La compagnie française a fait le choix d’une politique environnementale ambitieuse. Celle qui souhaite candidater seule pour la future délégation de service public (DSP) pour la desserte de la Corse depuis Marseille, comme le révélait récemment un entretien de son directeur général Benoît Dehaye chez nos confrères du Marin, mise depuis plusieurs années sur différentes solutions pour réduire l’impact environnemental de sa flotte.
La Comata, filiale de l’armement lorientais Scapêche, a inauguré hier l’Ile de La Réunion II, son nouveau palangrier congélateur. La cérémonie s’est déroulée au Port, la marraine du navire, miss Réunion, ayant lancé la traditionnelle bouteille sur la coque.
La cérémonie à La Réunion @ MER ET MARINE - CAROLINE BRITZ La cérémonie à La Réunion @ MER ET MARINE - CAROLINE BRITZ @ MER ET MARINE - CAROLINE BRITZ @ MER ET MARINE- FRANCIS JACQUOT @ MER ET MARINE- FRANCIS JACQUOT
L'Ile de La Réunion I et l'Ile de La Réunion II réunis hier au Port (© : MER ET MARINE - CAROLINE BRITZ)
C’est une page d’histoire de la croisière qui se tourne. Premier paquebot moderne né aux Chantiers de l’Atlantique, qui l'ont livré en 1983 à Holland America Line, suivi par son jumeau le Noordam l’année suivante, l’ancien Nieuw Amstersdam va partir à la casse. Le navire de 214 mètres, 33.930 GT de jauge et 627 cabines, qui appartenait à l’armateur chypriote Louis (Celestyal Cruises) depuis une dizaine d'années, a été vendu à la démolition. Renommé en début de semaine Mare S, il devrait partir dans les jours qui viennent vers les plages d’Alang, en Inde.
C’est avec ce navire et son jumeau le Noordam que Saint-Nazaire est entré au début des années 80 dans l’ère des paquebots modernes, un virage confirmé quelques années plus tard avec la mémorable série des Sovereign of the Seas. Naviguant depuis 2003 sous le nom de Thomson Spirit puis Marella Spirit pendant l’année qui vient de s’écouler, l’ancien Nieuw Amsterdam d’Holland America Line a bien failli connaitre une nouvelle vie.
Annoncé l’hiver dernier par le gouvernement belge, le programme de remplacement du navire hydrographique Belgica est sur les rails. Après 8 mois d'études, le chantier espagnol Freire, retenu en décembre 2017 pour réaliser le futur bâtiment, vient de signer avec Rolls-Royce le contrat portant sur son design définitif et la fourniture d’équipements.
Le Kimball, septième des onze nouveaux cotres du type Legend de l’US Coast Guard, a quitté samedi dernier le chantier Huntington Ingalls Industries de Pascagoula (Mississippi). Le bâtiment va rejoindre Hawaii, où il sera basé. Son admission au service actif est prévue en janvier.
C’est probablement l’épilogue pour le chantier basque La Naval de Sestao, près de Bilbao. Redoutée depuis de longs mois, la décision de l’armateur néerlandais Van Oord n’est malheureusement pas une surprise. Ce dernier avait passé commande pour deux dragues au constructeur espagnol. Commandées en 2015, ces unités de 158 mètres de long et d’une capacité de 17.000 m3 devaient être livrées en 2017. La seconde unité, la Vox Alexia, ne sera pas achevée à La Naval, rapportait hier la presse ibérique.
En juillet dernier, Damen a pris le contrôle du chantier roumain de Mangalia. Ce dernier possède d’importantes capacités industrielles avec notamment trois formes d’une longueur totale de 982 mètres et d’une largeur allant de 48 à 60 mètres, ainsi que 1.6 kilomètre de quais pour la construction et la conversion de navires.
Hydrographic and Geophysical Survey company Ocean Infinity has placed three separate orders for a total of five Kongsberg Maritime HUGIN Autonomous Underwater Vehicle (AUV) Systems, increasing its inventory to 15. The AUVs are supplied with the latest generation Kongsberg Maritime HISAS 1032 synthetic aperture sonar, giving Ocean Infinity a total of six HUGINs with the ability to deliver high resolution imaging in its fleet.
Sophie Zurquiyah, Directeur Général de CGG, a déclaré :
Du 9 au 11 novembre, de 18 heures à minuit, les Invalides s’illumineront aux couleurs du Bleuet de France.
Grand monument historique parisien, à l’architecture classique imposante, témoignant d’un passé riche et prestigieux, et emblème de l’aide et du soutien apportés aux soldats à l’issue de la Première guerre mondiale, les Invalides, où naquit le Bleuet de France et son symbole, verront fleurir le temps de trois nuits consécutives (9, 10 et 11 novembre 2018) l’histoire et l’avenir de l’OEuvre Nationale du Bleuet de France.
Par ailleurs, la Direction des patrimoines, de la mémoire et des archives (DPMA) du ministère des Armées organise, depuis le 5 et jusqu'au 11 novembre, la mise en lumière de 12 nécropoles nationales, symbolisant chacune un aspect du conflit, dans le cadre des cérémonies de commémoration du centenaire de la fin de la Première Guerre mondiale. Des centaines de diodes lumineuses illumineront, dès la tombée de la nuit, ces nécropoles nationales situées, pour la plupart, sur l’ancienne ligne de front, afin de rendre hommage au sacrifice des 1,4 million de soldats morts pour la France au cours de la Première Guerre mondiale.
Les nécropoles concernées sont situées dans les localités suivantes :
- Assevant (59) – bataille des Frontières (1914)
- Bray-sur-Somme (80) – bataille de France (1918)
- Vailly-sur-Aisne (02) – bataille du Chemin des Dames (1917)
- Villers-Marmery (51) – bataille de la Marne (1915-1918)
- Faubourg-Pavé (55) – bataille de Verdun (1916)
- Épinal (88) – ville située sur l’ancienne ligne de front
- Cronenburg (67) – ville de l’arrière-front
- Hartmannswillerkopf (68) – bataille de Montagne (1915)
- Belfort (90) – ville de l’arrière-front
- La Teste (33) – hommage aux troupes coloniales
- La Doua, Villeurbanne (69) – ville de l’arrière-front
et Sainte-Anne d’Auray (56) – ville de l’arrière-front