirmée par l’opération EUNAVFOR Atalanta. « Nous sommes en train de travailler avec les autorités somaliennes et nos partenaires de la lutte anti-piraterie pour obtenir le maximum d’informations concernant ce ‘possible’ incident. Aussi longtemps que ce n’est pas confirmé, cet incident n’est pas classé en acte de piraterie. »

La question délicate des navires iraniens …

Commentaire : les autorités européennes anti-piraterie ont toujours pris avec précaution les annonces de captures de navires de pêche iraniens. D’une part, l’Iran est le seul pays à ne pas faire partie de la coordination internationale anti-piraterie (qui rassemble aussi bien les Européens et Américains, les Russes et les Chinois ou les Coréens). Ce qui ne facilite pas les relations. D’autre part, les navires iraniens ont continué à faire la navette avec la Somalie, même dans les moments les sensibles de la piraterie. Enfin, chacun s’est interrogé sur certaines « captures » plus que douteuses. Certains navires (yémenites notamment mais aussi iraniens) ont ainsi été soupçonnés non pas d’avoir été otages des pirates mais consentants et affrétés par eux pour servir de bateaux-mères (et intéressés même aux captures).

et de la pêche en eaux somaliennes

Ces incidents, mettant en cause de gros navires de pêche étrangers, sont aussi à mettre en relation avec la protection de la zone de pêche somalienne. Les eaux somaliennes semblent très prisées des navires de pêche de tout horizon, qui ne se privent pas d’aller dans ces zones très poissonneuses (1), sans vraiment s’inquiéter des droits à verser à la Somalie (2) ni du sort des populations locales qui voient ainsi avec crainte ces navires « piller » ce qu’ils considèrent comme leurs ressources.

Une piraterie assez artisanale

Quoi qu’il en soit, on assiste à une légère recrudescence actuellement des actes de piraterie au large de la Somalie. « C’est sans commune mesure avec ce que nous observions dans les années 2010. Nous sommes davantage face à un phénomène artisanal, d’opportunisme d’action » a indiqué à B2 un haut gradé européen. « Mais nous devons rester vigilants face à ces mouvements. La piraterie somalienne n’est pas totalement éradiquée. La reprise d’actions à l’échelle industrielle, menée par des réseaux criminels, très bien organisés, reste toujours possible. »

(Nicolas Gros-Verheyde)

(1) Des eaux naturellement riches en faune de toute sorte et, encore plus, après des années de « jachère » dues à la piraterie.

(2) La Zone économique exclusive somalienne prête encore à discussion

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Une patrouille de l’opération Sentinelle caillassée à Corbeil-Essonnes

Zone militaire - Sat, 27/05/2017 - 14:02

Les patrouilles dynamiques de l’opération Sentinelle ne sont pas exemptes de risques, même quand elles sont effectuées à bord d’un véhicule. Ainsi, d’après des informations du Parisien, l’une d’elles a été caillassée, le 26 mai, vers 20h00, à Corbeil-Essonnes, par 10 individus encagoulés. Les faits se sont produits sur la Nationale 7, non loin du […]

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L’état-major russe s’est excusé après une interception « dangereuse » d’un avion ravitailleur américain

Zone militaire - Sat, 27/05/2017 - 13:34

Cette semaine, le général Jeffrey Harrigian, le patron des opérations aériennes de l’US Centcom [le commandement américain pour l’Asie centrale et le Moyen-Orient, ndlr], a indiqué que les contacts entre les forces russes et la coalition anti-État islamique (EI ou Daesh), s’étaient intensifiés au cours de ces dernières semaines. « Nous avons dû augmenter les échanges […]

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Le cabinet de Sylvie Goulard intronisé au JO

Le mamouth (Blog) - Sat, 27/05/2017 - 13:30
On connaît désormais la liste officielle des membres du cabinet de Sylvie Goulard, parue ce matin au
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L’avion espion américain U-2 « Dragon Lady » n’est pas encore prêt à tirer sa révérence

Zone militaire - Sat, 27/05/2017 - 12:05

Début mai, dans un contexte marqué par les tensions avec la Corée du Nord, un premier drone HALE (Haute Altitude Longue Endurance) RQ-4 Global Hawk du 69th Reconnaissance Group a temporairement été transféré de l’île de Guam à la base japonaise de Yokota afin de conduire des missions de renseignement et de surveillance. Quatre autres […]

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L'espionnage pour les nuls mais pas que

Le mamouth (Blog) - Sat, 27/05/2017 - 12:00
Pour s'occuper entre deux épisodes de la saison 3 du bureau des Légendes, on peut découvrir ce livre
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